Escapade Nocturne (libre)

C'était un lundi soir, la jeune Milicent déambulait dans les couloirs, comme à ses habitudes, cherchant peut-être un élève ou deux à taquiner, ou à chercher ses amis. C'est en passant près d'une lucarne à la tour d'Astronomie qu'elle vit qu'il y avait de l'animation dans la serre numéro 2 à l'éxterieur du château. S'ennuyant à mourir, elle se dit que chercher des ennuis ou entrer dans l'action serait assez drôle, et qu'elle commencerai bien son début de semaine. Le seul truc qu'elle detestait c'était de rester des heures entières dans le bureau de Rusard, le concierge, à trier les vieilles fiches des anciens élèves de Poudlard durant plusieurs heures, voire même quelques fois une soirée entière ! La perversité de Rusard n'avait pas de limites, ainsi que son ingenuosité à trouver des punitions loufoques, voire inhumaines... Elle descenda la tour d'Astronomie, croisant quelques élèves de Serdaigle dans un couloir. Milicent en profita pour en pousser quelques uns contre le mur, provoquant un rire cristallin sur la jeune fille. Dommage que ses amis n'étaient pas là pour voir celà. Arrivant au niveau du 5ème étage, elle fit une pause, assez fatiguée par toutes ses marches qu'elle descendait sans s'arrêter. Elle en profita pour regarder les tableaux vivants montrant des scènes épiques des sorciers. Après quelques minutes, elle arriva enfin dans l'immense hall du château. La jeune fille jeta un coup d'oeil au sablier de sa maison, et vit quelques émeraudes remontant dans la partie supérieure de l'immense objet.

*Ca y est, encore des Serpentards imprudents qui se sont fait avoir... Nan mais quels imbéciles ceux là, si je les attrape...*

Elle se craqua les doigts puis continua son petit voyage vers les serres situées derrière le château. La jeune fille traversa le terrain de vol, emprunta un chemin boueux salissant ses belles chaussures cirées. Elle poussa un juron puis rejoignit par derrière les serres en passant sous l'arcade d'entrée. Elle regarda à travers les vitres des serres, cherchant du regard l'animation qu'elle avait pu apercevoir en haut de la tour d'Astronomie : rien. Comment ça ? La jeune fille s'était ennuyée à descendre des centaines de marches en pierre pour, rien ?? Ca n'allait pas se passer comme ça. Elle entra dans la serre numéro 2, regardant les plantes carnivores endormis. Elle brandit sa baguette vers des pots en terre cuite et les fit exploser grâce à un expelliarmus informulé. Un sourire s'afficha sur son visage, mais il fut très vite remplacé par un hurlement aïgu. Une plante carniore aux branches épineuses et à la bouche pleine de dents venait de mordre à la cheville la jeune Serpentard. Elle pointa sa baguette à son pied, et lanca un Impedimenta, mais cette fois formulé, n'ayant pas le courage de se concentrer. La plante poussa un cri crissant, et retourna dans son pot, tremblotant. Milicent regarda son pied ensanglanté et une larme coula sur sa joue. Elle s'empressa de la faire disparaître, ne voulant pas pleurer, pour une "simple" blessure... La jeune fille esperait juste que cette plante n'était pas mortelle. Il était environ 19 heures, les élèves mangeaient à cette heure là. Elle s'assit sur une caisse et se tena la jambe, le visage crispé. Les dents de la plante laisssaient des marques sur la fine cheville de Millicent. Une douleur forte engourdissait tout le bas de son corps. Elle esseya de se relever, mais elle n'y arrivait pas. Cette fois ci, elle ne put retenir ses larmes plus longtemps. D'une main tremblante, elle essuya quelques larmes coulant sur son menton. Milicent sanglota et esseya à nouveau de bouger, sans résultats. Allait-elle mourir ici ? Personne ne devait se promener ici à une heure pareille...

hj : Voilà, le sujet est libre, mais je prefererais un garçon s'il vous plaît (et si il veut poster, qu'il m'envoie un mp ) , merci ! Escapade Nocturne (libre) Icon_big

Aujourd’hui c’est lundi est pour être plus précis on est Lundi soir, et Narcisse était dans la salle commune entrain de terminer un devoir d’Histoire de la magie, une chose pour le moins très ennuyeuse. Le jeune homme releva alors son nez de son parchemin est découvrit que la salle commune était presque vide, il chercha un peu du regard pour voir s’il ne verrai pas Alice, mais apparemment elle n’était pas là, alors le jeune homme inquiet, décida de sortir de sa salle commune et de partir à sa recherche, mais il ne resta pas à l’intérieure il parti dehors, car il savait qu’Alice préférée être dehors plutôt que dans le château, surtout lorsqu’il faisait pratiquement nuit.

Une fois dehors, le jeune Narcisse alluma une cigarette, en effet il en profita pour sans grillée une petite avant de rentrée dans le château, puis alors qu’il marchait dans le parc à la recherche de son amie en l’appelant ainsi et d’une voix forte.

« Alice ! Alice ! Tu es là ! »

Mais rien, personne ne lui répondait, le jeune homme décida donc de prendre la direction des serres, car peut être qu’elle se trouvait là-bas, après tous elles étaient toujours ouverte. Puis alors qu’il arrivait en haut de la petite colline sur laquelle était percher celles-ci, il aperçut de la lumière provenant de la serre numéro deux, il cru donc que c’était son ami qui y était présente. Puis alors qu’il s’avançait dans cette direction d’un pas calme, le sourire aux lèvres pensant qu’il l’avait retrouvé, il entendit un cri strident, le jeune affolé par le cri ou presque, il était plutôt inquiet de nouveau, parcouras le reste du chemin en courant. Dans sa course il fit tomber son mégo dans l’herbe mouillé qui s’éteignit plus vite qu’elle n’avait était allumée. Il ouvrit la porte de la serre à la volée et coura dans toute celle-ci, et s’arrêta nette lorsqu’il ne vit pas Alice…mais une autre serpentarde connue pour traîner avec Malfoy et sa clique, le jeune homme ne pouvant pas laisser cette dernière dans un tel pétrin décida de jouer les âmes charitable et s’agenouilla prés de la jeune serpentarde et lui dit alors avec un sourire en passant son bras autour de sa taille, et en prenant le bras de la jeune fille pour le mettre sur son épaule. Il constata alors qu’elle n’était pas bien plus grande que lui même si elle avait un an de plus, c’était plutôt lui le plus grand, car c’est bien connu, les garçon grandissent plus vite que les filles.

« Attend Milicent, je vais t’aider. »

Lui dit-il avec un sourire charmant et amical, en l’aidant à se redresser, sans qu’elle n’appuie trop sur sa jambe pour éviter qu’elle se face à nouveau mal en s’appuyant sur celle-ci. Le jeune homme intriguer par cette blessure, lui demanda alors avec une voix inquisitrice.

« Comment tu t’es fait cela ? »

Puis il l’aida à marcher vers un plan ou il n’y avait pas de fleur et l’aida à s’assoire doucement sur celui-ci, une fois qu’elle fut assise, le jeune homme sous un œil de pseudo expert, se baissa et examina la plaie, puis après avoir minutieusement regardait celle-ci, il déclara avec une voix d’expert.

« La plaie n’est pas trop profonde, avec un peu de désinfectant et une bande sa devrait aller »

Il savait se qu’il disait, car sa propre mère était médecin, et elle lui avait apprit quelque ficelle du métier au cas ou il en aurait besoin. Il se releva, mettant ses mains dans ses poches, et souriat.

# hj : désoler vraiment pas terrible -_-" hj#

A présent elle était dans de beaux draps. Qu'allait-elle faire, dans cette serre, sans pouvoir marcher ? Elle s'apprêtait déjà à passer une soirée douloureuse à dormir sur le sol terreux de cette serre numéro deux, entourée de plantes vivaces endormies.

Elle poussait quelques petits gémissements, en constatant dans quel étât pitoyable elle était : Une jambe écorchée, une petite flaque de son propre sang qui coagulait avec la terre, ses larmes ruisselant don doux visage, et son éspoir de revoir quelqu'un avant le lendemain était fini.

*Alice ?!*

Elle entendit à l'extérieur de la serre la voix rauque d'un jeune homme. Si elle avait la force de crier, elle aurait simplement bafouillé : "RIEN A PETER D'ALICE, AIDE MOI !" mais elle était trop épuisée.

Elle se contenta de gémir, et quelques fois elle parvenait à crier un son strident, manquant de reveiller les plantes carnivores endormies. Quand des pas se firent entendre, elle posa sa tête sur le sol, esseyant de se calmer et de ce concentrer pour arrêter de pleurer. Et si c'était Malefoy qui venait ici ? Si il la voyait pleurer, s'en était fini pour elle... La jeune fille s'empressa d'essuyer ses grosses larmes et attendit que la personne arrivant la localise, et l'aide par la même occasion.

En tournant la tête, elle vit un jeune homme de sa maison, brun ténébreux, sentant une odeur de cigarette froide à en reveiller un mort s'approchant lentement d'elle. Sous l'effet de son désarroi, quoi de mieux pour évacuer sa douleur de se défouler sur le jeune homme, mais il la laisserai dormir ici, avec peut-être un sortilège de mutisme ! Elle put distinctement dicerner chaque trait de son doux visage quand il s'agenouilla devant le corps de Millicent. Il avait le visage d'un ange.

Un léger frisson la parcourut quand le jeune homme Serpentard prît Milicent par la taille et par le bras. Le sang continuait de couler sur sa jambe, mais la compagnie du garçon apaisa un peu sa douleur, étant sûre à présent de pouvoir dormir au chaud dans sa salle commune.

Apparemment il connaissait son prénom, sûrement de réputation : ce qui n'était pas tellement très bon signe, mais bon. Il était quand même un peu son sauveur, même si elle préferait croupir dans la serre que de l'admettre.

Le garçon examina d'un oeil expert la fine jambe de la jeune fille, prenant soin d'elle. Quand il donna son diagnostic de la situation de sa jambe, elle crût entendre un guerisseur de Sainte Mangouste. Elle hocha de la tête, sans dénicher un sourire.

Le garçon était peut-être attentionné, mais il n'était pas moins un étranger. Milicent ne parla pas, resta à fixer les yeux perçants du garçon, attendant qu'il engage "une conversation"...

Le jeune homme qui après avoir jouer les âmes charitables et le sauveur de ses dames se positionna en face de la jeune femme, toujours les mains et le sourire aux lèvres enfin c’était un sourire calme et non provocateur. Il avait son regard fixait dans celui de la jeune blondinette, apparemment elle n’était pas décidée à parler peut-être qu’elle avait perdu sa langue, enfin d’après le crie t les gémissements, cela n’en avait pas vraiment l’air. Le jeune sorti sa main gauche de sa poche et s’appuya sur un plan de table en faisant un peu de place, puis sorti sa main droite qu’il tendit vers la jeune femme, pour la saluer et lui dit d’un ton calme.

« Mon nom est Narcisse Feuer, pour toi pas la peine de te présenter. Tu es une des filles qui fait partie de la bande de Drago Malfoy. »

Il ne l’avait pas dis méchamment, il l’avait dis d’un ton analyseur et calme. Il détailla la jeune fille du regard, puis sorti sa baguette, et fit apparaître une bande dans sa main et s’agenouilla auprès de la jeune femme et déposa la bande sur sa cheville après l’avoir nettoyer doucement, et se releva ensuite. Le jeune homme dis alors de nouveau.

« Mais dis moi tu ne ma pas répondu, que fais-tu ici à cette heure ? »

Puis il remit ses mains dans ses poches après s’être passait une main dans les cheveux. Puis dans cette position, le jeune homme vain se poser à côté de la jeune femme et la regarda en souriant, non il ne se fichait pas de sa figure, il avait juste envie de sourire, peut-être pour apaiser la douleur de la jeune fille. Mais ses pensées étaient toujours tournée vers son amie Alice, il se demandait ou elle pouvait être, il avait quelques soupçons sur sa nature, mais il ne lui avait pas encore toucher de mots la dessus, il attendait qu’elle face le premier pas.

Puis il revint à lui, sortant de ses pensée, et reporta son attention sur le jeune Milicent. Et lui fit un nouveau sourire.

Enfin le garçon avait décidé de parler. Elle écouta sa voix rauque et attendit quelques secondes pour lui répondre. Milicent mit son dos droit, en faisant attention à sa jambe, et mit sa main dans celle du garçon, serrant doucement sa main.

" Salut Narcisse... Je vois que ma réputation me précède... "

Elle baissa la tête, regardant ses ongles pleines de terre, quand elle avait lutté contre la plante. Elle paraissait minable, mais bon, elle n'avait pas le choix. Narcisse s'agenouilla à ses pieds et fit apparaître une bande d'un coup de baguette. La bande entourant sa cheville lui faisait le plus grand bien, évitant alors de la vider de son sang ! Elle se surprît elle-même quand elle dit au garçon d'une voix faible.

" Merci... "

Milicent remercier ? Narcisse avait vraiment de la chance d'assister à un évenement si rare ! La jeune fille en avait même envie de s'enfuir en courant venant d'admettre que, sans le garçon, elle serait restée là. La Serpentard fut surprise que le garçon lui souriait souvent, ce qui n'était pas déplaisant, c'était mieux qu'un regard vitreux ou des regards noirs lançés, comme elle en avait si souvent l'habitude.

Milicent se poussa légèrement pour laisser la place au garçon de s'asseoir, puis lui répondit en regardant sa jambe à présent protégée.

" J'ai vu de l'agitation près des serres, j'ai voulu jeter un coup d'oeil... "

Un éclair vint frapper l'esprit de Milicent. Elle se rappella que le garçon appellait une certaine "Alice", qui avait sûrement disparue de son champ de vision.

* Sûrement son chat... *

La jeune fille se tourna vers le visage du jeune homme et dit :

" Qui est Alice ? "

Elle se mit à fixer une plante carnivore qui venait de pousser un long ronflement, comme un animal endormi.

hj : Désolée, je n'ai pas beaucoup d'inspi !

Le jeune homme, l’écouta d’un air amusé, et déclara alors d’un ton calme, avec une pointe d’humour sans méchanceté dans la voix, en effet se soir il n’avait pas envie de se prendre la tête avec d’autres personnes.

« Enfin c’est plutôt celle de Malefoy, mais la tienne est pas mal non plus, jeune femme odieuse et arrogante a souhait, enfin c’est se qui se dit, mais à te voir ainsi, sa n’a pas l’air. »

Fit le jeune homme en lui adressant un clin d’œil amical. Puis Après s’être penché prés de la cheville abîmer, le jeune homme entendit quelque chose qui le surpris, un remerciement, c’était la premier fois qu’on le remercier, enfin Alice l’avait déjà fait, mais, il n’en avait jamais reçut d’autre de la part de quelqu’un et là sa l’étonner surtout venant de l’une des filles de la bande à Mal Au foie.

Puis tout en se relevant et remettant ses cheveux en place dans la foulée, il lui dit en souriant à nouveau. Et en s’asseyant à côté de la jeune Milicent après qu’elle s’était un peu pousser pour lui faire une petite place.

« Ce n’est rien, je n’allais pas te laisser ainsi à l’agonie. »

Il fit un sourire amusé, se mit à pensé à son amie, se demandant ou elle pouvait bien se trouvait, puis alors qu’il songeait à elle, en portant les doigts de sa main droite sur ses lèvres comme s’il voulait se ronger les ongles alors qu’il réfléchissait. La jeune milicent le sorti de ses pensées, en lui demandant qui était Alice, alors celle-ci l’avait donc entendu appelée Alice, le jeune homme déclara alors d’un ton calme.

« Oh…Il s’agit de ma meilleur amie, elle est à serpentard aussi, c’est Alice White. »

Il lui épargna le reste du patronyme de son amie, car elle n’avait pas à le savoir et sa ne devait pas être si important que ça pour la jeune Bulstrode. Le jeune homme les main cette fois-ci appuyer sur la table, regardant au loin dans la serre, lorsque son regard fut attiré par une magnifique fleur d’une belle couleur rouge sang, elle était vraiment très belle, celle-ci lui faisais pensée étrangement à son amie Alice, mais il l’ignorait la raison.

#hj : Pourraveuh Escapade Nocturne (libre) Icon_cry

hj#

Le jeune homme était taquin, ce qui amusait Milicent qui regarda à plusieurs reprises Narcisse, mais pas au point de sourire. C'est vrai que si elle ne trainaît pas avec Drago, elle ne serait pas connue, elle serait juste une simple Serpentard detestable et qui déteste la compagnie des autres. Milicent regarda intensément le garçon quand il vint lui faire un compliment.

Pour lui, elle n'était pas "une jeune femme odieuse et arrogante à souhait " ? Il n'allait pas tarder à la voir sous cette angle si elle continuait à la complimenter. Si ses joues devaient s'empourprer, se n'était sûrement à cause d'un garçon, et si ça devait être le cas, elle prétenderait une bouffée de chaleur soudaine dans la pièce où elle se trouverait. Mais ici ça ne marcherait pas, le domaine était sous la saison de l'hiver, et avoir chaud alors que les températures sont négatives... En ayant cette pensée, elle eut un frisson.

Sans s'en rendre compte, la température avait encore diminuée, et à chaque fois que Milicent expirait de l'air, celà pouvait se voir... Puis, le jeune homme expliqua l'existence d'Alice. Il disait que c'était sa meilleure amie, et non un chat, comme avait pu le penser la Serpentard. Narcisse finit par se lever et à s'appuyer contre sa table une énième fois. Son regard se posa par dessus son épaule. D'un naturel curieuse, Milicent suivit son regard et vit une fleur magnifique.

* Elle est sublime...*

Milicent imaginait de sa place l'odeur magique de la fleur. Mais elle secoua la tête, tout ce qui pouvait lui faire penser à l'amour lui donnait un haut-le-coeur, elle qui n'avait jamais été heureuse... Un autre frisson à cause d'un petit vent s'engouffrant dans la serre numéro 2 et faisant vibrer les vitres. Elle se mit à se frotter les bras, tout en regardant sa cheville qui lui picotait.

La jeune fille se mit soudainement à trouver une explication rationnelle à son histoire... Elle était venue à la serre parce qu'elle avait vu de l'agitation, et Narcisse cherchait Alice. Elle émit l'hypothèse absurde que peut-être que cette certaine Alice a été attaquée ou autre, mais elle ne pouvait pas écarter cette hypothèse de tout soupçons. La jeune fille décida d'en faire part à Narcisse.

" Tu cherches Alice, c'est ça ? Peut être que c'est elle que j'ai vu lancer des sortilèges depuis la tour d'astronomie... "

Soudain, la porte en verre de la serre éclata en morceaux après un violent coup de vent. Le bruit fut retentissant. Milicent avait eu comme réflexe de se protéger le visage pour ne pas recevoir d'éclats de verre. Elle regarda Narcisse, ne sachant pas quoi faire. Le froid était plus intense, ce qui fit grelotter la jeune fille, toujours assise.

hj : Voilà Narcisse !

Le regard bleu clair de Narcisse avait soudainement était attirait par une magnifique fleur rouge sang, qui lui faisaient penser à Alice, mais il ne fit rien il n’alla pas la sentir, de peur d’abîmer la magnifique fleur. Lorsqu’il regarda cette fleur le jeune homme eu une pensait ou plutôt une chanson qui lui vain en tête dont voici les quelques paroles.

“ Last day
I want you !
It’is the love time
I want you…”

Il en se souvenait plus exactement si les paroles était positionner dans cette ordre-ci, mais ce n’était pas grave, il aimait beaucoup cette chanson, le groupe qui en était l’auteur était KIBO, puis il se mit à fredonner l’air de façon asseé douce, en chantonna quelques une des paroles à voix basses.

“ It’is The love time, I want you, this is the last day, I want you ...”

Puis se rendant compte de cela, il s’arrêta et fit comme si de rien était et se tourna vers la jeune Milicent, qui venait de lui faire une hypothèse intéressante, le jeune le sourire aux lèvres n’ont pas de bonheur, mais d’inquiétude, le même ton dans sa voix.

« Vraiment ? Tu crois ? Tu ne sais pas o si elle y est encore par hasard ? »

Il la regarda avec le sourire lorsque soudain un grand bruit se fit entendre, une vitre en verre venait de se brisée sous le poids important du vent, le jeune fut si surpris qu’il n’eu pas le temps de réagir et se reçut des minis éclats de verre sur le visage, qui l’ouvrirent en minuscule plaie. Puis sentant quelque chose de chaud couler sur sa joue droite, il y posa sa main et regarda la couleur rouge, la même couleur que cette fleur magnifique était présente sur ses doigts, le jeune homme porta alors ses doigts d’une façon très douce auprès de ses lèvres et suça le sang. Il mit ses mains dans ses poches, on aurait put croire qu’il aurait sorti un mouchoir ou quelque chose dans se genre, mais il ne fit rien, il laissa coulé les gouttes de sang sur sa joue.

À présent le vent souffler dans la serre, et il sifflait douloureusement dans les oreilles. Le jeune posa alors sa veste voyant Milicent frissonner, il la posa sur ses épaules et se retrouva avec sa simple chemise blanche sur le dos. Il parti en direction de la fenêtre briser, puis remontant ses manches, il prit une bâche qui n’était pas loin et la fixa avec un sort sur la fenêtre, mais malheureusement, le fenêtre était peut être protéger, mais le froid et le vent passer toujours. Le jeune resta les manches de sa veste retournée faisant alors découvrir son tatouage représentant une rose entourant un crâne sur son bras gauche.

« Ta jambe te fait encore mal ? ou tu crois pouvoir me suivre jusqu’à la salle commune ? »

Demanda-t-il d’un ton neutre, car si le temps continuait à se dégrader, ils devraient sur ment rentré pour se mettre à l’abris et faire attention, pour ne pas croiser les stupides préfets, enfin ils sont tous idiot sauf ceux de serpentard. Puis alors qu’il regardait dans une direction opposé à celle de Milicent, le jeune homme eue de nouveau les paroles de cette chanson en tête.

“This a love time !
I want you !
Cry for you !
This is the las day !
Wait for you!”

Cette chose l’énervait réellement, pourquoi avait-il c’est paroles en tête, il ne comprenait pas, bref, il secoua légèrement son visage et celle-ci disparurent.

# hj : pffff... Escapade Nocturne (libre) Icon_de9

hj#

Milicent eut le réflexe de regarder si aucun éclat de verre n'était posée sur ses vêtements. Elle s'époussiera, ayant remarqué plein de terre sèche sur son bras qui s'était collé quand la jeune fille s'était fait attaqué. Continuant de se frotter, elle répondit au jeune homme.

" Bah le temps que je descende il a pu se passer plein de trucs, mais j'ai vu personne d'autre. Elle doit être dans la salle co... "

La jeune fille regarda le visage de Narcisse les yeux écarquillés. Son doux visage avait laissé place à de fines coupures qui dégoûtèrent Milicent. Elle fut encore plus surprise que le garçon ne soit pas si choqué que ça que son visage soit immaculé de sang.

Comme pétrifié par le froid, elle se laissa poser la veste de Narcisse sur les épaules. Elle continua de le suivre des yeux, quand il répara la fenêtre à l'aide d'une bâche en plastique. Milicent mît sa main dans la poche et trouva son mouchoir brodé. Elle sauta de sa place et enleva brutalement la veste de Narcisse qu'elle posa sur une table.

Elle s'approcha en boitant, esseyant de ne pas forcer sur sa jambe. Arrivé devant lui, elle tenda son mouchoir vers la main du garçon, pour qu'il s'essuie le visage. Ils n'étaient pas assez intimes pour qu'elle touche son visage pour enlever les derniers débris de verre et enlever son sang. Elle se contenta de rester devant lui, regardant son tatouage brièvement. Le geste de Milicent était soudain, comme si il était naturel pour elle d'aider quelqu'un dans le besoin. Elle priait le ciel pour que Drago n'aie pas idée de les surprendre ici, sinon il s'empresserait de répandre une rumeur dans l'école, malgré qu'elle soit son amie. Sa meilleure amie, Pansy, lui avait confié un jour que sans le vouloir, elle avait été attentionné, mais quand même un peu sur la défensive, comme l'était à présent Milicent, même si elle n'avait pas peur de lui.

" Prends ça... T'as plein de sang sur le visage... "

Elle se tourna et recommenca à marcher vers sa place initiale, fatiguée par la douleur de sa jambe.

Lorsque Milicent lui répondit le jeune Narcisse l’écouta avec attention, mais il fut déçut lorsqu’il compris qu’elle ne savait pas où elle était, puis alors qu’elle disait le mot « commune » la jeune femme s’arrêta brusquement, le jeune homme ne posa pas de question il se doutait bien que cela soit à cause de ses coupures sur le visage, sa aurait était quoi d’autre sinon ? Puis il dit alors d’un ton triste, enfin pas si triste que ça, un peu déçut.

« Oui peut-être en tous cas j’espère qu’elle va bien, je m’inquiète tellement pour elle. »

Puis il parti vers la fenêtre pour la réparer, enfin la réparer comme il pouvait, puis revint vers la jeune femme, les manches retournées et son tatouage en vue, ce n’était pas fait pour qu’il soit vu, mais juste pour pouvoir être un plus à l’aise. Le vent qui passait entre la bâche en plastique et les bords de la fenêtre s’engouffré dans la serre et venait frôler les deux jeunes élèves de six et septième année, l’une des brises glacées frôla les bras du jeune homme et il eu un léger frisson et les poils sur ses bras se dressèrent en formant ce que l’on appel la chair de poule.

Puis au moment ou il revint vers la jeune femme, celle-ci arrivait vers lui en boitant, le jeune pensa alors qu’elle était folle de faire cela, puis il la retenait doucement par les bras avant qu’elle ne trébuche ou ne ce face mal. Puis il la regarda, elle tenait quelque chose dans la main, un mouchoir, très jolie d’ailleurs, elle lui tendit, et la jeune étudiant l’accepta avec plaisir, et lui fit un sourire pour la remercier, et estompas un peu le sang, et enleva des petits morceau de verre présent sur ses plaies en faisant bien attention de ne pas les enfoncées, puis une fois cela fait il lui dit.

« Je garde ton mouchoir, je le nettoierais et je te le rendrais. »

Puis il l’aida alors à revenir prés de la table ou était poser sa veste, et la remise sur les épaules de la jeune étudiante en septième année de serpentard, puis voyant que le vent souffler un peu plus fort il lui demanda d’un ton calme, en la regardant avec un sourire presque angélique.

« tu as encore mal à ta cheville, ou tu penses pouvoir me suivre jusqu’à la salle commune ? »

Puis il se posa à côté d’elle, en la prenant par les épaules pour qu’elle n’est pas froid et la réchauffer doucement, ce soir, le jeune Narcisse, jouait les anges gardien, même si il n’en était pas un.

"This is the love time
I want you
Cry for you
This is the Last day
Wayt for you
LAST DAY !!!!"

Décidémebt cette fichut chanson ne voulait pas quitter sa tête ou plutôt son cerveau.

#hj: >< hj#

La jeune Milicent regarda le jeune homme parler. Bah heureusement qu’il allait nettoyer son beau mouchoir brodé qu’avait fait sa mère défunte ! Elle y tenait vraiment mais il ne lui servait pas, seulement au cas où les larmes viendraient au bord de ses yeux, mais Milicent ne pleurait pas souvent. Elle tenait ça de son père, elle ne l’a jamais vu pleurer, même quand la grande-mère de Milicent était décédée. Et lors du décès de ses deux parents, son coeur est devenu de pierre. Plus aucune émotion pouvait transperçer son âme meurtrit. Mais grâce à ses amies, elle a put garder le sourire, pas parce qu’ils étaient auprès d’elle, seulement qu’elle pouvait étancher sa soif de vengeance en persécutant les autres.

Sentant sa jambe refaire des siennes, Milicent voulait rejoindre la caisse où elle était assise depuis le début, quand elle sentit quelque chose contre sa taille. Elle regarda, les yeux écarquillés, mais ce n’était que le jeune homme, Narcisse, qui voulait de nouveau l’aider à se rasseoir, en faisant passer son bras sur sa nuque. Mais elle refusa de s’appuyer contre lui, fallait qu’elle montre qu’elle était forte et qu’elle n’avait besoin de personne en ce moment pour l’aider. Elle s’assit sur la caisse en tenant sa jambe, quand le garçon vint poser la veste sur ses épaules, pour ne pas qu’elle aie froid. Milicent était encore sur la défensive, elle craignait encore le garçon, même si il était adorable avec elle.

Quand il vint s’asseoir à côté d’elle, elle se décala très légerement en regardant la direction opposée du garçon, mais elle fut prise au piège quand le garçon entoura ses épaules. Ses joues s’empourprèrent très vite...

*Oh non...*

Elle fut encore plus effrayée par lui, et surtout par les questions qu’elle se posait. Pourquoi faisait-il tout ça ? Elle ne le méritait pas... La jeune fille haissait tout le monde autour d’elle, et ce garçon entre dans son champ de vision et s’occupe d’elle comme un ange gardien ? Elle se savait pas quoi faire... Si elle devait se décaler un peu plus, ou carrément retirer le bras du jeune homme et lui donner une baffe...

La Serpentard se mit à trembler, mais pas de froid. Elle se sentait très impuissante face au garçon, et elle craignait d’être très agressive, mais elle se calma subitement quand elle entendit le jeune chantonner une chanson à voix basse. Sa voix mielleuse et les paroles douces de la chanson empourprèrent un peu plus les joues de la jeune fille. Son coeur battait plus vite qu’à la normale, et une boule se forma au niveau de son ventre. Puis une nouvelle vague de vent vint s’engouffrer dans la serre, plus puissante que les autres, et plus froid.

Elle se colla immédiatement contre le jeune homme, peut-être par reflexe ou par peur... Sa tête était appuyé contre son torse chaud, et elle sentait les battements de son coeur. La jeune fille était absolument incapable de bouger ou de parler, elle ne sentait même plus les douleurs de sa jambe... La voix du jeune homme résonnait dans sa tête, même si il ne chantait plus...

Narcisse se trouvait aux côtés de la jeune Milicent, et celle-ci ne bougeait pas. Elle semblait vouloir se montrer plus forte qu’elle ne l’était lorsque le jeune homme avait voulut l’aider à se rassoire sur la petite caisse. Elle ne disait même plus un mot, elle sembla se méfier de lui, mais pourquoi ? il n’allait pas lui faire de mal et s’il avait voulut lui en faire, il l’aurait fait depuis longtemps…quoi que… Bref ne parlons plus de sa.

Le jeune Narcisse, avait posé de nouveau mit sa veste sur les épaules de la jeune fille, et alors qu’il se posait prés d’elle, il aperçut le teint des joues de la jeune femme se rosir légèrement…Narcisse ne pût s’empêcher de sourire et au fond de lui, il savait maintenant qu’il faisait un certain effet à Milicent, il se senti alors un peu flatter, mais il ne le montra pas, c’est vrai il y avait de quoi se sentir ainsi, quand c’est la première fois qu’on rougit pour vous.

Une fois assis le jeune sixième année, passa son bras derrière la jeune femme, et posa sa main sur la caisse, juste derrière elle. Lorsque soudain, un bruit se fit entendre c’était de nouveau le vent qui souffler cette fois-ci de plus en plus fort, le jeune homme n’osait même pas imaginer comment le temps devait être dehors, rien que dit pensait sa le faisait frissonner de peur, d’ailleurs en parlant de frissons, il senti la jeune Milicent, frissonner prés de lui, et juste après le bruit, celle-ci vain se blottir contre, lui. Le jeune au départ, surpris, ne bougea pas, puis il la prise doucement dans ses bras, ses deux mains se rejoignant en se croisant sur son épaule.

Ainsi dans cette position le jeune homme pouvait la réchauffer et la rassurée, il passa sa main douce et fine dans les cheveux blonds doré de la jeune serpentard, d’un geste rassurant et doux. Tiens en parlant de doux, les cheveux de la jeune femme était d’une douceur de soie. Narcisse senti alors la tête de Milicent contre son cœur, cela lui faisait bizarre, il n’avait encore jamais eu personne sur son cœur, à part peut-être Alice…Aaah Alice, une jeune fille de son âge, aussi étrange et mystérieuse que lui, en repensant à elle, le jeune homme eu un sourire aux coins de ses lèvres.

Puis alors qu’il tenait toujours Milicent contre lui, Narcisse entendit quelque chose battre contre les fenêtre de la serre numéro deux, ce n’était pas le vent c’était autres chose, il y prête attention et se rendit compte qu’ils ‘agissait de grêle mélanger à de la pluie, c’est sur à présent, ils allaient devoir attendre que le calme revienne dehors, car il était dangereux de sortir dehors par un temps pareil surtout avec une blessée.

Puis sentant la jeune femme tremblait de nouveau contre lui, il posa doucement sa tête contre la sienne, et lui caressa de nouveau les cheveux d’un geste rassurant et lui dit :

« J’ai bien l’impression qu’on va devoir passer le reste de la nuit ici, dehors, la pluie et la grêle sont au rendez-vous. »

dit-il en gardant sa tête sur celle de la jeune femme.

La jeune fille resta blottit contre le jeune homme, sans pouvoir lutter. A vrai dire, elle n’en avait pas tellement envie. Milicent n’avait jamais eu le plaisir d’enlacer quelqu’un, car elle n’avait jamais aimé personne. Elle enlaca le jeune homme par la taille pour pouvoir se réchauffer au maximum. Quand il l’entoura de ses bras, son coeur s’accéléra un peu plus. Il était tellement doux avec elle qu’elle devait en profiter. Un frisson la parcourut quand il caressa ses cheveux couleur d’or; elle n’avait plus tellement froid, et elle ne sentait pas la douleur de sa jambe, ce qui était une bonne chose.

Tout d’un coup, elle entendit de petits tintements contre les vitres. Elle se redressa, pensant qu’un élève ou un professeur les avait surpris et toquait aux fenêtres. Mais c’était seulement la grêle qui tapait avec force contre les vitres, comme si elle désirait entrer avec force pour embêter les deux élèves enlacés. La voix douce du jeune homme lui annonca qu’ils allaient devoir attendre tous les deux ici, dans la serre, peut être bien pour toute la nuit, selon elle. Elle se défit lentement de lui, et elle le regarda intensément. Ce qu’elle n’avait pas fait depuis si longtemps l’a surprit elle même : elle fit un sourire à Narcisse. Quoi de mieux pour le remercier de son étreinte et de son attention envers elle ? Elle n’avait pas sourit de bonheur depuis très longtemps, et Milicent pensait que le jeune homme le méritait. La Serpentard n’avait jamais connu quelqu’un d’aussi protecteur. Elle mit une de ses mèches de cheveux qui était tombée sur son visage derrière ses oreilles et dit, perdant le sourire, mais gardant une voix douce :

“ D’accord, mais où veut tu qu’on dorme ? “

Elle balaya la pièce du regard, il n’y avait que pots en terre cuite, plantes endormies, étagères remplies, bâches pliées sur le sol et une caisse, là où les deux élèves étaient assis. La situation était précaire, mais il fallait trouver un moyen. Ou alors, ils pouvaient s’abstenir de dormir, mais il était sûrement déjà Mardi, et ils avaient tout les deux cours demain. Si ils ne se reposaient pas ils ne tiendraient pas la journée. Ce n’était pas tellement un problème pour Milicent, puisqu’elle était placé au fond de toutes les salles de cours, elle pouvait dormir alors librement.

Milicent regarda à nouveau le visage de Narcisse et une goutte de sang perlait sur son front. D’un geste lent et doux, la jeune fille prît son mouchoir qui était dans la main de Narcisse et épongea très lentement son front pour ne pas lui faire mal. Elle osait enfin le toucher, après tout, il n’allait pas lui faire du mal... Elle dit d’une voix toujours aussi douce, en s’occupant soigneusement de son visage.

“ Tu avait encore un peu de sang... Voilà, tu n’as plus rien... “

Ayant terminée, elle soupira et sourit au jeune homme. Elle se demandait encore comment allaient-ils faire dans cette situation. Mais elle était persuadée que le garçon trouverait une solution. En parlant de lui, Milicent ne connaissait rien de lui mais elle avait l’impression de bien le connaître, bizarrement. A cette pensée, Milicent se décala un peu du jeune homme, pour ne pas qu’il se sente agressé par elle. Soudain, elle se mit à réflechir...

*OH ! Mais qu’est ce qu’il t’arrive là Milicent ? Tu te rends compte de ce que tu fais ? Tu fricote avec un garçon que tu connais à peine, tu n’as pas de coeur, tu ne peux pas aimer, ni pleurer, ni ressentir... *

Elle baissa la tête, bataillant avec son bon côté (qu’elle venait de redécouvrir) et son côté obsur. Elle préféra reprendre attention sur sa jambe, au lieu de s’occuper du garçon. Elle se leva subitement et posa sa jambe doucement sur le rebord d’un pot. Elle décida de se masser la jambe pour faire passer plus facilement son sang. Elle ne asvait plus quoi faire ni quoi penser, si elle devait fuire ou rester auprès de lui...

Oui la question c’était bien celle-ci ? Où dormir quand on se retrouve dans un endroit quelque peu inconfortable ? Aucune idée, mais le jeune homme, regarda autour de lui, puis aperçut quelques-unes une des bâches encore libres, et il eu une idée…Il en fit donc part à la jeune femme, qu’il tenait dans ses bras d’une façon douce.

« Avec les bâches présentes et un sortilège, je pourrai peut-être faire quelque chose de confortable pour nous deux. »

Fit il en lui rendant le sourire qu’elle lui avait donner plutôt, il fut étonner par ce sourire car il ne ressemblait pas autres, d’ailleurs il se demandait bien pourquoi se sourire, il se questionnait maintenant sur les véritables intentions de la jeune femme surtout lorsqu’elle avait mit ses bras autour de sa taille, sa ne l’avait pas gêner, mais bon c’était assez…étrange. Puis alors qu’il portait son attention sur autre chose, il senti un contact humain sur sa main, c’était celle de la jeune femme qui prenait le mouchoir et qui soudain, porta celui-ci à son front pour estomper d’une façon légère et douce, les quelques gouttes de sang qui perlaient sur celui-ci, prête à tomber sur son joli petit nez.

Puis il la regarda, et pris doucement le point de la jeune femme dans le sien, et repris le mouchoir qu’il rangeât dans la poche de son pantalon, (viens le chercher maintenant xD). Puis il la regarda se défaire de son étreinte, il ne la retenait pas, après tous elle faisait ce qu’elle voulait. Il continua tous de même de l’observer de façon à veiller sur elle, il la vis se penchée et regarder sa jambe, lui fait-elle encore mal ? Peut être, le jeune s’apprêtait s’approchait d’elle pour voir si tout allait bien, mais elle se releva brusquement, et posa sa jambe sur le rebord d’un pot, et se mit à la masser. Le jeune en pseudo bon saint-maritin, se mit à genoux à côté de la jambe de la jeune femme et la lui pris doucement en lui disant.

« Attend je vais le faire, je ne voudrais pas que tu te refasses mal. »

Puis tenant la jambe entre ses doigts fins, le jeune homme commença à la masser doucement d’avant en arrière puis en formant des petits cercles de façon a se que le sang circule parfaitement dans la jambe et dans le reste du corps. Mais pendant qu’il faisait cela, il sentit une étrange sensation venir de la jeune femme, comme si elle avait envie de le fuir, ou quelque chose dans se genre, mais il ignorait pourquoi et se serait vraiment très impoli de lui demander.

Une fois le massage de la jambe terminer, le jeune homme reposa celle-ci sur le sol, d’une façon assez douce, pour éviter qu’elle n’ait de nouveau mal, puis il se releva, et s’approcha des bâches ressente qu’il saisissait entre ses bras et qu’il déposa sur le sol les une sur les autres, de façon a se que se soit confortable, et à l’aide de sa baguettes il fit apparaître deux oreilles, et des plumes qui rembourrèrent les bâches les unes entre les autres, pour être plus à l’aise, et avec un sourire satisfait, il dit à la jeune femme en se retournant vers elle.

« Voilà, le lit, il est un peu précaire, mais bon, on fait avec les moyens du bord. »

Il lui souriait et l’invitait à si assoire.

Milicent se mit à se masser, très vulgairement, comme si, si elle se massait le plus vite possible, la douleur partirait plus vite, ce qui état totalement faux puisque la douleur se fit plus intense. Elle soupira, agacé de supporter un handicap qui l’empechaît de marcher correctement. Puis elle vit le jeune homme se rapprocher d’elle, et s’accroupir à côté de sa jambe pour la masser lentement. Elle ne pouvait pas refuser puisque la douleur était trop forte. Il massait extremement bien. Décidément il était parfait. Il avait reussit à la faire sourire, à la consoler, à la protéger, et à la soigner... Il était un peu comme un grand frère ou un ange gardien protecteur.

La seule personne qui avait été protecteur avec elle était Drago Malefoy, mais seulement pour lui épargner la peine d’attaquer ceux qui lui avaient fait du mal, même si elle aurait préféré le faire elle même, c’était admirable de sa part, ou peut être pas. Enfin, bon, ce n’était pas la question. Le garçon, toujours aussi attentionné avec sa jambe, permit au sang de circuler plus facilement sous la couche de bandage. Puis elle le remercia avec un petit “merci” à voix basse.

Elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance pour trouver un moyen pour se reposer durant cette nuit dans la serre numéro deux. Il prît les bâches présentes dans un coin de la pièce, et les disposa sur le sol. Il venait de dispenser Milicent de le faire, de son naturel “gentleman”. Grâce à quelques sortilège, il renda quelques vieilles bâches un lit improvisé sûrement très confortable. Si Milicent était en pleine forme, elle l’aurait applaudit..

“ Super... Bravo ! “

Elle regarda le jeune homme avec un sourire, et puisqu’il l’invita à s’y asseoir, elle ne le fit pas répeter et s’assit lentement sur le sol, pour ne pas se blesser une nouvelle fois. Elle caressa les plumes servant de matelas. C’était extremement doux et très confortable. Elle regarda le jeune homme faire de même, ce qui élargit son sourire. Après tout, cette nuit n’allait pas être si désagréable que ça. Quoi de mieux que la compagnie d’un garçon pour dormir ? Sans avoir une seule pensée pérverse, bien sûr...

Milicent se mit à bailler, il commencait à être tard. Elle sursauta quand le vent vint à frapper à nouveau les vitres vacillantes. Par reflexe, elle se rapprocha lentement de la place du lit où était Narcisse, mais elle n’allait pas retourner dans ses bras, se serait grossier de sa part, et comme l’avait dit le professeur Lupin au cours de défense dans sa troixième année : Il ne faut pas abuser des bonnes choses... Elle prît soudainement la parole, regardant la grêle tombant à l’exterieur.

“ La nuit va être difficile... J’espère qu’on pourra se reposer... “

Elle regarda Narcisse, puis, prise d’une soudaine envie de l’embêter, elle prît une poignée de plumes qu’elle jeta sur le jeune homme. Bien sûr, il ne pouvait pas avoir mal, mais ça amusait tout de même Milicent. Les plumes se posèrent sur ses cheveux, ce qui fit rire la jeune fille, un rire doux et cristallin. Elle se rapprocha de lui et retira les plumes sur le sommet de son crâne, tout en souriant. Elle lui dit, pour le taquiner :

“ T’as l’air idiot comme ça... “

Une fois le lit prêt, le jeune homme avait inviter Milicent à s’y installer, il l’ada dans un premier temps, puis vain ensuite s’allongeait à son trou de façon assez éloigner pour qu’il puisse la voir correctement. Une fois nos deux jeune gens installer, un bruit se fit entendre se fût le vent de nouveau. Il tourna son visage vers la jeune septième année, car il l’avait senti bougeait, elle s’était un peu rapprocher de lui, quoi qu’assez proche, pour la prendre dans ses bras, mais il n’en ait pas spécialement envie, mais il était là pour la protéger, et si elle le prenait à nouveau dans ses bras, il ne lui dirait rien, car il était là pour la protéger et pour l’aider.

Puis il tourna son visage vers elle, et pile au même moment, il reçut des plumes sur la tête, comme si un ange avait était déchût du ciel et qu’on lui avait couper les ailes. Il ferma alors les yeux, et éternua , lorsque l’un des plumes vain lui chatouiller le nez, il s’excusa auprès de la jeune femme, et la regarda en souriant, lorsqu’elle fit mine d’enlever l’une des plumes.

« Oui j’ai souvent l’air d’un idiot parfois. »

tait content de la voir rire ainsi, si cela l’amusait pourquoi pas, et puis une ou deux plumes, ce n’était pas bien méchant. Il lui fit un nouveau sourire angélique, et s’allongeât sur le duvet, les mains derrière la tête, il semblait s’enfoncer doucement par mit les plumes, et sous l’effet d’une masse sur celle-ci certaine sortir du pseudo-lit, confectionnait par Narcisse.

Le jeune homme se mit à observer le plafond vitré, on voyait parfaitement la plume qui tomber sur les carreaux et des éclairs foudroyant, parcourais le ciel, par instants, puis il écarquilla soudain les yeux de peur, il repensait à Alice, il espérait qu’elle ne soit pas dehors par cette heure et surtout par ce temps si froid et gelée. Puis il reporta son attention vers la jeune femme à ses côtés, et lui fit un léger sourire.

Soudain un éclair vain illuminer la serre, passant juste au-dessus d’eux, et celui-ci fit une étrange lumière sur Milicent, elle semblait tout à coup briller, il cru à une hallucination et secoua légèrement la tête, et une fois qu’il rouvrit les yeux, et là il la revit normal…étrange phénomène.

Quand il se mit à éternuer, Milicent se mit à rire. Il était si mignon quand il éternuait ^^ Encore une fois, le garçon arrivait à la mettre de bonne humeur, malgré le temps affreux à l’exterieur...
Elle resta assise à ses côtés et regarda également le ciel noir de la nuit. Cette soirée était tellement agitée... Quand un grondement de tonerre se fit entendre encore, elle plissa les yeux, comme si elle craignait qu’il s’abatte sur elle et sur Narcisse.

Milicent regardait le jeune homme par moment, pour observer ce qu’il faisait. Il faisait comme elle, il regardait le ciel agité, détendu sur le lit de plume... Malgré le temps pitoyable de l’éxterieur, elle était plutôt bien aux côtés du garçon. Tant qu’elle était en sa compagnie, elle n’avait rien à craindre, ce qui était une bonne chose. Elle le regarda, puis elle pensa à une question à lui poser qui lui trottait dans la tête. Après tout elle ne connaissait rien de lui et elle pouvait lui poser des questions pour faire plus ample connaissance.

“Narcisse.. est ce q...”

Soudain, un éclair gigantesque s’abattit sur le domaine, grondant fortement et produisant une lumière aveuglante durant à peine une seconde. Elle regarda Narcisse cligner des yeux en regardant la jeune fille. Il paraissait bizarre, comme si la foudre était tombée sur le crâne du pauvre garçon allongé. Elle dit d’une voix inquiète en posant sa main sur l’avant bras du garçon.

“Narcisse ? Est ce que... Est ce que ça va ? T’as l’air bizarre ?”

Elle continua de le regarder, en haussant les sourcils. C’était à son tour d’avoir un comportement bizarre ! La jeune fille replaca de nouveau une de ses mèches de cheveux et regarda le doux visage du jeune homme. Apparemment, les plaies sur son front et le reste de son visage n’allaient pas tarder à se fermer, en tout cas, plus une goutte de sang ne perlait sa figure. A nouveau un vent violent frappa les vitres, elle se demandait si Poudlard n’était pas sous une tempête absolument horrible. Elle imaginait même que la serre s’envole et laisse les deux élèves sous la grêle et le froid intense.

* Esperons que la serre tienne la nuit, sinon on est mal partis...*

Elle fit un sourire sans joie au jeune garçon et prît le soin de se masser sa jambe elle même, prise encore d’une douleur. Voici encore une épreuve qui se rajoute dans la tête de Milicent... Essayer de domir avec les intempéries à l’exterieur, ainsi que sa jambe lui donnant comme des coups de fouet. La seule chose qui pouvait être plaisante était la présence du garçon, qui semblait prêt à s’endormir, mais c’était peut être une illusion...

Elle n’avait même pas remarqué qu’elle n’avait pas retiré sa main de l’avant-bras du garçon. Elle se mit à rosir légerement, puis elle retira lentement sa main, et se mit à jouer avec quelques plumes sur le lit. Cette situation était un peu gênante pour elle. Milicent avait très peu de contact sensitif avec les gens, a part lors des bagarres, mais ce n’était pas plaisant...

HJ : Désolée, j’ai aps pu faire grande chose, tu donnes pas assez d’infos :p !

« Oui ? Qui a-t-il ? »

Lui demanda-t-il lorsqu’elle arrêta soudain sa phrase en plein milieu. Le jeune homme regardait toujours le ciel agité, en demandant cela, puis il ramena ses bras vers lui,s ur son ventre, puis il regarda la jeune Milicent, et fut surpris par l’étrange lumière, qui avait toucher la jeune femme lors de l’éclair aveuglant, puis il revint alors à luie t lui répondit alors d’un ton came et serein.

« Oui je vais bien se n’est rien. »

En effet ce n’était rien important, juste une simple hallucination dût à la lumière de l’éclaire et à la fatigue qui lui faisait voir des choses étrange, comme présentement. Il ne savait pus trop quoi faire à présent, dormir ? ou bien passer la nuit à discuter en charmante compagnie ? Dormir serait bien dure avec le temps qu’il fait,e t puis il ferait encore sur ment un de ses affreux cauchemars dont il n’arrive pas a se débarrasser ne serait-ce qu’une nuit, d’ailleurs rien qu’en y repensant il frissonna légèrement, et il se rendit compte, que la jeune femme avait posait sa main au même moment sur son avant-bras, croirait-elle que c’est pour elle ? Peut-être que oui peut-être que non, si elle le croyait, tant mieux pour elle si non, se ne ferait rien de spécial.

Il porta son regard bleuté sur l’avant bras ne premier lieu, et le voyant partir, il le suivit du regard, jusqu’à remonter vers le visage de la jeune femme, ou il vit ses deux joues avec une légère teinte rosée, il souriait et lui dit alors d’une façon douce et calme en posant sa main sur celle de la jeune femme, mais il ne referma pas ses doigts sur les siens.

«Ne rougit pas, tu n’as pas à te sentir gêner avec moi. »

Il lui souriait toujours, c’était un sourire bienfaisant, il n’y avait aucun mal ou aucune agression, dans son regard bleuté, dans son sourire d’ange et dans sa façon d’être avec la jeune femme. Puis il se retourna et se mit sur le ventre, il croisa ses bras et posa son visage sur ses mains ne faisant plus attention à ses plaies et regard le jeune serpentarde, qu’il considérée dès lors, comme une sorte d’amie, mais peut être que demain, quand elle serait avec la bande à Mal Au Foie, elle le renierait, et ne ferait plus attention, à cette pensée, le jeune homme changeât son expression souriante, pour une triste mine.

Mais il enleva vite cette idée de sa petite tête, et se remit à sourire, mais il était plus faible que tout à l’heure, soudain il se rappela et lui demanda.

« Que voulais-tu me demander tout à l‘heure ? »

Fit-il en se redressant un peu, repliant son bras droit et appuyant sa tête dans sa main droite.

#hj : je garde un peu de mystére ^^hj#

Il avait beau dire que ce n’était rien, il avait parût bizarre quelques secondes. Puis elle changea de sujet. Lorsqu’elle avait posé sa main sur son avant-bras, elle l’avait fait seulement par inquiétude, pour rien de plus, enfin, c’est ce qu’elle pensait. Elle se sentait gênée de lui avoir tenu le bras durant quelques minutes sans s’en rendre compte, et quand elle retira lentement son bras, Narcisse prît sa main doucement. A ce moment précis elle ressentit le même effet quelques minutes auparavant, quand elle était dans ses bras, au chaud et en sécurité.

Ses joues s’empourprèrent immédiatement. Décidément, elle rougissait très vite lorsqu’elle avait un contact avec une personne, ce qu’elle n’avait jamais découvert avant. Quand il dit d’une voix douce qu’elle n’avait pas à rougir et à se sentir gênée avec lui, ce fut l’effet inverse que la volonté du garçon. Elle rougit encore plus et eu l’envie de fuire face au visage qu’elle devait avoir en ce moment, et se cacher. Mais elle pensa qu’elle était beaucoup mieux aux côtés du garçon. Son coeur s’était accéléré très vite durant ces quelques jours... Elle avait ressenti diverses émotions : la joie, la peur, la honte, le désir, la tristesse, la douleur, et un sentiment qu’elle ne percevait pas distinctement...

Toutes ses émotions qu’on aurait pu résumer en une vie d’existence, mais Milicent eu la chance de les découvrir en une soirée, grâce à un garçon. Elle regarda le jeune lui sourire, puis elle l’imita. Elle regarda sa main tremblante tenir celle du garçon, et esseya de reprendre son calme. Puis le garçon se tourna brutalement, faisant dos à Milicent, couché de son côté. Que lui arrivait-il ? Elle n’en avait aucune idée. En tout cas il paraissait vexé. Peut-être l’avait-elle gêné, ou avait-elle fait quelque chose qui le dérangeait ?

Lorsqu’elle s’apprêta à lui demander, il prît la parole, malgré qu’il ne la regardait pas. Que voulait elle lui demandait tout à l’heure ? Milicent s’en rappellait très bien, mais elle n’avait pas envie de lui demander... Mais après tout, elle avait déjà découvert le sentiment de la honte, et ça ne l’avait pas tué...

“ Je voulais savoir si... Tu... Tu avais quelqu’un dans ta vie ? Oh c’est juste une question... “

Elle fit un aimable sourire, qu’il ne put pas voir, puisqu’il était tourné. Lorsqu’il aurait répondu, elle lui demanderait pourquoi ce comportement soudain de lui faire dos sans raison...

Ce n’était pas la main de la jeune femme qui le dérangeait, puisqu’il l’avait lui-même prise. Il n’était as spécialement vexé, enfin peut être un peu. C’était seulement cette pensée sur le fait que peut-être…demain matin…leur relation aurait changé, en effet demain, la jeune femme retrouverait, sa bande d’ami et surtout Drago Malefoy. D’ailleurs le jeune garçon sentait bien, qu’elle craignait un peu les réactions de Drago, car elle avait un comportement étrange. Elle était sur ses gardes, comme si soudain, il allait débarquait dans la serre et la voir, ainsi allongeait auprès du jeune homme, avec un magnifique sourire sur les lèvres.

Le jeune homme resta tournée, portant ses yeux sur la bâche en plastique noire, il s’amusait avec une plume, la tenant entre son pouce et son index, il la faisait tourner entre ses deux doigts, puis il l’échappa et la retint de justesse dans la paume de sa main, puis il referma brusquement celle-ci sur la plume. Il demanda alors à la jeune fille, ce qu’elle avait voulut lui demandait quelques instants au par avant, alors restant tourné, il écouta ses paroles, puis alors qu’il avait toujours les yeux fixés sur la bâche il releva soudainement la tête, ce n’était pas brusque, c’était plutôt qu’il était étonner par cette question.

Il fit alors les yeux ronds par cette soudaine question, puis il lui répondit alors, en se rallongeant sur le dos, mais sans regardait la jeune femme, les yeux fixaient sur le ciel qui était toujours agité par les éclairs, la pluie, la grêle et le vent qui soufflait.

« Non je n’ai pas de petite amie…Mais pourquoi cette question ? »

Lui demanda-t-il, en tournant ses yeux bleus clairs dans sa direction, il la regardait attentivement, et peut-être qu’il aurait la confirmation de se qu’il pensait quelques instant plutôt, enfin a peu prés depuis le début de leur rencontre, quand elle frissonnait sous le contact de Narcisse. Et puis si c’était la réponse qu’il attendait, il ne serait comment réagir, car comment voulez-vous réagir à une réponse pareil, enfin peut-être que c’était une simple question, alors il préféra ne rien penser à ce sujet, et remit à sourire amicalement à la jeune femme.

“This is the love time
I want you
Be with you
I want you
Cry for you”

C’est pas vrai encore cette fichu chanson qui venait dans sa tête, mais qu’est-ce qu’elle fichait là, il en avait réellement marre de cette chanson à la noix, si sa continu, il devrait ce mettre à la chanter à voix haute et même à la jouer avec sa guitare électrique, mais question de jouer c’était impossible il n’avait pas sa guitare avec lui et ne voulait pas risquer de la faire se casser par un temps pareil.

Son regard toujours tourné vers Milicent, avec toujours se même sourire, il la regardait, il essayait de lire dans ses yeux, mais il n’était pas devin ou autre, alors il ne pouvait pas savoir se qu’elle ressentait, même si les yeux sont le miroir de l’âme comme on dit souvent.

Milicent remarqua que le jeune homme eu comme un soubresaut quand elle posa cette question. Elle pensa immédiatement que c’était uen qestion douloureuse, ou peut-être qu’il n’avait jamais été heureux en amour, comme elle... Il répondit simplement qu’il n’avait pas de petite amie. Mais la question qu’il rajouta embarassa très vite la jeune fille. Mais cette fois, ces joues ne s’empourprèrent pas, comme si elle ne craignait plus rien du garçon et rien ne pouvait lui donner l’envie de fuire à toute vitesse. Elle prît une grande respiration et haussa les épaules.

“ Comme ça. ”

C’était une simple question, ou peut-être plus, mais Milicent n’en savait rien. Tant qu’elle ne voyait pas le garçon fuire en courant, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter. Elle bailla une première fois, sous l’effet de la fatigue, mais la jeune fille ne voulait pas dormir. Elle se contenta de fixer les yeux clairs, de la même façon qu’il le faisait. Puis elle ne put s’empêcher de rire, le garçon était assez déstabilisant !

“ Arrête de me regarder comme ça ! ”

Elle avait envie de lui lancer une poignée de plume pour qu’il arrête de la regarder aussi intensément, mais il éternuerait une nouvelle fois, alors... ^^
Un autre éclair vint briser l’atmosphère dans la serre, qui était pourtant détendue. Elle soupira de lassitude, ces précipitations étaient assourdissantes et perturbantes. Milicent se tourna et fit attention à sa jambe, puis elle s’allongea auprès du garçon, regardant le ciel mouvementé.

* Aïe !! *

Encore sa jambe ! Pourtant elle esseyait d’oublier ses douleurs mais elles étaient insupportables. Elle redressa le haut de son corps et se mit assise, pour se masser la cheville une nouvelle fois. Sur le bandage, on voyait les marques de sang qui traversaient les couches, ce qui inquiéta quelque peu la jeune fille. Mais bon, elle n’allait pas gâcher ce moment de tranquilité avec le garçon. Elle massa lentement sa jambe douloureuse en appuyant dessus, pour faire cesser la douleur, mais ça ne marchait pas. Elle devait sûrement supporter cette douleur encore toute la nuit...

Le jeune homme écouta sa réponse, il ne fut pas surpris, car c’est souvent cette réponse-i que donne les personnes qui pose, cette fameuse question, mais c’est souvent parce que eux-même au plus profond de leur âme, voudrait que la personne à qui il pose cette question, n’est personne dans leur vie, et qu’il voudrait sur ment être avec la personne à qui il pose cette question. Mais pour Narcisse il était impossible d’imaginer qu’une fille veuille de lui…après tous qui voudrait d’un garçon lunatique, et quelque peu dérangé du cerveau, voyant en psychologue et qui en plus fume ? Personne, les filles préfères souvent les beau garçons qui n’ont pas de problème et qui joue dans l’équipe de l’école, ou en général lorsqu’elles sont dans une bande, elle préfère le leader, en l’occurrence, Milicent devrait plutôt se tourner vers Drago Malfoy ou vers un joueur de l’équipe de sa maison, enfin de leur maison, plutôt que vers notre cher Narcisse, qui lui n’a était aimer que par sa propre mère et sa meilleure amie…son père ? Pourquoi il n’est pas cité ? Tous simplement parce que celui-ci fait comme si il n’existait pas, comme si il n’avait jamais eu de fils.

« Et toi ? Tu as quelqu’un ? »

Après tous ? Pourquoi ne pas se prendre au jeu, elle lui avait posé la question, c’était donc à son tour de la lui poser. C’était tout à fait innocent venant de sa part. Puis alors qu’il observait la jeune fille fixement, celle-ci se mit à rire et elle lui dit qu’il ne devait pas la regarder ainsi, le jeune homme avec un sourire amusé, lui répondit.

« Tu comptes faire quoi si je continu ? »

Il continua alors à la fixer, puis voyant qu’elle baillait, lui aussi fit la même chose, il n’était pas fatigué, se fut simplement le fait de voir la jeune femme baillait qui lui en donna l’envie, il mit alors sa main devant sa bouche pour éviter qu’elle ne voie l’intérieur de celle-ci, puis reporta son bras sur son corps, et regarda de nouveau le ciel agité. Il la senti se relever et il se redressa et lui dit alors en la voyant frotter sa jambe et en remarquant la tache rouge sur la bandage.

« Attend je vais changer ta bande. »

Il s’approcha alors de la cheville de la jeune femme, il se mit sur ses genoux, et fit apparaître une nouvelle bande dans sa main, à l’aide de sa baguette, et remplaçant la bande tacher, par la bande propre, il fit disparaître, celle qui était usagée, et tourna ses yeux bleutés, vers la jeune femme et lui dit alors en souriant.

« Voilà sa devrait aller maintenant »

Puis il se rallongeât sur le dos, les mains derrière la nuque.

#hj: je ne peux pas mettre la chanson, il n'y est pas sur radioblog et ni sur youtube et ni sur dalymotion Escapade Nocturne (libre) 12

hj#

HJ : Tu m’enerves tout le temps à mettre une dernière action à la fin qui m’empêche de faire ce que je voulais ^^ Bon tant pis, je vais faire sans..
C’est quoi le titre de la chanson s’il te plaît ?

“ Non je n’ai pas de petit ami...”

* Et de toute façon personne ne m’aime alors... *

Elle regarda le jeune homme en riant lorsqu’il demanda ce qu’elle lui ferait si il continuait. Elle fit un sourire taquin et dit d’une voix tendre :

“ Je ne sais pas, tu ne mérites même pas que je te fasse du mal ! ”

Elle plaisantait bien évidemment, même si il ne lui viendrait pas à l’esprit de faire du mal à Narcisse, lui qui était si gentil avec elle... Et elle n’aurait plus personne pour faire ses bandages, ce qui serait absolument horrible ! L faire elle même ? Elle n’y pensais même pas... Lorsque sa jambe la démangea, elle se redressa et se frotta le plus fortt possible.

Elle s’y attendait bien sûr, de son naturel protecteur, que Narcisse vienne l’aider. Il retira lentement les bandages, laissant découvrir ses horribles ouvertures. Elle eu un haut-le-coeur, tellement que c’était dégoûtant. Ne plus sentir les bandes lui serrer lui faisait le plus grand bien. Quand il eut finit, elle dit d’une petite voix.

“ C’est très gentil de ta part, merci... ”

Quelques heures auparavant, Milicent n’aurait jamais pensé remercier une seule fois une personne. Mais comme elle le pensait depuis le début, il le méritait. Elle soupira, contente que ses douleurs avaient disparues. La jeune fille imita le garçon et s’allongea au près de lui. Elle regarda le ciel qui semblait s’être temporairement calmé. La jeune fille n’avait pas encore remarqué qu’ils étaient éclairés par la lune, mais aussi par quelques petites lanternes suspendues comme par magie. Mais lorsqu’un violent éclair tomba au dessus de la serre, les lanternes s’eteignirent. Elle se tourna instinctivement vers Narcisse, qui, sous la faible lumière de la Lune, avait une mine fantomatique. Elle se rapprocha de lui, détestant plus que tout l’obscurité. Elle esseya de garder son sang-foid, mais dans le monde de la magie, ce n’était pas si facile, surtout qu’on peut se faire tuer facilement, et en particulier la nuit... Elle fixa les yeux du jeune homme, en tremblotant légerement. La Serpentard prît la parole et dit :

“ Manquait plus que ça... ”

Elle soupira et contempla le regard perçant du jeune homme.

Elle n’avait pas de petit ami, c’était comme lui, ils avaient au moins se point commun ensemble, puis le jeune homme pour la taquiner un peu, lui demanda d’un ton faussement innocent.

« Et tu as quelqu’un en vue ? »

Oh bien sur, il ne demandait pas sa pour lui, en lui disant cela il pensait, à Drago malefoy, car pratiquement toutes les filles de serpentard, à part quelques-unes une avait comme qui dirait ‘ flashé’ sur lui. Et le jeune Narcisse ne l’enviait pas du tous, il était bien mieux comme il était, c’est-à-dire seul, tous seul, avec lui même, il se contenté, d’avoir des amis, car pour lui l’amitié est un sentiment bien plus beau que l’amour, mais peut-être que se sentiment si étrange et qui fait souffrir, lui tomberait dessus, qui sais ? Peut-être ce soir ?.

« Je sais, j’ai tellement une tête d’ange, que personne ne voudrait m’en faire. »

Il riait sous ses propres paroles. Puis il aida la jeune serpentarde avec sa jambe, et lui fit un sourire lorsqu’il eu terminé son opération. Lorsque la jeune Milicent le remercia, il lui fit un léger sourire, puis revint s’allongeait sur la matelas. Milicent fit alors la même chose, et alors que les deux jeunes gens observer le ciel, un éclair vain alors frapper violemment la serre est éteignit les petites lanterne présente. Les deux jeunes élèves se retrouvèrent dans l’obscurité totale, seulement éclairé par les rayons de lune, et le flash des éclairs.

Puis alors qu’il continuait d’observer le ciel, il senti la jeune femme aux cheveux dorés, se blottir à nouveau contre lui, ce dernier dans un geste de protection, passa son bras autour des épaules de la jeune femme, et posa son bras libre sur l’épaule de la jeune étudiante. Il tourna alors son visage vers elle, et il se retrouvèrent, très proche l’un de l’autre, si proche, que le jeune homme pouvait sentir le souffle chaud de la respiration de Milicent su son visage. Visage qui d’ailleurs paraissait étrangement fantomatique sous les rayons de la pleine lune.

Ils étaient à présent les yeux dans les yeux, ils étaient calme, le temps semblait s’être calmé, en effet la grêle et la pluie avait cesser de taper contre les carreaux des fenêtres, et le vent souffler moins fort, comme si, soudain quelqu’un avait couper le son, pour savourer se moment, comme dans la pub pour le caprice des dieux.

#hj : c'est Last Day de KIBO. et désoler pour les actions en fin de rp ^^hj#

hj : “comme la pub pour le caprice des dieux” xpldr XD

Quelqu’un en vue ? Nan mais et puis quoi encore ?! Elle venait peut être à présent de retrouver une partie de son âme qui comportait son bon côté, mais pas au point de tomber aux pieds d’un stupide garçon en clignant des yeux... Ce n’était pas du tout son genre, puis elle avait l’habitude d’être seule, ou alors accompagné de ses amis qui sont comme elle : sans scrupules et très rancuniers. Le temps faisait encore des siennes, et au moment de l’éclair qui éteignit les lanternes comme par magie, elle se blottit contre le garçon. Elle prenait alors à présent goût aux bras du garçon, étant au chaud, à l’abri, et en sécurité.

Son regard se ferma quand elle remarqua le visage du garçon très près d’elle. En temps normal, elle l’aurait poussé en arrière avec une enorme gifle, et elle serait partie en courant, mais elle n’avait pas tellement envie. Il ne la gênait pas, et elle était très bien comme ça. Prise d’un certain besoin d’affection, elle entoura le cou du garçon, comme oubliant la raison pour laquelle elle était dans ses bras. Milicent sentait le doux parfum du garçon, lui donnant un frisson très intense, et agréable. Elle pensait à diverses choses dans ses bras, et en premier à ses amis. Comment réagirait-elle demain matin quand elle se reveillerait ? Allait-elle laisser le garçon endormi dans la serre, resterait-elle dans ses bras durant toute la nuit, ou dormirat de son côté sans bouger ? Elle n’en savait rien. La boule dans son ventre devint plus douloureuse quand elle remarqua vraiment que leurs visages était très l’un à l’autre, et peut être esperait-il être récompensé par...un baiser ?

* On se calme... *

Elle n’avait jamais embrassé un garçon de sa vie : elle qui avant était grosse et affreusement laide, n’avait jamais eu le loisir de toucher les lèvres sucrées d’un garçon. Peut être que celles de Narcisse était délicieuses, et elle se sentait prête à en faire l’experience...

* Courage Milicent, tu ne peux pas reculer... Tu respires à fond, tu fermes les yeux et tu rapproche tes lèvres des siennes, pas compliqué ! *

Plus facile à penser qu’à faire, mais elle devait le faire, sinon elle raterait une occasion qui ne se répeterait peut être jamais plus... Elle écouta sa conscience. La jeune fille prît une grande respiration, tout en regardant le garçon. Elle déglutit avec difficulté, ses mains étaient moites, cette situation était délicate, il ne fallait pas se rater ! Elle ferma les yeux lentement et avança sa tête le plus doucement, jusqu’à toucher les lèvres douces du garçon. La Serpentard sentit son coeur exploser de joie : elle était en train d’embrasser Narcisse...

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