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 Réflexion faite ... [ Libre ]

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Pierrick
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MessageSujet: Réflexion faite ... [ Libre ]   Réflexion faite ... [ Libre ] Iconminitime1wn2Dim 25 Mar - 22:38

Tom Wildens :
« Hey McLaggen ! Tu t'en enfin décidé à larguer Wyrven ? »


Pierrick E. McLaggen :
« Tiens, Wildens ... Toi tu t'es pas décidé à larguer la surdose de connerie que t'as, par contre ... J'peux quelque chose pour toi ? »


Tom Wildens :
« Euh ... À par me raconter en détail comment tu l'as largué, j'crois pas, non. »


Pierrick E. McLaggen :
« Ca tombe bien, j'ai pas que ça à faire. Oh, et Wildens, c'est vrai que le rose est à la "mode", mais là par contre, à part attirer Ombrage, j'vois pas où tu comptes aller avec ce rose ... Ah ! Et bonne chance avec Pansy Parkinson, personnellement j'aurais pas osé la voler à Malefoy ... »


Après un sort de coloration non prononcé bien placé, Pierrick McLaggen s'en retourna dans les couloirs de sa démarche féline vers la bibliothèque. Il fallait dire que ses métamorphoses se faisant de plus en plus fréquentes et inattendues, il n'arrivait pas encore à contrôler tous les petits tics qui entourent le domaine de la métamorphose humaine ... Surtout dans la période dans laquelle il était plongé. Non, il n'était pas dépressif. Non, il ne devenait pas anorexique. Pire que ça. Non, il n'avait pas des projets de suicide. Non, il n'avait pas des projets de meurtre. Non, il n'avait pas de projets de cannibalism ... Samantha Lillie Richards, la porte est à droite ! Non, il devenait tout simplement purement exécrable. Il n'était pas malheureux, contrairement à ce que beaucoup auraient pu penser, mais il était dans une fureur noire qui s'apaisait en étant le plus détestable possible. Personne n'avait réussit à lui faire sortir un seul mot sympathique depuis un bout de temps, les seuls politesses qui sortaient de sa bouche étaient celles lancées aux professeurs, qui avaient remarqué une nette hausse de ses résultats. Fallait-il cela pour éblouir les professeurs ? Et bah ça risquait de rester un moment. Non, il n'avait pas réussit à pardonner Wyrven. Non, ce qu'elle avait fait, c'était dégueulasse pour lui. Et le pseudo accident du mélange de malibu et de sirop contre la toux, arrêtez, faut déjà pas être bien net pour confondre la corpulence d'une bouteille de malibu et celle d'une fiole de sirop pour la toux ... Non là, c'était la première fois de trop, surtout dans la manière de faire et de s'excuser ... Non, là, la dent dure de McLaggen surgissait. Et personne n'avait réussit à surmonter cette dent dure depuis qu'il existait. Il s'était mit de très bons amis à dos avec cette dent dure, qui ne pardonnait pas. Là, le sale caractère de McLaggen prenait le dessus. Et ce sale caractère l'habitait complètement. Ainsi, nous pouvons expliquer que McLaggen devienne un SerDentard après avoir subit une telle désillusion. Là, il s'enfermait peu à peu dans sa propre bulle de travail acharné, qui réagit au quart de tour. Ainsi, même un Wildens pouvait passer pour un Gryffondor à côté. Wildens qui, après avoir réagit à la vue de sa tenue complètement rose, avait essayé de pourchasser McLaggen, poursuite qui fut un échec cuisant pour Wildens. A peine avait-il tourné à un angle que McLaggen avait disparu. Sa technique, nous ne serons capable de la dire ... Il n'empêchait qu'elle était très efficace.

Ainsi, imaginez un McLaggen, qui avait prit le mauvais passage secret, qui se retrouvait au septième étage, et qui discernait de loin l'Eterna Wyrven en question. Imaginez également un cerveau bouillonnant de rage. Quel est l'effet qui s'en suit ? Il s'en suit une marche rapide, une bousculade pleine de rage et de ' hautaineté ', et un dévalage d'escaliers très rapide. Effectivement, là, on se dit ' Attention, McLaggen méchant '. Et vous avez pas tord. Un rothweiller enragé était certainement plus doux que McLaggen en cet instant. Là, il était prêt à massacrer le premier qui osait dire un traître mot. Puis ...

Dominique K. Estary :
« Non je ne suis pas là pour ENCORE te faire chier sur ton histoire entre Wyrven et toi ... Je voulais juste te dire que si t'as besoin de me parler, McLaggen, même si j'te connais, pour dire, pas du tout, je connais très bien Wyrven et j'te dirai c'que tu veux sur elle, j'ai rien à cacher ... Je sais que t'es mal, donc si j'peux t'aider, bah tant qu'à faire ... »


Pierrick E. McLaggen :
« Merci Estary, c'est sympathique de ta part, mais je crois assez connaître Eterna comme ça ... Mais je ne manquerai pas à venir te parler quand même ... Les amis de mes ennemis sont mes amis disons ... Allez, j'te laisse Estary, j'ai à faire. »


Là, on tient un record mondial de self control. McLaggen avait littéralement usé de son pouvoir de self control pour ne pas détruire Estary pour, justement, éventuellement bénéficier de son aide. Mais bien sûr, la grande fierté de McLaggen faisait qu'il allait garder ça pour lui-même, allons allons ... Il reprit ainsi rapidement sa marche. Au fur et à mesure qu'il approchait de la bibliothèque, il laissait son esprit se vider. Il était 14h, un Samedi, là, c'était l'heure où le monde allait dehors pour se divertir. Il allait ainsi pouvoir voler discrètement des livres de magie noire dans la réserve ( Des livres datant de Salazar Serpentard, certes, mais des livres quand même. ) histoire d'avoir de la véritable lecture dans son lit. Il se laissait doucement envahir par l'insouciance, pour revenir à un état normal. Que laissait-il prévoir que son projet de vol de livres allait être contré ?









[ Ouvert à qui veut, 2, 3, 4 personnes, peu m'importe.
Mais si de préférence, vous pouviez énerver Pierrick, ou même,
si Basile tu lis ça ( XD ), essayer le le calmer, ça s'rait sympa, michi ^^. ]


Dernière édition par le Lun 26 Mar - 13:12, édité 1 fois
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Lenne Esposito
7ème Année à Poufsouffle
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Lenne Esposito


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MessageSujet: Re: Réflexion faite ... [ Libre ]   Réflexion faite ... [ Libre ] Iconminitime1wn2Dim 25 Mar - 23:43

[ca te dérange que ça soit Lenne...? je poste toujours...]

Lenne revenait d'un tour au parc. Elle n'aimait pas l'hiver, elle aimait l'été le soleil, la chaleur. Il y avait plein de monde au parc, il fesait bon pour une des rares fois et les élèves ont en profité pour sortir et pour destresser aussi. Personnellement c'est ce que voulait Lenne se destresser, elle travaillait en longueur de temps, rester enfermer dans la salle commune avec comme seule compagne Gypsie. Ce volatile n'en fesait qu'à sa tête. La chouette s'échappait tout le temps de sa cage pour retrouver sa maîtresse-plutôt son amie-. Elle était comme Lenne, qui n'en fesaitqu'à sa tête. Mais en ce moment Lenne se sentait un peu seul. Elle pensait à sa famille, elle lui manquait horriblement.

Lenne d'abord pensa à rejoindre son dortoir, vu qu'il n'y avait personne, elle pourrait lire en pax, calmement. Mais elle se résigna. La jeune Poufsouffle tourna les talons et se dirigea vers la bibliothèque, son second refuge. Lenne adorait lire, elle lisait pleins de choses différentes, mais surtout des livres qui restaient dans la catégorie du mystique. Lenne était une rêveuse et une sorcière très appliquée

Tu deviendras une sorcière très puissante si tu étudis bien et si tu suis mes conseils Lui disait son mentor qui était en fait son oncle

Lenne enleva ses gants et ouvrit un peu son manteau, cette marche lui avait donné un peu de chaud. Elle fit un sourir, cette chaleur lui fesait du bien et lui fit rapeler son pays ainsi que sa famille. Lenne était dans ses pensées, elle était toujours comme ça et marchait tête baissée. Quand elle releva sa tête se fut trop tard elle se cogna contre un jeune élève et tomba à la renverse
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Angie Jo
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MessageSujet: Re: Réflexion faite ... [ Libre ]   Réflexion faite ... [ Libre ] Iconminitime1wn2Lun 26 Mar - 19:01

Samedi 14heures. A cette heure, comme tous gryffondors qui se respevte, Miss Johnson n'était pas en train d'étudier. Mais contrairement à ces compatriotes gryffondoriens, elle pouvait avoir la conscience tranquille. Car oui, elle avait fini ses devoirs. Entre le Vendredi soir et le samedi il y a largement de quoi caser un devoir d'histoire de la magie, deux parchemins de potions, un de botanique et trois de défense contre les forces du mal... Bon bien sûr, Angie n'avait pas vraiment dormi, mais elle avait fini et c'est ce qui compte après tout. Quatorze heures.. l'heure pour elle d'aller se coucher après son petit-déjeuner transformé en déjeuner par la force du temps qui passe... Ayant fini de gratter ses parchemins vers trois quatre heures du matin, dans un fauteuil de la salle commune et n'ayant as trouvé la force de se bouger jusqu'à son lit, elle s'était endormie là. Jusqu'à ce qu ces petits m**** de première années qui ne savaient pas profiter d'une grasse mat' plus tardive que sept heures et demi... Angie n'avait trouvé qu'une solution pour régler sa mauvaise humeur: les traiter de tous les noms et les poursuivre avec son sac en bandoulière en guise de lasso. Totalement inutile me direz-vous mais ça détend.

Ragaillardie par cet épisode bien trop matinal, elle rejoignit son lit et rejoignit bien vite les bras de Morphée. Jusqu’à la mi- journée. En fait jusqu’à ce que ces charmantes colocataires décident de remonter de leur excursion pour épier elle ne savait trop quel BBT (beau brun ténébreux...) Pitoyable en somme. Elle grogna et se leva, toujours vêtue dupantalon beige qu’elle portait la veille au soir. Ses prétendues “copines” s’arrêtèrent et lui sourirent. un sousire hypocrite qui cachait mal une seul envie: “casse toi on à affaire..;” Et vues les affaires, Angie préférait partir...

Elle se doucha, mit à la hâte un vieux pantalon et un vieux sweat de son frère, tout aussi grand et déchiré l’un que l’autre et enfonça ses mains au plus profond de ses poches, et se dirigea de sa démarche si peu féminine et pourtant caractéristique d’elle-même vers la grande salla, prendre un repas bien mérité, sous les regards pressants de ses charmantes compagnes.

Mais apperemment le destin, enfin totu dépend ce en quoi vous croyez, n’avait pas décidé d’octroyer à notre Johnson nationale son repas. Et uen Johnson qui a faim est une johnson de mauvaise humeur. Au détour d’un couloir elle remarqua un jeune homme, plus âgé qu’elle, qui avait l’air aussi guilleret et plein d’entrain qu’elle-même, et une jeune fille par terre, qui avait dû se cogner contre M. je-suis-de-bonne-humeur-approchez-moi.

Elle regarda tour à tour le jeune homme, puis la jeune fille qui, à aux deux, empêchaient tout passage dans le couloir. Et quand on est de mauvaise humeur, on oublie son associabilité et sa timidité, même devant un jeune homme plutôt séduisant et une jeune fille des plus charmantes.


"Humm... Hey toi, tu prends tout le couloir..."

Dans sa grande manséitude, Angie tendit à la demoiselle en détresse une main salvatrice puis continua, de sa voix aussi aimable que lui permettait son humeur du moment, ses yeux noirs faisant toujours l'aller retour entre le jeune homme, qui lui semblait être un gryffondor et la jeune fille, peut-être uen poufsouffle:

"Je peux vous demander ce que vous étiez en train de faire là??
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Emily Jones
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MessageSujet: Re: Réflexion faite ... [ Libre ]   Réflexion faite ... [ Libre ] Iconminitime1wn2Mar 27 Mar - 14:34

[BBT XD j’aime]


Emily Jones, le jour où tu seras intelligente, les Billywigs seront verts fluo et danseront la samba entre deux verres de Malibu.

Cette phrase, Emily se la répétait souvent quand elle faisait une bourde, de la plus insignifiante à la plus monumentale. Ce qui pouvait arriver rarement comme très fréquemment. En fonction de son humeur, de nombre d’heures de sommeil qu’elle traînait derrière elle, de l’engouement pris à l’activité, de si elle avait ou non descendu un certain nombre de verres d’alcool, de la couleur de ses chaussettes... Multiples facteurs innumérables, plus ou moins importants. La pas-douée-attitude chez Emily Jones, c’est loin d’être une donnée scientifique fiable. C’est inné.

Mais si nous faisons une analyse succincte de cette phrase, nous pouvons voir deux raisons pour lesquelles Emily ne se faisait cette réflexion que très peu souvent. Déjà, il y avait le mot Malibu. Vous me direz, un bon petit Malibu de temps en temps, ça ne fait de mal à personne. Je confirme. Mais l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Et pour la vie sociale. Enfin ça dépend du point de vue sous lequel on se place mais je pense que vous avez saisi l’idée. Tout le monde voit où je veux en venir. Ceci était donc pour la première raison. La deuxième est contenue dans le mot Billywig. Une partie d’entre vous peut se demander ce qu’est un Billywig. Vous aviez qu’à aller en cours. Bon, plus sérieusement, un Billywig c’est un insecte australien bleu vif. Définition stupide. Un Billywig, c’est ce qui fait qu’Emily arrivait à se lever tous les matins, qu’elle mettait un pied devant l’autre que les journées passaient et qu’elle survivait.

Alors vous allez me dire, pourquoi aujourd’hui, là, maintenant, tout de suite, pourquoi Emily s’était-elle fait cette réflexion ? Et bien parce qu’aujourd’hui, là, maintenant, tout de suite, Emily venait de faire une grosse erreur. Elle avait levé les yeux. Elle avait simplement levé les yeux et elle se haïssait pour ça. Je vous explique. Tout d’abord, situation de l’action. Samedi, treize heures quarante, bibliothèque de Poudlard. Emily venait de terminer son essai de Botanique. Pour une fois qu’elle ne le finissait pas trois minutes avant le début du cours, elle éprouvait une certaine fierté. La Botanique n’avait jamais été sa matière préférée, loin de là. Les plantes, c’était pas son truc. Mais cette fois, elle avait réussi et elle ne trouvait pas son travail trop dégueulasse. Son intérêt pour le cours avait augmenté. Soyons francs, l’effet produit par le nouveau professeur sur la gent féminine n’y était certainement pas étranger. Disons simplement qu’il avait tendance à donner envie de bosser la matière.

Emily avait donc terminé son devoir. Et au moment où elle posait délicatement sa plume sur la table après le point final, une série ininterrompue de gloussements s’éleva depuis la porte de la bibliothèque. Et avant que son cerveau n’analyse la situation, elle avait levé les yeux. Simplement. Si sa tête n’avait pas été emplie de réflexions sur les Géraniums dentus, elle aurait peut-être eu le temps de réfléchir. Se rendre compte que ce genre de gloussements ne pouvait signifier qu’une chose. Mais elle n’avait pas eu le temps. Et elle avait levé les yeux. Et ce qu’elle avait vu ne lui avait vraiment pas plu. Mais alors pas du tout.


Dis-moi, tu as fait le devoir de Botanique ?
Non pas encore.
On n’a qu’à le faire ensemble alors...

S’il y avait une seule personne sur cette Terre qu’Emily détestait encore plus qu’elle-même, c’était bien Avery Blackheart. Elle aurait tout donné, tout, pour pouvoir enfoncer des centaines de poignards mal aiguisés dans sa peau et transpercer son corps de part en part. Vous vous dites qu’Emily est violente ? Pas tout à fait. Ce n’est pas du tout son genre. Mais vous n’imaginez pas ce qu’on est prêt à faire par a... jalousie. Et torturer la personne que l’on déteste jusqu’à la mort fait partie de ce dont on pourrait rêver. Du moins quand la personne en question est grande, blonde et fait tourner la tête à pas mal de garçons.

La suite avait été plutôt rapide. Des regards qui se croisent. Un sourire machiavélique sur un visage. Des yeux pleins de culpabilité qui se baissent. Un regard furieux qui avada kedavre (du verbe avada kedavrer). Un froissement de papier, une chaise qui frotte le sol dans un bruit sec, un éclair de cheveux noirs et Emily avait quitté la bibliothèque. Et bien sûr cette réflexion dont on cherchait l’origine : « Emily Jones, le jour où tu seras intelligente, les Billywigs seront verts fluo et danseront la samba entre deux verres de Malibu ».

Emily avait alors déambulé dans les couloirs sans savoir quoi faire. Elle pensait. Tout simplement. Avery. Et lui. Pourquoi ? Parce que tu n’en voulais plus. C’est pas vrai. Bien sûr que non ça n’est pas vrai, mais c’est toi qui l’as choisi. Mais s’il n’avait pas... Mais si tu ne lui avais pas dit d’aller se faire foutre, peut-être qu’il ne l’aurait pas fait. Peut-être que tout serait différent. Peut-être... Peut-être qu’elle ne souffrirait pas autant, peut-être qu’elle ne serait plus une loque vivante, peut-être qu’elle n’aurait pas commencé à se piquer et peut-être qu’elle pourrait se passer de ses Billywigs. Billywigs...

Billywigs ! Elle en avait besoin. Là, maintenant, tout de suite, elle avait besoin de planer. D’arrêter de vivre quelques secondes. Ou plutôt d’arrêter de mourir. Elle avait besoin de se sentir bien. Elle avait besoin d’oublier. Elle avait besoin de ne plus exister. Elle avait besoin de savoir pourquoi la personne devant elle s’était arrêtée d’avancer et regarder deux débiles couchés par terre...


Hey mais... Pierrick ?
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Basile Crimson
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MessageSujet: Re: Réflexion faite ... [ Libre ]   Réflexion faite ... [ Libre ] Iconminitime1wn2Mar 27 Mar - 16:38

[HJ:
Pierrick a écrit:
Ou même, si Basile tu lis ça ( XD )
Réflexion faite ... [ Libre ] 11 ]

En tout bon élève de sa maison, Basile avait dans l’intention de se rendre à la bibliothèque pour terminer son devoir de Potions. Une fois n’était pas coutume, il était d’excellente humeur. Les divers événements qui s’étaient produits dans la semaine avaient finis par s’estomper peu à peu, et de nouveau le garçon retrouvait un semblant de sourire lorsqu’il arpentait les couloirs. On était bien sur encore loin du grand sourire amical, mais c’était déjà un début (et gros effort) venant de quelqu’un comme lui.

Le sixième année venait à peine de terminer son repas, et après avoir virer son cousin qui venait encore l’accaparer avec l’énumération ses toutes dernière conquêtes (entre autre une quelconque Ashley si ses souvenirs étaient exacts), il avait fini par rejoindre sa tour pour aller chercher ses affaires.
Cinq minutes passés à rajuster sa cravate, dix autres à bavarder un peu avec Colin, et un Basile des plus motivé montait les escaliers, ses livres sous le bras.

Il bifurqua alors dans un couloir qui était moins emprunté (c’est fou comme il y avait du monde à cette heure ci !), et jeta des regards vaguement intéressés aux tableaux qui couvraient les murs. La plupart étaient plongés dans un profond sommeil tandis que d’autres polémiquaient sur à quand daterait leur prochaine rénovation.

Basile observa de plus près un moine gras qui chantait à tue tête, en oubliant par la même occasion de regarder devant lui. Par bonheur, il remarqua tout de même que la Gryffondor venait de s’arrêter, et contourna Emily avant de se la prendre de plein fouet.
Il ne fit guère attention aux autres élèves, et ne remarqua d’ailleurs pas que deux d’entre eux étaient à terre. Par contre, le nom que prononça la jeune fille l’interpella.

Pierrick….comme Pierrick McLaggen ? Presque inconsciemment, le Serdaigle fit volte face, son regard se posant sur le Gryffondor qui venait apparemment de se rétamer. Bien malgré lui une nouvelle fois, ses yeux étudièrent la silhouette de celui qui avait été le copain d’Eterna Wyrven.
L’autre élève qui était sur le sol, il ne l’a connaissait pas, tout comme celle qui paraissait un tout petit moins âgée, et qu’il avait tout d’abord prit pour un garçon. Enfin, la Gryffondor qui venait de prendre la parole, ill'avait déjà rencontrée, bien que ce fut par accident.

Comme il semblait étrange de s’arrêter en pleine marche pour scruter de haut en bas un inconnu, il déclara pour se justifier :

« C’est un rassemblement ou quoi ? » prêt à partir si c’était effectivement le cas.
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