Qui a dis que j'aimais faire des bracelets ?O_o [ Narcisse ]

[PV première personne X) ]

Vent ? Pas vent ? Azéline ne savait pas de quelle humeur était le vent qui soufflait dehors. Il semblait fort agréable mais les arbres semblaient ne souffrir un peu. On pouvait apercevoir les multiples branches et les feuilles qui se frôlaient tout autant les unes que les autres. Azéline en haut a la fenêtre de son dortoir, hésitait a enfiler un débardeur noir ou bien un tee short de la même couleur. Allez savoir pourquoi de couleur noir car tout simplement le noir était sa couleur préférée ne cherchez pas plus loin. La jeune femme se tenait debout, les deux bouts de tissus dans les mains. Le quels ? Elle restait perplexe au choix de son haut. La jeune femme s’aseilla sur son lit et soupira. Un regard inexpressif plutôt vide reflétant le mystère et la froideur de Azéline était visible si on la regardait bien pendant de longues secondes voir même longues minutes. Un regard qui pouvait en effrayer plus d’un. La plus par du temps , Azéline fixait les personnes en face d’elle ou a ses environs. Une chose qu’elle ne pouvait s’empêcher de faire, dévisager , regarder de haut en bas comme un air de supériorité. Cependant , elle se demandait toujours le quels des deux ?!

Venant alors sentir un gros courant d’airs qui vint faire claquer la porte de la salle de bain, elle soupira et décida d’opter pour le tee-short a manche courte au lieu du débardeur. Ce gros coup de vent venait de lui donner un frisson qui lui parcouru de haut en bas le dos. Ses cheveux blonds étaient d’une brillances tout a fait incroyable. Le soleil leurs donnaient une couleur plus crème mais pour tout avouer cela Azéline s’en contre fichait un petit peu voir même beaucoup. La jeune Serpentarde prenait soin de son apparence mais quand c’était juste pour aller en cours ou encore cavaler dans les chemin terreux et ce salir cela ne valait même pas la peine de sortir la jolie jupe et la jolie chemise assortie. Azéline avait alors par en bas un jean et en haut son tee short noir. Le regard plonger dans le miroir , elle avait sur le nez ses petites lunettes noires qui lui donnait un petit plus. Azéline avait toujours considéré ses lunettes comme un bel accessoire. Ne les portant que pour lire et écrire, elle s’empressa de les ranger dans son étuis qui disparu quelques temps après dans le fond de son chevet. Elle enfila une petite paire de chaussure et sortie un parchemin ainsi que sa plume.

Un visage sans expression , la lèvre mordu , Azéline était assise en tailleur sur son lit proprement fait. Un regard posé sur le bout de parchemin elle cherchait se qu’elle pourrait bien dire a sa chère cousine Fanny. Arf ! Je vous est pas parler de Fanny, cette petite gamine toute mignonnette a laquelle Azéline avait promis un joli bracelet bleu et jaune. La jeune Evans ne l’avait toujours pas commencer te n’avait guère le cœur a faire cela. Malgré que sa cousine tournait plutôt du côté aimable , elle prenait Azéline comme son modèle mais elle de son côté la jeune femme la voyait comme une gamine de 12 ans niaise de ne pas se rendre compte qu’elle ne lui ressemblerait décidément jamais. Azéline prenait un malin plaisir a lui donner de faux espoirs mais c’était sa une fille qui n’avait pas de cœur. Pour vous avouez , Azéline n’avait pleuré que 2 fois dans sa vie : La première fois quand elle fut née ce qui était tout a fait normale et la deuxième fois quand elle vit sa mère se faire tuer sous ses propre yeux. N’ayant jamais eut a faire a des chagrins d’amours ce n’était pas maintenant que cela commencerait. Pour le moment d’ailleurs elle était seule et se portait pas si mal que sa.

Jetant un regard dehors , elle se demandait qu’est-ce qu’elle foutait encore là enfermée dans son dortoir. Elle décida de faire se bracelet pour la gamine et qu’elle lui enverrait dans la journée. Bien sur elle n’allait pas lui envoyer son petit bout d’élastique et ses grosses perles en bois sans un mots. Pourtant cela aurait totalement montré son envie de faire le cadeau promis a la jeune fille mais une chose dites était une chose dites donc elle le ferait. Car une chose qui était bon a savoir c’était que Azéline tenait toujours ses promesses. Qui aurait crut que Azéline tiendrait ses promesses hein ? Et bien personnes. La jeune femme on la considérait souvent comme une folle sadique qui aimait faire souffrir le monde. Après tout cela n’était pas faux mais ce n’était pas pour autant qu’elle ne tenait pas ses promesses pardi. Enfin bref revenons a notre lettre … Une fois avoir eut terminé le bracelet, elle prit sa plume et commença a rédiger une lettre. Mais un problème surgissa très vite : Qu’écrire ? Sa y est ce que la jeune sadique redoutait arriva. Elle ne savait que écrire sur son petit bout de parchemin. Azéline se mit a chercher , chercher puis trouva enfin quelques mots qu’elle écrivit sur le papier :

Citation :: « Chère Fanny

voici le fameux bracelet de couleur jaune et bleu que je t’avais promis

En espérant que ce dernier sois a tes goût.

Azéline Evans »
Ecrivit-elle d’une écriture fort jolie. Une écriture très féminine, les lettres étaient très joliment contournées. Azéline c’était appliquée et avait mis une grâce inconciement a écrire ce petit bout de mot. La jeune femme mit le parchemin dans une enveloppe qu’elle glissa dans une petite boîte ou était le bracelet jaune et bleu. Venant a se lever de son lit , elle rangea en express’ ses affaires et se dirigea d’un pas cadencé vers la porte en bois qui était séparation entre le dortoir des demoiselles et les couloirs. Qu’allait-elle croiser aujourd’hui ? Certes des personnes qu’elle ne connaissaient pas et rare serait celles qu’elle connaîtraient. Azéline avait peut d’ami(e)s , ce n’était pas parce qu’elle n’arrivait pas a en avoir au contraire , elle avait trop de demande pour être ami(e)s c’est juste qu’elle n’en voulait pas. Son hiboux Nocturne et son araignée Kyalou étaient de bonnes compagnie pour la jeune Serpentarde. Bref revenons a nos moutons… Elle se dirigeait vers l’extérieurs croisant les regards indiscrets des autres élèves. Azéline se prenait jeux a les regarder d’un regard imposant et a les faire baisser les yeux. Ce qui était le plus fort dans tout cela c’était que sa marchait. Elle soupira comme lassé de ce jeux et continua sa route vers la volière.

Elle arriva alors a l’intersection de trois chemins. Le quels ? Celui de droite menait a la Tour d’astronomie , Non. Tout droit a la forêt interdite, Non. A gauche a la volière, Oui. Bien sur la volière était l’endroit ou l’on envoyait tous les courriers que l’on voulaient ou même en recevoir que suis-je bête. Azéline avança tranquillement regardant les alentours d’un regard mystérieux et froid et arriva enfin a la volière. Elle se décida de monter les marches deux par deux et arriva enfin a la grande entrée. Le bâtiment était vraiment sale, le sol était recouvert de fientes d’oiseaux plus précisément de chouettes et hiboux et dieux sais que sa ne sentait pas bon. Azéline pénétra dans l’endroit et regarda autour d’elle si elle ne voyait pas une belle chouette toute noire ayant juste UNE plume blanche au niveau de l’aile droite. Guettant de ses yeux verts clairs l’arrivée de sa chouette , elle fut surprise de voir que celle ci vint se poser sur son épaule gauche. D’ou sortait-elle ? Certainement d’un petit endroit cacher non loin mais cela n’inquiéta guère la jeune femme. Elle la regarda et lui caressa sur le dessus de la tête puis vint accrocher le petit paquet a sa patte :

« Va ma belle … amène sa a Fanny »

Dit-elle doucement avant de déposer un petit baisé sur le derrière de la tête de sa chouette. Un plumage noir très noir qui lui faisait penser a du charbon. Azéline la regarda repartir a une vitesse surprenant et resortie d’un pas lent vers les escaliers. Elle s’aseilla sur le petit muret et observa les environs pencher en avant sur le muret. Que faire maintenant ? patienter… Patienter a attendre quoi voyons ? Arf elle n’en savait rien. Azéline resta a rêvasser la a faire des bulles avec son chewing-gum. Ne vous ai-je pas dis que Azéline adorait les chewing-gum plus particulièrement ceux a la menthe. C’était incroyable le nombres de chewing-gums qu’elle pouvait machouiller par jours. Bref. Elle restait pencher sur le murait a faire des bulles qui laissaient échapper des bruits régulier du genre : « Ploc » !

Assis sur son lit, Narcisse regarder le haut de son lit, tenant une lettre entre ses mains, une lettre pour une personne qu’il aimait, une personne qui lui était très cher, cette personne n’était ni Milicent, ni Alice, cette personne n’était qu’autre que sa tendre mère. Dans sa famille, il n’aimait qu’elle, son père, il le détestait, il le haïssait de l’ignorait chaque fois qu’il essayait de lui parler. Alors il avait décidé d’arrêter de lui parler. Il pensa à sa mère, et à se qu’elle pouvait vivre à côté de cet homme qu’elle a épousé, a cette idée, il serra contre lui la lettre qu’il avait envie d’envoyer à sa mère. Il c’était toujours demandait comment elle pouvait continuer de vivre avec lui. D’ailleurs un jour, il l’avait fait, et celle-ci lui avait tous simplement répondu « parce que je l’aime », mais comment peut-on aimer un homme aussi froid avec son fils ? C’est insensé !
Le jeune homme se releva alors rapidement, puis se changea il enfila, un jean délavé noir, ainsi qu’une chemise blanche, et posa par-dessus sa veste noir, il relisa une dernière fois sa lettre, l’écriture était fine et légèrement inclinée vers la droite.

Citation :: Chère Mère,
J’espère que vous allez bien et que l’homme horrible que vous avez épousez ne vous fait pas trop souffrir. Pour moi, tout va bien ici, je fais mon possible pour avoir de bonne note. J’ai rencontré une fille fantastique, oui je sais tu as toujours cru que je finirais avec Alice, mais non, j’ai réussi à attendrie, le coeur d’une fille, dont tous le monde disait qu’elle n’en avait pas. Elle porte le doux prénom de Milicent, et elle est également de Serpentard.
Voilà, c’est tous pour le moment.

Tendre pensée.
Votre fils, Narcisse.

Il s’était bien gardé de ne pas lui parler du malheureux accidents qu’il lui est arriver, c’était inutile de l’inquiété, encore plus, déjà, qu’elle s’inquiète beaucoup chaque fois qu’il part loin d’elle, alors si elle savait cela, se serait la fin du monde, pour Narcisse et pour sa mère. Il sorti alors avec hâte du dortoir, traversant la salle commune, sans regarder autour de lui, il entendait des voix, des personnes étaient présente dans la pièce commune, mais il ni fit pas attention, il sorti donc dans le couloir des cachots, marchant d’un pas rapide, puis se trouva dans le hall d’entrée, il était agité, plusieurs élèves était présents, il faisait des aller retour entre la grande salle et d’autres endroits du château. Il s’arrêta un instant dans le hall, rangea sa lettre dans la poche intérieur de sa veste, puis attacha celle-ci jusqu’au premier bouton de sa chemise blanche, faisant alors dépasser celui-ci de sa veste.

Une fois prêt à affronter le vent, il s’approcha de l’entrée du château, et poussa l’une des portes, pour pouvoir sortir, une fois celle-ci ouverte, il mit les pieds dehors, et referma la porte derrière lui. Il marcha alors face au vent et celui-ci semblait vouloir l’empêcher d’aller jusqu’à la volière aux hiboux et chouettes. Mais pourtant il devait y aller, alors il force contre le vent avec toute la force qu’il pouvait avoir et dieu sait qu’il n’est pas bien épais. Il croisa les bras, pour mieux pénétrer dans le vent, puis au bout de quelques minutes de marche et de lutte contre le vent. Il put arrive au bas de la volière.

Il s’arrêta un instant, puis ouvrit sa veste et saisissant la lettre qui était dans la poche intérieure de sa veste, il avançait tranquillement, il laissa sa veste ouverte, elle n’avait plus besoin d’être fermée à présent. Il mit sa main gauche dans la poche de son jean, et garda la lettre dans la droite, la regardant en souriant tout en montant les marches de l’escaliers qui menait aux oiseaux de la volière. Mais soudain, quelque chose le fit s’arrêter net ! Une sorte de bruit, un petit bruit d’explosion, il était à mi-chemin sur les escaliers, il releva alors son visage, regarda derrière lui, puis sur les côtés et enfin il regarda en face de lui, il vit une chevelure blonde, il cru que c’était ELLE, mais il remarque que les cheveux blonds de la fille qu’il avait en face de lui, n’était en aucun rapport avec ceux de la jeune femme qu’il aimait. Les siens étaient plus aux couleurs des blés, alors que ceux en face de lui étaient couleur crème. Il s’avança alors dans les escaliers pour se retrouver sur le palier, et reconnu alors le visage de la jeune fille qui semblait être l‘auteur du bruit suspect. Puis il reconnut le visage, c’était celui d’Azéline Evans, une jeune femme de sa promotion. Alors avec politesse et un ton très calme, il lui dit doucement pour éviter qu’elle tombe du muret, se qui serait dommage pour une si jolie demoiselle.

Sourire.

Azéline ayant alors les fesses posées sur le rebords du muret regardait les collines au loin se demandant se qui pouvait bien se cacher derrière de tels hauteurs. Elle restait perplexe devant cela. Venant soupira lourdement, elle commença a balancer ses jambes en venant taper le muret de temps en temps avec ses talons. Le vent venait taper fortement contre le visage de Azéline et les quelques reflut de vents venant par derrière lui tapait dans la nuque se qui faisait avoir un petit sourire a la jeune femme. Personnes ne la voyait d’ou elle était hormis une personne qui viendrais derrière elle. Elle avait les tête dans les étoiles malgré qu’il n’y est pas d’étoiles a se moment la de la journée. Elle regardait souvent a droite pour voir ne bas de la volière si il n’y avait pas quelqu’un mais personne. Peut de temps après, Azéline regarda ne bas et remarqua une silhouette s’approcher. Elle soupira se disant qu’elle ne serait pas tranquille. Perdant son sourire elle espérait au moins que ce soit une personne qu’elle connaissait. A Première vu c’était une personne assez grande et surtout une silhouette masculine. Azéline soupira et attendit la venue de se dernier.

La jeune femme ayant des mèches blondes lui tombant devant les yeux , laissait son regard vert pistache percer ,ses dernières. Azéline ferma les yeux quelques instants se laissant envahir par ses pensées, ses idées, ses ambitions. Arf problèmes ! Elle n’avait aucunes idées , aucunes pensées mais contrairement a cela, elle avait des ambitions. Elle voulait réussire sa vie comme elle le voulait et pour le moment c’était devrait-on dire assez bien parti. Malgré les problèmes de recherches qu’elle avait pu provoquer enfin bon … Azéline soupira et entendit une voix l’appeler ou plutôt lui dire bonjour. La jeune femme, sursauta manquant de peu par réflexe de sauter par l’avant et se contenta de bien s‘accrocher a la pierre et reprendre son souffle. Azéline en premier temps tourna la tête pour essayer de voir Narcisse mais ni parvint pas. Venant alors se prendre un très violent vent dans le visage, déséquilibrée tomba de l’autre côté du muret. Elle était sur les fesses, les cheveux tombés devant ses yeux . Satané vent de m**** ! Azéline donna un vif coup de tête en arrière pour faire repartir ses cheveux et soupira fortement. Elle dit alors a Narcisse :

« Bonjour Narcisse . »

dit-elle d’une voix froide comme la plus par de son temps et soupira de nouveau. Elle jeta un regard mystérieux et froid au jeune homme poster non loin d’elle. Lui était debout et elle assise. Rah Azéline détestait ce fichu vent. Elle ferma les yeux quelques secondes pour se calmer et repassa les quelques mèches derrières son oreilles gauches. Elle frotta légèrement le derrière de sa tête venant se rendre compte qu’elle devait être observée par Narcisse qui devait certainement la prendre pour une empoter de service. La jeune femme n’avait pas honte du tout d’être tomber. Elle n’avait jamais eut honte d’elle, ni de ses fréquentations et encore moins de ses amourettes. Nan la jeune femme était fière de ses bêtises, fière de ses amourettes, fière des geste ou grimaces qu’elle pouvait faire. Azéline était très ouverte d’esprit et ce fichait royalement du regard des autres. La jeune Serpentarde regarda Narcisse pendant de longues minutes dans les yeux . Un jeune homme fort attirant qui fit éclater en fou rire la jeune femme. Qu’elle honte elle était assise par terre dans la poussière alors qu’elle aurait dut rester assise tranquillement sur le muret.

« Oh pardon mais sa fait très bizarre de se retrouver par terre »

Dit-elle avant de ramener une main a sa bouche et de s’appuyer contre le mur. Elle était morte de rire. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle ne s’attendait pas a se retrouver en face d’un jeune homme et encore plus de Narcisse, Assise par terre a le fixer du regard. Il devait la prendre pour une folle mais bon tant pis. Azéline secoua une main devant elle pour se faire de l’air et voulu se relever en prenant appuyée par terre mais n’y parvint pas. Arf les fesses trop lourdes peut être ? Nan nan juste qu’elle n’avait pas la force de forcer sur ses jolies petites mains qui voulaient pas s’abîmer. Azéline soupira et regarda le jeune homme fort charmant dans les yeux. Elle soupira de nouveau et lui adressant un tout petit sourire, lui dit d’une voix froide et ferme :

« Sa te dirais de m’aider a me relever ? »

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