Ne jamais s'aventurer trop loin ... (libre)

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Il devait être dans les environs de 2oh3o. Caroline, après avoir terminé son devoir de DCFM, s'était dégourdit les jambes en marchant dans les nombreux couloirs de Poudlard. Elle avait même découvert un passage secret, caché sous une vieille tapisserie poussiéreuse. Seulement, le temps passait atrocement vite. La jeune fille avait renontré des élèves, avait découvert une nouvelle cachette, et avait fait la connaissance d'une Gryffondor, et ce, en l'espace de quelques heures. La jeune fille n'avait aucunes idées de l'heure du couvre feu. Depuis qu'Ombrage était à Poudlard, elle ne cessait de prendre le pouvoir. Et le couvre feu était désormais très stricte, et mis en place plus tôt. Alors, en adressant un regard à sa montre argentée, quand elle vit l'heure qu'annonçait 'aiguille de sa montre, Caroline se mordilla la lèvre. Il fallait à tout prit qu'elle rentre dans sa salle commune. Mais, elle n'avait absolument aucunes idées dans lequel des nombreux couloirs, elle se trouvait. Poudlard était immense, et la jeune fille était perdue.

Alors, en essayant d'être la plus discrète possible, elle traverssa un couloir, puis se trouva face à un escalier. Celui ci donnait vers une porte sans inscriptions. La jeune fille regarda tout autour d'elle, espérant ne pas tomber sur un préfet et encore moins sur un directeur de maison ou un professeur, puis posa son pied sur une des marches. Elle descendit, puis tenta d'ouvrir la porte Vérouillée ... Elle fit demi tour, puis se retrouva à nouveau dans cette grande allée, éclairée par des torches enflammées, fixées sur chaques extrémités des murs. Mais, à son plus grand déséspoir, Caroline apperçut une silhouette au loin. Elle tenta de se cacher dans un coin sombre de l'allée, et pria interieurement pour ne pas se faire repérée.

« Haaa!!! Mais lâche moi lâche-moi! Razz

»
« Hihi, tu m’échapperas pas cette fois si Chatwyn! »

Les deux amis couraient dans le corridor comme des gamins de 5ans. Il était environ 19 :00heure. Ils venaient de finir leur souper et ils auraient dû, maintenant aller faire leurs devoirs. Mais l’envie de s’amusez un peu plus avant de rentrer dans leur salle commune était pour le moins… trop tentante. Alors pourquoi ne pas y succomber? Et c’est exactement ce qu’ils étaient entrain de faire. Julian devant, Arthur derrière, les deux copains courrait à travers le corridor en criant et en se taquinant, se poussant. On a beau être de grand garçon, c’est toujours un plaisir de faire les gamins quand on peut. Et depuis d’arrivé de Ombrage, c’est occasion étaient de plus en plus rare. Sans noté que la couvre feu était à 19 :30heure, l’accès a la volière était interdite et que les Serpentard n’arrêtaient pas de reprendre tout le monde sur leur comportement en leur infligeant des retenues pour le moins… sans intérêt, l’école était de plus en plus sombre et triste. Les rires, les bêtises et les joies étaient de plus en plus rares. Et tout le monde étaient à blâmer… Mais ceux comme Julian qui essayait encore une fois de faire le malin en s’amusant alors qu’il sait bien qu’il va se faire avertir. D’ailleurs… Voilà déjà que ça l’arrive. Michael Cohen, 6e année Serpentard. Grand, gringalet, poisseux… Et surtout, énervant! Ce grand minable de Serpentard arrêta les deux comiques en pleines actions, d’un coup de main dur l’épaule de Julian et d’une tape derrière la tête d’Arthur.

« Hé! Mais qu’est ce que vous faîtes? Le couvre-feu est dans exactement 10minutes. Et puis, je me demande vraiment ce que de salles gosses dans votre genre font encore dans cette école. Crétins. »
« Ouais c’est ça, abrutis.» Lâcha tout bas, Julian.
« Qu’est ce que t’as dis? » Demanda Michael, qui c’était déjà retourner pour partir.
« Moi? Mais rien, mais rien. T'as entendu quelques chose peut-être? »
« Ouais c’est ça, laisse faire. »

Les deux Pousouffle repartirent tranquillement en direction de leur salle commune. Ils devaient l’avouer, l’école était rendu d’une platitude extrême. Faire leurs devoirs après le souper, même un samedi? Mon dieu, il ne pouvait avoir pire. Pire que ça, je connais pas.
Tournant le dernier coin avant d’arrivé au Tableau qui leur permettait d’entrer dans leur salle, Julian remarqua une ombre dans le fond du corridor. Ce n’était pas un Serpentard il en était sur. Et puis d’abord, depuis quand les Serpentards portent-ils des écharpes bleues?

« Julian tu viens? » Demanda Arthur, qui avait maintenant bien du mal a tenir le tableau ouvert.
« Mmm.. Non, je vais venir te rejoindre… Je vais faire un tour. »
« Nan mais t’es fou!? Le couvre feux est passé depuis environ une heure! »
« Tu sais ce que j’en fais moi du couvre-feu? »
« Bah allé, tu viendras me rejoindre alors. »

Le jeune garçon avançait tranquillement faire la source de curiosité et remarqua que c’était une fille. Un peu plus grande que lui… Mais ça c’est pas inhabituel. C’est même très familier.
Bref, il demanda en s’avançant tout simplement.

« Le couvre feu est passé Tu sais? »

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Cachée. Cachée tant bien que mal, contre un mur dont la torche était éteinte. Une simple obscuritée, mais qui ne suffisa pas à se faire innaperçue. Oui, Caroline venait de se faire prendre. Par qui d'ailleurs ? Par un garçon sans doutes, puisqu'elle reconnu une voix à la mélodie masculine. Elle se mordilla la lèvre inferieur, sans doutes par anxiétée. Mais, en s'approchant et découvrant ainsi son visage doux de l'obscurité, elle apperçut un garçon. Sa cravate posée autour de son coup était auc couleur des jaunes et gris. Les Poufsouffles de Poudlard. Un poufsouffle, mais qui ? Elle ne l'avait jamais vu auparavant. Ou peut etre deux ou trois fois dans un cour, par ci par là, mais sans vraiment s'en préoccuper. Elle le regarda alors, puis répondit à sa remarque. Peut etre que le couvre feu était dépassé, mais elle n'avait aucunes idées d'où elle pouvait être, alors ... Alors forcément, on est dans la merde.

~ C'est vrai ...

Dit elle d'une voix légèrement fatiguée. Elle jetta un regard derrière elle, et fut rassurée de ne voir personne. Mais on ne savait jamais. Les Serpentards trainaient toujours un peu partout, abusant de leur pouvoir en distribuant des retenues à un peu tout le monde. Bien sur, exéptés à leur collègues. Caroline détestait ce genre de morveux. Elle avait bien envit de leur faire payer ce genre d'injustice, mais elle n'avait pas envie de se faire défigurer par un 7 eme année. Après tout, c'était une fille, elle n'avait aucuns moyen de défence apart la magie, et était assez fragile. C'était une fille quoi.

(Désolé pour le temps, je n'ai aucune excuse. Si ce n'est le manque d'inspiration.)

Pourquoi des gens aussi ennuyeux existaient t’ils? Julian en parfait Prince Gentleman venait offrir son aide a une jolie princesse en détresse, et tout ce que cette princesse en détresse trouva à dire fut; ~ C'est vrai ...

Oulala, mais que de difficulté à prononcer ces quelques mots. Est-ce que Julian était si affreux que ça? Pourtant, il avait bien regarder Jane a matin, et Arthur lui avait répété pour la millième fois que ça sœur était plutôt jolie. Alors, on peut en conclure que Arthur disait par le fait même a Julian qu’il était beau comme un chevalier virilement viril?
Bon, sans exagérer disons, je n’irais quand même pas a dire qu’il est beau comme un dieu, mais quand même, le chevalier, ça passe encore non? Mais alors, si Julian ressemblait de très près a un chevalier sauveur de princesse a détresse, pourquoi la princesse en détresse qui était présentement a coté de lui, portait à notre Julian si peu d’attention. Elle aurait pu au moins lui demander comment il s’appelait, s’il aimait le chocolat, le gazon ou encore les grands-papa qui mangent du pop-corn. Mais non rien de cela, juste deux yeux fatigués et une voix tout aussi épuisé. C’était quand même décevant, surtout pour un Julian qui c’était déplacé dans le couloir après le couvre-feu juste pour sauver une princesse. Faut quand même le faire, des Gentlemans comme ça, on en trouve plus aussi souvent de nos jours. Dieu merci qu’il en reste encore quelques-uns uns pour sauver l’avenir des chevaliers aux cheveux bruns.

*Bah, moi je trouve qu’elle me manque de respect, elle pourrait au moins me dire merci d’être venu la sauver! *

Après mûres réflexions au sujet de quoi faire dans le moment présent pour pas être gêné de la situation –Puisque personne ne parlait, personne ne bougeait, et même pire, Julian avait arrêté de respirer l’instant de reprendre son souffle pour pas mourir.-, Julian décida de prendre la parole et dire ma fois, quelque chose de si intelligent qu’il le regretta l’instant D’après.

« Ouais hé bien tu sais quoi, je te dirais même pas mon nom, t’as qu’a deviner si tu veux le savoir! . »

Rouge comme un pot de peinture, Julian ne pouvait s’empêcher de sourire. Et bien ouais, quand il est gêné, il sourit, mais pas parce que c’est drôle, parce qu’il est gêné (Je viens de le dire?) Pour pas que la situation devienne encore plus déplaisante qu’elle ne l’était déjà (En tout cas pour Julian),celui-ci décida de reprendre la parole, cette fois si avec un peu moins d’éclat. Il s’approcha de l’oreille de la jeune princesse en détresse et murmura assez fort pour que ce ne soit pas un murmur.

« Si Ombrage nous voit, on est cuit. J’ai pas envie d’avoir une retenue Samedi, il paraît qu’il va faire soleil et que tout le monde va aller dehors. Moi a ta place, j’irais dans mon dortoir tout de suite. Ouais. En plus, moi et Arthur tout a l’heur on a croisé un Serpentard lèche bottes de Ombrage et s’il me revoit encore dans le corridor, je vais faire un allé simple dans le placard à balais…. Et je te jure, ça sens pas le chocolat. »

Se reculant à mesure qu’il parlait, tout en parlant de plus en plus fort d’ailleurs, Chatwyn lui demanda, les sourcils arqués cette fois;

« Et puis d’ailleurs, qu’est ce que tu fais dans le corridor a cette heure? »

» Jamais le Soleil et la Terre n'ont paru si proches. * Libre
» Au plus loin du sol, au plus près du ciel -pv
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