* Vive la mousse *

Bella entendit les mots fatidiques de Fanch:

Je te laisserais pas toute seule... promis... Bella... je... je ne te l' ai jamais dit mais... je... je tiens beaucoup à toi et... tu... tu compte beaucoup pour moi... je sais que ce n' est peut être pas réciproque mais... voilà je voulais que tu le sache... "

La brulure dans ses yeux s'arreta un peu laissant place a une blessure bien plus béante, bien plus affreuse....Sa respiration se bloqua et elle murmura:

Comment peux tu dire ça?

Elle le regarda et se détacha de lui. Elle n'arrivait toujours pas très bien a tenir de debout et avait de nombreux vertiges mais elle ne voulait pas que Fanch la touche. Elle posa une main contre le mur gelé et murmura:

Pourquoi croix tu donc que je t'apporte tant d'attention?

Elle sentait des pointes lui lacérées le coeur, coeur déchiré, coeur déssous dans les abysses de l'incompréantion

(escuse c'est vraiment très très très très cours....)

Isabella se sentait éssouflée comme si elle avait couru un marathon ( sans contre façon je suis un gros thon...mdr), elle avait mal au coeur et son mal de téte peu a peu disparaissait. Elle respira longuement tentant de se calmer puis elle regarda autour d'elle. Les deux jeunes gens se trouvaient deux etages plus bas que les dortoirs commums et dans une nuit des plus sombres. Elle grimaça car elle avait peur de se faire prendre par Rusard, sa chat miss teigne ou bien des professeurs ou des prefets qui faisaient leur quotidienne ronde du soir.

Isabella détourna le regard, déçue puis entendit Fanch venir vers elle et poser ses mains sur son corps avant de murmurer:

" Tu as raison, quand j' y pense tu... euh... je retire ce que j' ai dit... mais reste calme tu n' es pas rétablie!
J' espère juste que... tu m' apprécie autant que moi je t' aprécis... Bella Swan... tu tiens beaucoup à mon coeur...

Tu parles! Comme si Fanch tenait a elle. C'était facile a dire ce genre de chose, Isabella aurait pu clamer qu'elle aimait tendrement Rusard pourtant elle ne le pensait pas! Hors pour L'amitié que Fanch portait pour elle semblait tout aussi fausse. Une comedie...un ensemble de mensonges qui font avancer dans la vie....

Je ne te crois pas...

Bella avait murmureé ces paroles si bas qu'elle se douta que Fanch ne les avaient pas entendu...Il continua a marché tout de même surpris par les paroles intelligible qu'avaient proféré la jeune demoiselle. Cette derniere avança derière Fanch. Elle marchait songeuse en pensant qu'il y avait exactement un demi heure qu'elle avait laissé quelques goutes tombées sur le torse de Fanch. Elle avait l'impression que cela faisait une année entiere qu'elle avait serré contre elle le jeune homme.

La nuit était noire et glacée, et la jeune sorcière commençait à s’engourdir dans ce froid, n’osant ni bouger ni parler. Elle ne voyait que la silhouette du jeune griffondor se découper à côté d’elle. Il frémissait par moment, mais elle était persuadée que contrairement à elle, il ne ressentait nullement la rigueur de l’hiver. Bella s'était arretée quelques instants puis avait reprit sa marche. Duucement sans faire de bruit elle s'accrocha a sa chemise de nuit en soie si fine que le vent pouvait si engouffré et geler les membres de la demoiselle. De plus elle n'avait pas eu le temps de remetre ses pantoufles ( en forme de vache? )et elle avait les pieds presque bleu sous l'effet du froid terrible. Elle était épuisée et ne pensa qu'a une chose: oublié.

( toujours dans la médiocrité je deviens la reine!