Mais où est-elle ?

~ PV Alice ~

La nuit commençait à tomber, tous les léèves étaient dans leurs salle commune ou dortoir, et pamrit tous ces élèves, un jeune home était assis au coin du feu en train d'étudier, Lorsqu'un hibou frappa aux carreaux d'une fenêtre, le jeune homme se leva, de son fauteuille posant son livre sur celui-ci et allat ouvrir au hibou, et saissa la lettre qui semblait être our lui, il l'ouvrit et lut se qui était écrit.

Citation :

Narcisse, rendez-vous au sixième étage, toilette des filles.
Alice

Il avait reconnu son écriture à l'instant même ou il l'avait vu, il se gratta la tête un instant ,l'air septique, c'est vrai que les toilettes des filles étaient un endroit assez étrange pour un rendez-vous, mais bon si elle ovulait le voir là-bas, il irait. Il rangeat alorsl a lettre dans la poche des on jean, et prid sa veste noir, et parti de la salle commune. Il marchat jusqu'aux escaliers, le hall était calme, il n'y avait pas un bruit, a part ses propres pas qui raisonnaient lorsqu'il marchait, puis il monta l'escalier centrale, et pris la direction du sixiéme étage, à l'éid e des escaliers mobiles.

Au bout de quelsques instant, il fut enfin arrivé, il marchat dans le couloir, à la recherche d'Aice, puis arriva dans les toiletess des filels, mais il n'y avait personne, il se stopa alors au millieu de la piéce, se grattant de nouveau la tête, puis il appela alors:

Alice ! alice tu es là ? C'est moi Narcisse !

Mais personne ne répondit, il décida alors d'allero uvrir lesp ortes de chacun des toilettes pour vérifier si elle ne lui faisait pas une blague, il lesp oussa une à une, mais il n'y avait rien, personne nada, mais qu'est-ce que c'était encore que cette histoire, c'étaitu ne blague ou quoi ? quequ'un voulaitl ui faire payer quelque chose ? Sa se trouve c'était se gryffondor en fait, mais pourtant, c'était bien l'écriture d'Alice sur se mot, bref, il s'approcha d'un mur et s'asseya par terre, attendant la venue de son amie,si elle venait.

Assi par terre contre ce mur de pierre, le jeune homme commençais à sentir la fatigue lui tomber dessus, il résista pendant un long moment, mais au bout de quelques instant de résistance, la jeune homme succomba et tomba dans le sommeil, la bouche ouverte etl a langue pendante, il avait l'air complétement riddicule, et si il y avait une photo à prendre c'était bien celle-ci, car c'est pas toujours que l'on voit le beau gosse Narcisse feuer, dans cette situation plus que gênante.

hj: désoler pas terrible :hj

Il fallait qu'Alice vît Narcisse, car c'était très important . Elle voulait lui expliquer le " test ", dont elle lui avait brièvement parlé . Elle ne voulait pas entrer dans les détails, à cause de ce crétin de Gryffondor ( Rappel : Ce topic se passe, le lendemain du topic au Parc XD) . La demie-vampire ne voulait plus le voir, mais elle avait toujours cette impression de sentir un vide au niveau sa poitrine . Qu'est-ce qu'elle avait bien pu perdre ? Son coeur ... Peut-être . Alice était bien décidée à y arriver, cette fois-ci. Elle ne parlerait plus jamais à ce Gryffondor de pacotille, plus jamais ... Etait-elle vraiment capable de faire cela ? Ben ... Oui, enfin ...

La demie-vampire voulait à tout prix voir, son meilleur ami . Le test ... Ce test avait un rapport avec ... ce Gryffondor ? Oui et non ... Alice n'était pas sûre . Alors qu'elle s'avançait tranquillement dans les couloirs, son sac en bandoulière sur son épaule, elle vit la personne dont elle ne voulait plus entendre parler, Regal ... Le Rouge et Or était en train de se pavaner avec cette cruche d'Amy Farmer . D'ailleurs, celle-ci la regardait avec un sourire triomphant . Oui, Farmer avait gagné et alors ? Alice passa devant eux sans leur adresser le moindre regard . Pendant une minute, elle crût voir les yeux tristes du Don Juan . Elle avait encore plus mal, qu'hier . Allait-elle supporter cette situation ? Cette promesse était complètement idiote, mais la jeune fille était têtue, donc, elle n'allait pas cèder la première . C'était hors de question . Elle avait tout de même sa fierté de Serpentard . Pff, franchement, pour qui il se prend .

Ce matin, avant de partir, en cours, elle écrit un petit mot, donnant rendez-vous à Narcisse dans les Toilettes des Filles, aux alentours de 21h00 . Elle voulait lui parler du test . Ce qui s'était passé dans le Parc et à Pré-au-Lard, n'était pas une coincidence car cela devait arriver . Elle finit d'écrire, mais elle n'avait pas eu le temps d'aller au Volière, car elle était déjà en retard pour le cours de Métamorphoses . Elle le posterait, ce soir .

Elle ne vint pas à la Grande Salle, pas ce soir, car elle n'avait envie de le voir, lui . Elle partit chasser vers 19h30, puis alla au Volière . J'espère que Narcisse allait le recevoir, son mot . Elle revint à la Salle Commune, pour se changer , pour être plus à l'aise . Elle mit une simple robe rouge bordeaux, qui lui allait merveilleusement bien . Elle monta les escaliers, marche par marche, puis arriva enfin au sixième étage . Elle rentra dans les Toilettes des Filles, puis le vit, son meilleur ami, qui gisait au sol . Il avait la bouche grande ouverte la langue pendante . Alice rit, pusi décida enfin de le réveiller . Elle baissa près de son corps endormi, le secoua avec douceur .

Alice - Narcisse, réveilles-toi ... Je suis là .

Il était si mignon que ça entrain de dormir ? A croire que oui, mais l'ennuit, c'est que dans la situation ou il avait était, le mot mignon était un peu fort, Narcisse se serait lui-meme qualifier, de looser entrain de dormir, et ce ne fut pas le pire, le pire ce fut ce petit mot, celui que prononça Alice par la suite, le mot "bébé". A croire que la jeune Alice avait oublier tous comme sa propre mére, que NArcisse étiat plus un bébé, bien sur il svait parfaitement que c'était pour rire, mais il aimait jouer sur les mots et il joua, mais Alice en avait l'habitude.

Alice...Je ne suis plus un bébé voyons...J'ai l'impression d'avoir ma tendre mère en face de moi, quand je t'entend dire cela, et je déteste ça, meme si je t'aime et que j'aime ma mére

Il riat avec elle. Puis parti se rafraichir un instant au lavabo, il sentait le regard de son amie sur lui, mais sa ne le génaitp as, il aimait bien quand elle le regardait, et il aimait quand on le regardait, il se sentait important, il aimait cela, mais parfosi sa arrivait que sa l'énerve, puis il refermat le robinet. Il se retourna sa veste sur son bras, et vint se poser prés d' Alice, qui semblait etre enfermer dans son monde, dans ses pensées, en effet ses yeux c'était soudainement fixer sur les gouttes d'eau qui tombaient du robinet, puis elle revint à elle, lorsque se dernier fut assit.

Il la regarda en souriant, et lui demanda se qu'elle voulait lui dire, mais elle détourna le sujet, elle lui disa, qu'ils avaient tous leurs temps, mais pourtant dans la lettre, dans ce petit mot, sa avait l'air si important, mais apparement, il s'était trompé, ce n'était peut-etre pas si important que cela, et meme si sa se trouve, elle voulait simplement passait un peu de temps avec lui. Ils ont passé tellement peu de temps ensemble depuis ces dernière semaines, surtout depuis qu' Alice voyait machin truc bidule chose, et que Narcisse avait quelques ennuits de "santé" mental et physique.

Oui c'est vrai...mais sa avait l'air tellement important...j'ai dut me tromper.

Dit il en tripotant les manches de sa veste, il adorait cette veste, c'était justement Alice, elle -meme qui lui avait offert, pour son quinziéme anniversaire, et il la portait toujours, il adorait la mettre, et puis grace a quelques sort il peu la rajuster a sa taille, comme quoi la magie sa a du bon pour se genre de chose. D'ailleurs en parlant de cadeau, Narcisse porta son regard sur le cou d'Alice, il sourit, elle portait toujours son collier.

Soudain, il senti un poid sur son épaule, c'était la tete d'Alice, il apposa alors la sienne sur la sienne, dans un geste de tendresse, et lui carressa les cheveux, dans un geste de douceur et d'amour fraternel, il était là pour elle, elle était là pour lui, ils étaient là l'un pour l'autre, un bel exemple d'une amitiée, qui a dit qu'un garçon et unefille ne pouvait pas etre de simples amis ?

Alors qu'il la tenait contre elle, il entendit un petit bruit, il regarda sur le sol, une marque ronde était présente, elle était plus foncer que la couleur grisatre, du sol, et elle était humide, il s'agissait d'une larme, c'était celle de son amie. Le visage de Narcisse s'assombri soudain, le remplissant d'inquiétude, puis il demanda à Alice, tout en la gardant contre lui.

Alice ? Sa ne vas pas ? Pourquoi pleures-tu ?

hj: désoler mais j'ai pas put récupérer word >< et j'ai toujours le meme probléme pour les accents circonflexes re >< :hj