Poudlard Fantastique
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 Les deux minutes du peuple de Poudard

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Sam Richards
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Sam Richards


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MessageSujet: Les deux minutes du peuple de Poudard   Les deux minutes du peuple de Poudard Iconminitime1wn2Dim 11 Fév - 17:21

~ Le cerveau, élément essentiel du corps humain, est constitué de sept départements. L’émotivité, sujet aussi sensible qu’incontrôlable, est supervisée par la raison, le plus posé de tous. Le jugement évite, quant à lui, de tirer des conclusions trop hâtives. Renseignement et curiosité collectent des informations pour les décortiquer. Ces informations sont classées par la mémoire, toujours partisan du moindre effort. Porte-parole de la troupe, corde vocale n’hésite pas à donner de la voix. Enfin, chef d’orchestre de cette organisation, centrale cervicale gère, tant bien que mal, tous ses compères.

Imaginez maintenant, l’ébullition produite, lorsqu’il s’agit du cerveau de Sam Richards... ~

Quinze ans et des poussières. Un mètre cinquante les bras levés et debout sur un tabouret. Quarante-cinq kilos toute mouillée. Une crinière plus rousse que les flammes de l’Enfer. Des yeux presque aussi bleus qu’un ciel d’orage. Une passion inquiétante pour la nourriture et une tendance excessive à tout rapporter à ses passions. Une adoration pour les records en tout genre et en particulier ceux qui concernent les retenues et l’indiscipline. Une réputation de tyran infondée mais qu’elle ne s’acharne pas à démentir. Une hache cachée sous son lit, d’après la rumeur qui court. Sam. Samantha Lillie Richards, dite aussi « Richards-la-cannibale ». Elle possède bien d’autres surnoms plus ou moins affectifs et pseudonymes mais nous nous abstiendrons de les révéler pour trois raisons. La première étant un souci d’anonymat, la deuxième étant un souci de pudeur et de politesse et la troisième étant par manque de temps pour en faire l’énumération complète. Mais je pense que vous avez compris l’idée.

Une Gryffondor dans l’âme sans hésitation. Contrairement à ce que voient beaucoup de personnes, ou plutôt ce qu’ils croient voir en elle, Sam est une adolescente normale avec une personnalité très particulière, et pas une folle hystérique qu’il faudrait enfermer dans un asile sans fenêtre sur l’extérieur. Son cerveau fonctionne tout à fait normalement, de la façon expliquée ci-dessus par notre cher collègue F. Pérusse, grand anthropologue français aux tendances vers l’ironie et le sarcasme (tout comme Sam au passage). Seulement les départements du cerveau de Sam agissent plus ou moins différemment selon les situations. Prenons-les un par un pour étayer notre propos.

Emotivité tout d’abord. Très peu présente dans les réactions de Sam à ce que l’on peut voir. Elle laisse rarement le contrôle à ce département qui pourrait, s’il avait carte blanche rousse, faire des dégâts inconsidérables et inconsidérés. Car émotivité est très active en Miss Richards et a tendance à exagérer les choses.
Raison. C’est normalement lui qui contrôle émotivité. Et il le fait à merveille puisqu’on ne voit que très peu cette dernière chez la rouquine. Malheureusement, bien qu’il soit le plus posé de tous, il reste, chez Sam, hyperactif ce qui vous donne une idée du reste des départements.
Jugement. Peut-être le plus intransigeant chez Sam. La jeune fille est très à cheval sur certains principes et cela se ressent dans sa vision des gens et du monde qui l’entoure. C’est souvent lui qui se fait le plus entendre chez Sam et allez savoir si c’est une bonne chose ou non...
Renseignement et curiosité. Ah ça, ils sont très présents. Trop présents. Surtout curiosité, toujours à se fourrer partout et à s’intriguer ce qui vaut à Richards quelques problèmes, notamment une visite au Xième siècle pour ne citer qu’un exemple.
Mémoire. Là aussi, très efficace. Sam se rappelle de presque tout ce qui a pu lui arriver à condition de ne pas avoir ingurgité plus de Whisky Pur Feu que la dose limite recommandée.
Corde vocale. Puissante. C’est le seul adjectif qui me vient à l’esprit. La douce voix cristalline de Sam doit sûrement s’entendre à des kilomètres à la ronde, surtout – a-t-on remarqué – lorsqu’elle profère des menaces de violence. Et quand elle commence, on a du mal à arrêter corde vocale.
Centrale cervicale. Le chef. Débordé par les six départements qui demandent tous pas mal d’indépendance, il est parfois perdu et le trop plein d’activité cérébrale de Sam se fait ressentir dans sa façon d’agir.

Prenons maintenant, une situation anodine et quotidienne, pour étudier le comportement des différentes régions de l’encéphale richardien.

Vacances d’hiver à Poudlard. Noël est passé depuis quelques jours maintenant. Soir où un incendie avait ravagé le château. Il a d’ailleurs pas mal perturbé Sam, le département émotivité en a pris un coup et s’est retranché dans le silence depuis. Jour comme les autres, rien de spécial à signaler. Le ciel est toujours bleu, la neige toujours présente et Wakefield toujours lourd. Winnifred s’était faite rapatrier par ses parents au fond de sa campagne galloise pour le reste des vacances et Sam déambulait dans les couloirs en direction de la bibliothèque, un bouquin sous le bras. Elle s’était enfin décidée à bosser son essai de botanique pour éviter le T qui l’attendait patiemment depuis la rentrée. Quelqu’un (QUELQU’UN ?) le lui avait fait comprendre en ensorcelant son manuel qui s’était mis à lui taper dessus pour la réveiller le matin même. Elle avait failli l’éventrer d’un coup de hache... (info ou intox ?). Elle était maudite avec les bouquins depuis quelques temps. Un peu comme avec les tartes à la crème. Mais il n’y avait pas qu’elle, c’était plutôt une malédiction Richfieldienne là. Bref, revenons à nos moutons. Emotivité était silencieuse, tout comme jugement et corde vocale (pour une fois). Raison essayait de motiver les troupes en argumentant sur la nécessité de faires ses devoirs une année de B.U.S.E. Renseignement et curiosité regardaient d’un œil vitreux ledit bouquin pendant que mémoire indiquait le chemin vers la bibliothèque à centrale cervicale qui faisait agir les jambes de Sam contre leur gré.

C’est un travail d’équipe la vie.
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Eryn McFairth
4ème Année à Serpentard (BI)
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MessageSujet: Re: Les deux minutes du peuple de Poudard   Les deux minutes du peuple de Poudard Iconminitime1wn2Dim 11 Fév - 19:09

~Et maintenant imaginez cette même ébullition mais avec le cerveau d’Eryn McFairth.~

Potentiellement l’exacte opposé de Richards. Quatorze années, de longs cheveux couleur ébène tombant soyeusement sur ses épaules descendant jusqu’au milieu de son dos. Toujours parfaite la chevelure, vous ne verrez jamais deux de ses cheveux se battre en duel. Non, ils sont toujours impeccablement bien coiffés, il faudrait que son moral soit à moins deux cents pour qu’elle épargne la brosse à ses cheveux... Et encore. Deux abysses verte faisant office d’yeux. Jeune fille plutôt discrète et studieuse, faisant preuve d’une mauvaise foie légendaire, a déjà envoyer balader au moins la moitié de la communauté poudlardrienne. Et éprouve un certain besoin d’extérioriser sa mauvaise humeur sur les personnes qui l’entoure. Si son ventre n’émettait pas de long grognement sourd accompagnés de douleurs assez violente à certain moment, pour prévenir la demoiselle qu’il faudrait peut être aller recharger les batterie, vous pouvez être certain qu’on ne la verrait jamais rôder autour de la grande salle et encore moins autour des cuisines. Serpentard jusqu’au bout des ongles. Heure de retenue accumulée jusqu'à ce jour: zéro.

La raison ayant un large contrôle sur elle (bien sûr, cela dépend de plusieurs facteurs comme, son humeur, les personnes environnantes et j’en passe), la jeune fille se trouvait dans la bibliothèque, ayant décidée de plancher sur un devoir d’histoire de la magie assez complexe, et pour le moins ennuyant. Après plusieurs heures de travaille acharné, de recherches, de boules de parchemins froissés roulant au rythme du souffle des vieux volumes qui se refermaient après avoir été jugés inutile, pour rejoindre ensuite la pile de bouquin qui trônait déjà sur la table. Les sept départements du cerveaux déclarèrent à l’unisson qu’ils en avaient marre de bûcher cette satanée histoire. La jeune fille se leva, rangea les feuilles de parchemin intacte dans son sac et s’apprêta à s’en aller lorsqu’une voix, retenti derrière une rangée de bouquins.

« Vous pensiez peut être que j’allais vous faire cadeau du rangement de votre... Table? »

Voix criarde, qui apparemment n’attendait que ce moment, épiant le demoiselle derrière ses grosses lunettes qui lui grossissais au moins dix fois les globes oculaire. Analyse de la personne: Mme Pince, bibliothécaire de l’école, a toujours développé une certaine antipathie pour la vert et argent. Jugement et émotivité semble s’activité méchamment.

« Parfaitement, je vous remercie d’avance pour le cadeau. »

Petit sourire ironique, elle tourna les talons, ses cheveux suivant le mouvement de sa tête dans un tourbillon d’ébène. Elle ne se priva pas de claquer la porte derrière elle, émotivité de défoulait.
Quelques couloirs plus loin, la raison lui souffla de sortir ses notes pour commencer à apprendre ce cours, qu’elle mettrait sinon, des lustres à apprendre, mieux valait commencer maintenant. Les départements trop occupés à ce concentrer sur le texte, ne firent pas attention au signal que lançait les oreilles: Attention, individus à l’approche... Attention, ça s’approche... ATTENTION!! Centrale cervicale, réagit enfin, mais trop tard. Les yeux se détachèrent du parchemin, et eurent juste le temps d’apercevoir une crinière rousse. Le réseau des jambes ne répond plus... Ca allait tourner à la catastrophe cette histoire.
Quelques centièmes de secondes plus tard, vous assistez à une scène assez comique. Une flaque de chevelure rousse-noir était étalée sur le sol, des pieds et des mains sortaient d’un peu tout les côté, et une Gryffondor vociférait des insultes.
Mémoire entre en action, et identifie la voix: Sam Richards, Bouffondor, croisé une fois dans la grande salle.
Centrale cervicale, aimerait bien savoir la relation qu’Eryn a avec cette personne pour pouvoir donner le ton a corde vocal. Elle a obtenue en guise de réponse: « C’est pas mon boulot, faut demander au jugement.« A vous jure, on se croirait dans les bureaux du gouvernement.
« Bon, jugement, tu vois la fille là? Quel est notre opinion? « « Ennemie number one, vous pouvez tout lâcher! »
De son côté, émotivité commence à s’énerver, vous devriez la voir, en pleine lutte acharnée sur un ring de boxe.

« ‘Taaaaaaaaiiiiinnnnnnnn!!!!!!!!!!!! Tu pouvais pas faire gaffe? C’est pas possible! Je vais vous offrir une greffe d’yeux général! Vous aurez peut être droit à un tarif de groupe! »

Petit zyeutage sur les alentours... Le sac avait apparement appris à voler ainsi que ses feuilles de parchemins, qui pour la plupart se retrouver coincées, déchiré, sous les deux jeunes filles... Merde quoi, pas les notes d'histoire!
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Murthag McFairth
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MessageSujet: Re: Les deux minutes du peuple de Poudard   Les deux minutes du peuple de Poudard Iconminitime1wn2Dim 11 Fév - 20:18

~ Et si ce même phénomène se produisait dans le cerveau d'un certain Murthag McFairth?~

McFairth. Murthag. Quatorze ans. Un adolescent comme les autres? Pas certain. Un physique parfait, lisse comme celui des petits barons, ducs, princes, marquis et autres noblions sur les portraits d'époque. Cheveux noir corbeau. Yeux d'un vert émeraude abyssal dont les tréfonds étaient des âbimes dont ceux qui s'y perdaient revenaient rarement entiers. Nez fin, droit. peau blanche, pâle, limite cire de bougie. Air suffisant et froid. Un iceberg en somme. La majorité de sa masse est située en dessous de la surface. masse psychologique, s'entend. même son penchant certain pour la nourriture n'a pu endommager sa ligne parfaite et aristocratique.

Non, la majorité de ce qu'il était. En ce moment, son cerveau n'était plus divisé en sept parties, mais en quatorze. Deux sections de chaque parti. Et déjà qu'avec sept sections, c'était pas drôle, imaginez avec quatorze. Schyzophrénie? Non, rébellion. Donc, il y avait deux groupes identiques d'un point de vue fonctionnel, mais différent pour ce qui était des réactions. Deux émotivités, deux jugements, deux etc ... Nommons donc la premières moitié section A. A pour Aristo. A pour Apathique. A pour Adulte prétentieux. A pour adorable gamin casse pieds. Et nommons la seconde Z. Pourquoi? Pour faire suer le monde. Parce que c'est justement le but de cette zone Z. La zone rebelle.

Imaginez donc l'intérieur de ce jeune homme, complètement déboussolé évidemment par ces subdvisions. Et il doit faire avec. Le désordre intérieur, le dilemme de la voix (et voie) à suivre... Nan, sérieusement, de l'intérieur, c'est super drôle, si on fait abstraction que ce capharnaum appartient à un être humain. Et puis sincèrement, pour faire des mauvais coups, avoir deux fois plus de mauvaises idées, de plans échaffaudés, c'est pas mal, nan? Avoir deux fois plus de répartie sur deux tableaux différents... Miam, j'en veux! Bon si on fait abstraction des troubles de l'habillement et du comportement qui vont avec, ça sonne bien. Mais pourtant, ça donne pas mal de gros mal de tête ... Explication. Rien ne vaut la pratique.

Situation simple au départ. Jour de week end. Non, mieux de vacances. Jour de désoeuvrement total pour le jeune McFairth. Déambulation dans les couloirs, livré à lui-même. Envie de rien faire, et surtout pas de travailler comme sa studieuse de jumelle le faisait. Un McFairth fait ce qu'il veut quand il veut où il veut et comme il veut. Et il ne voulait pas travailler. Alors io ne travaillerait pas. Aucune des zones de son cerveau 'avait trouvé quelque chose à redire à ça, à part la raison de la zone A, qi s'était pris un pain dans la figure par l'émotivité de la zone Z. Il ne l'avait plus ramené après ça. Donc, il déambulati au hasard des couloirs, les mains dans les poches et le nez en l'air. Le paradis. Ne rien faire. Ce qu'il savait faire le miex à part manger, terrorriser les gens ou se les mettre à dos.

Il marchait donc tranquillement le long d'un couloir, lorsqu'il fut témoin de quelque chose de, somme toute, assez fréquent à Poudlard: une collision en plein couloir. Des feuilles volèrent, des paroles très peu aimables furent prononcées ...




DRIIIIING
"Centrale, j'écoute!
"Oui, ici les yeux, collision dans champ de marche.
"C'est noté, on fait suivre.

Le haut parleur est désactivé. Le centrale A et Z se regardent en chiens de faïence.
A: Il faut appeler à la raison.
Z: T'es vraiment qu'un vieux rabas-joie. Appelons les émotivités.
A: Certainement pas je ...

BING

Z: Bon, l'imbécile est au tapis. Appelons l'émotivité.

DRIIIIIIING!

Oui, ici le département émotionnel A.
Et le Z.
Tssssss.
Oh, la ferme! C'est pourquoi?
Collision dans le champ.
EA: Bande de vermisseaux. Passons notre chemin.
EZ: Mais nan, une bonne occasion de rigoler.
EA: Et moi je te dis que ....

DRIIIING!

Double appel, vous z'avez qu'à vous décider entre vous.
Centrale j'écoute.

Oui, ici l'oreille, cris de rage et langue assez tournée.
Okay, j'appelle la mémoire.

DRIIIIIIING!

MA et MZ: Ici mémoires!
La voix?
MA et MZ: Eryn McFairth, notre jumelle.
Comment on intervient?
Ca, on en sait rien, t'appelle au jugement.
Et galère ... Même quand ils sont d'accord c'est toujours aussi énervant.

DRIIIIIING!
JA: Jugement.
Notre jumelle vient de crier des insultes à l'encontre d'une fille, que fait-on?
JZ: Enfin, quelle question!
JA: On va l'aider et crier sur la personne!
Merci les gars, du travail d'équipe, c'est de mieux en mieux. Bon, à qui filer les rênes? On va laisser la raison s'en charger.

DRIIIIIIING!

RA: Rai...
RZ:...son!
Bon, vous vous débrouillez, à vous les cordes vocales.




Et c'est comment Murthag s'avança, contourna le tas de membres emmêlés et se plaça de façon à ce qu'Eryn le voit, s'accroupissant à côté de sa tête. Il écarta les mèches qui cachaient son visage, et eut un très léger sourire, lui faisant un clin d'oeil. Puis il darda son regard sur l'autre personne, qu'il ne pouvait guère voir étant donné le peu de parties reconnaissables qui restaient. Il était clair qu'il ne pouvait aider Eryn à se relever pour l'instant, et c'est pourquoi il se releva, mettant ses mains dans ses poches, ses yeux parcourant les alentours avec un mélange de mépris et de nonchalence qui lui était si propre. Il se passa la main dans les cheveux , les décoiffant (on voit que c'est le Z qui a pris le contrôle) et dit d'un ton narquois, plongeant ses mains dans ses poches.

En effet, y en a qui devraient apprendre à regarder devant eux. Tu as eu ton permis de circuler dans les couloirs dans une pochette surprise ou quoi?

Le centrale A se retourna dans son coma. De l'humour ... Il ne manquait plus que ça. Le centrale Z lui refila un coup de pied pour faire bonne mesure.
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Emma Ang
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MessageSujet: Re: Les deux minutes du peuple de Poudard   Les deux minutes du peuple de Poudard Iconminitime1wn2Sam 17 Fév - 1:41

~ Imaginez à présent, si une folle furieuse hystérique laissait place à une soirée Disco dans sa tête ... ~


Dans une salle de classe abandonnée, Emma Angewo se livrait à son activité préférée :: danser en solo sur de la musique. Oui, car elle aimait danser. De la danse des canards à la macarena à une chorégraphie appréciable de diverses chansons des Bizzar Sisters, Emma dansait. Mais que se passait-il dans sa tête ? Bonne question. Pénétrons par les oreilles. Une bonne toilette ne ferait pas de mal. Ah, nous voilà dans ... Le cerveau. Transformé en piste de danse. Jugement à la guitare. Emotivité à la guitare. Et les autres sur la piste de danse. Et comme par hasard, raison aux commandes. Bien difficile de contrôler des pas de danse. Contre son gré d'ailleurs. Si il avait eu son mot à dire, il aurait été se fourrer dans les dossiers de mode pour la prochaine tenue de l'amie Emma. Pour prendre de l'avance sur le jugement. Puis là, PAF. Plus de souffle. Commençant à galérer pour faire asseoir Emma sur une table, il lâcha les commandes pour que notre Amie Emma trombe par Terre, sans réagir. Il la fit s'asseoir le temps de prévenir les autres. Prenant un pas de course fort, il finit par attérir dans le hall de central cervical. C'était la folie.

FERMEZ-LA !


Pas le temps de dire quelque chose, émotivité lança sa baguette contre la raison, jusqu'à se jeter sur lui et à commencer à lui faire manger sa deuxième. Notre ami curiosité sauva de peu la raison, pour savoir encore ce que ce dernier voulait dire. Sinon, ils l'auraient tous laissé crever. Relevant avec difficulté Raison, le silence se fit difficilement. Cordes Vocales, dans sa cabine, laissait la musique, se foutant bien du reste. Et ça dansait, et ça dansait.

On a perdu le contrôle. Emma est à terre. On fait comment maintenant ?


Une fois ceci dit, chaque personne regagna son département, jugement aux commandes. Trop tard. Les commandes automatiques s'étaient activées. Emma Angewo s'était mise à déambuler avec sa musique dans les oreilles dans les couloirs. Pas d'objets, rien, que d'la musique magique qui résonnait en elle. Bien de la chance, pas de problème d'MP3 cassé. Malheureusement pour les autres, ils ne pouvaient pas reprendre le contrôle. Emma déambulait dans els couloirs, poussant tout le monde sur son passage. Puis, vint ce groupe d'élèves. Balançant Les deux McFairth contre les murs et balançant Richards à terre, elle continuait de déambuler, puis prit le sens inverse. Entre temps ...

Centrale Cervical ! On a trouvé le problème ! Coupez la musiques à cordes vocales !
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Sam Richards
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MessageSujet: Re: Les deux minutes du peuple de Poudard   Les deux minutes du peuple de Poudard Iconminitime1wn2Dim 18 Fév - 23:40

Comme dirait quelqu’un que nous connaissons bien : « Ohwo » [envie de te faire une dédicace (L)]. Comment arrive-t-on d’une journée hivernale normale que Sam a prévu de passer à bosser à une journée hivernale anormale où Sam ne bossera pas du tout ? C’est simple, il suffit de mettre trois Serpentards dans le contexte de départ. Quoique même un seul aurait suffi. Trop de Serpentard tue le Serpentard. Si seulement ça fonctionnait comme ça, il n’y aurait plus un seul Vert et Argent dans tout le château. Imaginez la paix. Comme quoi un Serpentard, c’est vraiment accessoire...

Bref, reprenons. A une heure H de la matinée, Sam s’était décidée à aller bosser son devoir de Botanique à la bibliothèque. Ou plus exactement, son bouquin enscorcelé tapant fortement sur son crâne endormi l’avait obligée à aller bosser à la bibliothèque. Elle avait imaginé de là le regard mauvais de Pince, à la fois étonnée de sa présence et méfiante. Pourquoi ? Déjà parce que Sam n’était pas du genre à traîner dans la bibliothèque entre neuf heures de matin et neuf heures du soir et surtout pas pendant les vacances. Et aussi parce que la dernière fois que Sam s’était rendue « normalement » à la bibliothèque, les dégâts avaient été considérables. Depuis ce moment où des livres chers à la communauté magique avaient été détruits à jamais, Sam évitait la bibliothèque et Pince semblait lui en être reconnaissante.

A l’heure H+1, Sam avançait dans le long couloir qui menait d’un point A, les escaliers, à un point B, la bibliothèque. Question : quel est le plus court chemin entre A et B ? Tout le monde s’accorde à dire que c’est la ligne droite. Très bien. Sam vous fait donc confiance et emprunte donc ce chemin là. Seulement pour une fois, la ligne droite n’est pas le plus court chemin. Au contraire, c’est même le seul chemin qui ne mène pas du point A au point B. Sam n’atteindra pas le point B aujourd’hui. Pour cause de Serpentards. Attention à trois... Un... Deux... Pif pam pif. Boum !


DRING
Centrale cervicale.
Oui, ici c’est le système nerveux. Grande collision, on ne répond plus de rien.
Bon ok. Corde vocale ?
Oui ?
Fais-nous un cri d’étonnement.
AAAH !
Non, moins étonné.
Ah.
Mouais...

Sam se débattit tant bien que mal, ses bras et ses jambes se secouant avec toute la violence dont ils étaient capables, c'est-à-dire énormément de violence. Les gens d’aujourd’hui ne regardaient pas où ils allaient ces imbéciles. Les mains de la rouquine se refermèrent sur sa cape dans laquelle les pieds de l’imbécile en question étaient enchevêtrés et elles tirèrent de toutes leurs forces pour se défaire de tout ce foutoir. Et les yeux de Sam se posèrent sur la personne en question...

DRING
Centrale cervicale.
Oui, ici c’est les yeux, c’est une fille brune.
Okay. Mémoire !
Oui ?
Tu vois la photo là ? Que peux-tu nous dire de ça ?
Eryn McFairth. Serpentard, quatrième année. On l’a rencontrée une fois et ça s’est mal terminé.
Et on pense quoi ?
Pas mon boulot.
Faignasse. Jugement ?
Ouais ?
Regarde la photo, qu’est-ce qu’on en pense de cette nana ?
On la déteste profondément. C’est une idiote pas finie qui ne comprend rien à la vie. La pire des folles.
Okay. Emotivité un avis ?
La salooooooope !

DRING
Centrale cervicale.
Oui, ici c’est l’oreille, on a un mélange de deux voix. Vous avez entendu ?
Ouais c’est bon. P’tain quel boulot. Mémoire ?
J’analyse, j’analyse. Première de ladite McFairth. La deuxième... Murthag McFairth, même maison, même année, même nom de famille. On l’a rencontré une fois à Noël.
Okay. Jugement ? On en pense quoi de ce con là ?
Serpentard, donc opinion pas très bonne. Mais aucune animosité particulière.
C’est un trou du cuuuuul !
Ok. Emotivité parle plus fort que jugement, donc c’est émotivité qui a les cordes vocales.
Euh attendez, on me demande pas mon avis ?
Ah merde, je l’avais oublié celui-là. Oui raison ?
Je pense qu’il faudrait y aller doucement, un peu de cynisme serait bon pour la réputation de Sam et ça permettrait de martyriser McFairth psychologiquement.
Attends, tu parles de quel McFairth là ?
On s’en fout.
Bon okay. Corde vocale, à toi de jouer.

Oui. Dans la même que celle où vous avez trouvé ce qui vous sert de cerveaux. C’est de famille la connerie ou vous êtes l’exception qui confirme la règle ?

Bon. Ça c’est fait. Maintenant, il serait peut-être bon de retrouver une position un peu plus digne qu’affalée par terre en face de l’autre nunuche avec ses tartes à la crème. Centrale cervicale ordonna donc au système nerveux de réagir de la façon appropriée et, en moins de deux, Sam était debout et réajustait sa cape sur ses épaules, avant de poser les mains sur les hanches avec un sourire de défi. Vous savez de quel sourire je veux parler. Celui qui dit « je me fous de ta gueule et j’adore ça ».
Une forme se mouvant étrangement attira le regard de Sam vers sa gauche. La jeune fille haussa un sourcil et étouffa un rire.


DRING
Quoi encore ?!
Oui, ici c’est les yeux. Vous avez vu ça ?
Ouais. Mémoire ?
Emma Angewo. Septième année, Serpentard.
Jugement ?
C’est une Serpillère, donc forcément elle est nulle. Mais sans plus.
Emotivité ?
Elle est ri-di-cule !
C’est Angewo.
Merci pour la conclusion raison.
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