Poudlard Fantastique
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 Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur

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Narcisse Feuer
6ème Année à Serpentard
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Narcisse Feuer


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MessageSujet: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Mer 4 Avr - 19:39

[Privé : Marwin]

Toujours cette même ombre d’il y a quelques jours…sauf que cette fois-ci, elle n’ai pas dans la forêt, elle n’ai pas en piteuse état…enfin…ses vêtements ne le sont pas…car en ce qui concerne l’ombre c’est une autre histoire…elle est sorti dans la nuit, ne pouvant s’endormir, ne pouvant trouver le sommeil, et surtout étant en manque et voulant se cacher…Elle décida, de se rendre dans l’endroit le moins fréquenter par les élèves, c’était la Tour d’astronomie, de cette tour, elle aurait une merveilleuse vue sur le paysage de poudlard…mais sa…elle s’enfichait, elle se qu’elle voulait s’était la tranquillité et pouvoir faire se qu’elle veut sans que personne ne lui dise quoique se soit… Elle monta les marches menant dans le haut de la tour, les pans de sa longue veste noire frôlant le sol, si bien qu’elle marcha sur celle-ci et faillit trébucher, mais ce n’était rien, car elle avait l’habitude de tomber depuis ces derniers temps…Elle s’était fragilisé, elle sentait que toute ses forces la quittée depuis quelques jours, voir même quelques mois…Elle arriva enfin en haut de la tour.

L’ombre tenait dans sa main droite, un sac, se sac était en papier, un papier marron comme celui que l’on trouve chez l’épicier du coin, mais dans se sac, il n’y avait ni des tomates, ni des fruits, ou autres petites choses comme celle-ci…il y avait dans se sac, une bouteille et pas n’importe qu’elle bouteille, c’était une bouteille de Vodka, de la Wyborowa. la vodka la plus fort qu’elle connaissait jusqu’à se jour, et cette fois-ci elle ne la coupait pas avec du jus d’orange, de la fraise ou autre, elle la buvait pure…Elle la tenait par le goulot, le sac prenant ainsi la forme tranquille de la bouteille…Elle marchait toujours…cette silhouette sombre…elle arriva bientôt dans la petite cellule qui était au centre, celle ou il y a quelques années, Sirius Black avait séjourné attendant le baiser du détraqueur, dont d’ailleurs il a échappé en se sauvant…La silhouette, avança dans sa direction, poussa lourdement le portail, avec le peu de force qui lui restait et enfin…entra, et s’écroula sur le sol…la silhouette, s’appuyât contre le mur en pierre, les jambes écartées, la tête sur l’épaule droite, les tombant sur le sol, la bouteille dans une main, il regardait celle-ci, avant de la porter à ses lèvres et d’en boire une longue gorgée.

L’ombre devenue silhouette, posa la bouteille sur le sol, en prenant bien soin de la mettre comme il faut de façon à se que rien ne s’échappe de la bouteille, se serrait une catastrophe…Elle chercha alors quelque chose dans sa poche, elle trouve se qu’elle cherchait, sa se trouvait dans la paume de sa main et si on zoom, on pouvait voir dans celle-ci, des cacher de différentes couleur, la silhouette opta pour les cachet d’extasie, les mit dans sa bouche, sur sa langue et les avala avec un peu de vodka…Les pupilles de la silhouette se dilatèrent, et on voyait qu’elle commençait a vaciller, mais heureusement, elle était assise sur le sol…elle ne pouvait donc tomber de haut…mais alors que l’on crois tous que c’est terminé sa recommence…Oui regardait bien, la silhouette cherche de nouveau dans sa poche, mais c’est l’autre, elle en sort quelque chose, c’est un paquet de Malboro et un briquet, mais dans ce paquet est-ce vraiment des malboro ou est-ce encore de la drogue et bien, il s’agit de fausse malboro, elles en ont l’emballage, mais en fait il s’agit de drogue, d’une chose que le monde moldu nomme Weed…oui vous avez bien entendu, vous avez bien vue, vous avez bien compris…

La silhouette, porta « la cigarette » sur le bout de ses lèvres et l’alluma avec son briquet, et pris une grosse bouffée de celle-ci…Les yeux de la silhouette devinrent rouge et cerné par de grosse poche noir, elle était complètement chouter…Mais elle était désespérée, elle se sentait oublier, abandonner et personne ne l’aider…mais il faut dire aussi que cette silhouette, n’avait demander de l’aide à personne, car elle ne voulait pas les embêter avec ses problèmes, qui n’étaient après tous…pas si grave…sa « cigarette » à la main, elle continuait de fumer, puis de boire, puis de prendre ses « cachets », les cachets qui rendent heureux et qui font voir des jolies choses…oh la bouteille de vodka est finie, la silhouette en fit apparaître une autre, mais ce n’était pas de la vodka, c’était un alcool qui était interdit, car il était mortel a trop forte de dose, il s’agissait de ce merveilleux liquide vert, vous savez, cette merveilleuse absinthe…qu’elle magnifique couleur, qu’elle odeur envoûtante…la silhouette la saisissa et en bu une minuscule gorgée…et soudain…la silhouette tomba sur le sol, elle sombra dans un sommeil sans rêve, la bouteille d’absinthe roulant alors sur le sol et tapant dans le portail en ferraille…la « cigarette » tombant par terre son consumant toute seule, et la boîte de petits « cachets » miracle roula s’ouvra sous le choc de la chute, les éparpillant un peu partout…

Mais qui était cette silhouette de dépraver sur le sol ? C’était lui…Narcisse Feuer…Ce laissant consumer à petit feu, comme son nom de famille l’indique : feu


hj: pas terrible désoler ^^" :hj
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Marwin Wyrven
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Mer 4 Avr - 21:57

Se lever. S'asseoir. Ecouter. Parler. Marcher. Courir, Déraper. se rattrapper. Bien se tenir. Être poli. Sourire. Dire bonjour. Merci. Au revoir. Ecouter. Suivre. Entendre. Subir. Railler. Jouer la comédire, des coudes. Ecrire. Lire. Lever la main. Lever les yeux au ciel. Passer outre. répondre. Juste aux questions des profs. Par le silence aux avances des filles. Par une phrase bien sentie aux insultes. Manger. Forcer quelqu'un à manger. Boire. Juste de l'eau, bien sûr. Retourner en cours. Ne pas se retourner sous les sifflets. Avancer, droit devant. Garder la tête haute. Sourire. répondre. Ecrire. Marcher. S'asseoir. Regarder devant soi. Continuer. Ne pas fléchir, ne pas faiblir. Ne pas flancher. Sourire. Recommencer le tout, dans les désordre. Parler, sourire, avancer, marcher, courir, forcer quelqu'un à manger, prendre une douche, faire ses devoirs. Se laisser finalement tomber sur son lit. Le bonheur. Une journée normale à Poudlard. ce que tout le monde disait détester, mais qu'en fait tout le monde adorait. Parce que ça, c'était la vie, la vraie. Comme une pomme qu'on mordrait à pleines dents. A la fois sèche, et tellement juteuse.

Commetn avait-il fait pour l'oublier? pour s'éloigner de tout ça, alors qu'il aimait tellement ça? Les cours, il commençait à y prendre goût, même si ça ne voudrait pas dire qu'il travaillerait comme un malade (ou comme un Poufsouffle d'ailleurs), mais il s'intéressait, participait. Ses journées semblaient plus lumineuses qu'avant. Il ne se contentait plus de subir ou de regarder en spectateur indifférent, non, il vivait. Il revivait. Et c'était bon, oh oui, tellement bon! Et c'était comme le vélo, ça ne s'oubliait pas. D'accord, il avait été brutalement rmis en selle par la vaine tentative d'anorexie de sa cousine, mais quel bon prétexte. Quel heureux hasard, en fin de compte! Il ne voulait plus jamais se laisser aller comme il l'avait fait. Il se sentait tellement bien, juste être en cours, pouvoir prendre des notes, lancer quelques piques à des élèves qui lui demandaient où donc était sa petite amie, c'est-à-dire sa bouteille. Il arrivait à un rire, et finissait souvent par un geste typiquement Français, avec un superbe sourire insolent et quelques insultes dans un anglais parfait, quoi qu'agrémenté d'un petit accent. Quelques filles qui se pâmaient dans le coin. Aucune importance. Il s'en fichait royalement. Il était enfin là, il était enfin lui, enfin de retour!

Oui, enfin c'était bien beau de fanfarronner comme ça, de dire que c'était fini, que tout allait pour le mieux. Mais, une fois allongé sur son lit, Marwin Wyrven devait bien dire qu'il avait une boule dans la gorge. Il était peut-être redevenu lui-même, mais il devait d'autant plus affronter le silence et l'indifférence d'Emily. Et c'était dur. Il ne pouvait plus se cacher dans l'alcool. Il ne voulait plus. mais c'était dur, ça aussi. Il avait la gorge sèche, et une terrible sensation de soif. mais il savait très bien ce que c'était. Le manque. Qui le prenait à la gorge. Qui allait le submerger. Il fallait qu'il l'arrête. maintenant. S'asseyant sur son lit, le jeune homme se prit la tête entre les mains, passant ses doigts entre ses mèches châtain. Allez, Marwin, arrête, c'est pas si terrible que ça. Calme toi, inspire, expire. Concentre toi. Tu n'en as pas besoin tu peux t'en passer, ce n'est pas un problème...

Mais ça le devenait de plus en plus. L'envie le prenait à la gorge et l'étouffait. Et il lui restait une bouteille de Malibu sous son lit ... NON MARWIN! Le jeune homme se leva d'un bond, enfila une veste de sport, ses baskets, et sortit en coup de vent du dortoir. Il était tard, indéniablement. Pourquoi la veste? Parce que se ballader en pantalon de survêtement seul dans les couloirs de Poudlard alors que le mois de Janvier était bien avancé, c'était suicidaire. Et marwin n'était pas suicidaire. Non, c'était juste un alcoolique en manque. Qui ne voulait pas céder. Alors il sortit de la Salle Commune, s'éloignant le plus possible de la bouteille tentatrice. Le couvre feu était passé depuis longtemps. Mais il s'en fichait. Il fallait qu'il fuie au plus vite. Courage, fuyons? Non, c'était plus subtil que ça. Le manque était trop fort pour lui pour l'instant. Bientôt il pourrait résister. mais pas encore, il n'était pas prêt.

Ses pas le menèrent tous seuls à la Tour d'Astronomie. C'était une partie du château qu'il avait toujours adorée, en dehors des cours bien sûr. Haute, aérée, et qui donnait une vue magnifique sur le parc. Le rêve, surtout quand vous étiez déprimé, nerveux, ou stressé. Et il était tout cela à la fois. Gravissant les marches, les mains dans les poches, il commença à sentir l'air purificateur sur son visage. Déjà, sa sensation de soif s'atténuait. Il monta les dernières marches au pas de course, s'arrêtant finalement arrivé en haut. Le bonheur. Il s'approcha de la ballustrade, le vent qui soufflait lui ébourriffant les cheveux. Que c'était bon. Envolés les soucis, il n'avait qu'à rester là, à respirer l'air frais. Il ne pensait surtout pas qu'il allait devoir retourner dans son dortoir. Carpe diem. Il allait bien. Enfin.

Après être resté un petit moment comme ça, il se recula, et décida de faire quelques pas. Le haut de la tour était désert, évidemment. Seul bâtiment au milieu, la cellule dans laquelle avait été enfermé le célèbre Sirius Black. Marwin eut un hochement de tête songeur, ça avait fait la une il y avait de ça quelques années, et allait se détourner, quand un reflet étrange l'arrêta. la Lune se reflétait dans ... quelque chose. Intrigué, le jeune homme s'avança, se demandant ce qui pouvait bien produire un tel éclat. Et la réalité le frappa alors qu'il était à peine à quelques centimètres de l'objet. une bouteille ... MON DIEU! Il fit un pas en arrière. Non, mais, Ils le faisaient exprès ou quoi? Il fuyait le dortoir pour ne pas boire, et voilà qu'il se retrouvait nez à nez avec une bouteille! Essayez de revenir sur le droit chemin qu'ils disaient! Mais un sourire soulagé se dessina sur le visage de Marwin, faisant taire le manque qui avait commencé à revenir. Elle était vide. Bonheur. Mais ... que faisait-elle là? Sa main se tendit, atrrappant l'objet. Il porta le goulot à ses narines, essayant d'identifier l'odeur. Absynthe?!

Incompréhension, surprise. Oui, il en avait déjà consommé, quand il avait vraiment été très mal. Mais c'était dangereux, très dangereux. Et c'était ce qui lui avait plus justement. Qui pouvait bien avoir laissé ça là? c'était vraiment imprudent, si un prof était tombé dessus ... Peut-être quelqu'un était venu boire dans la cellule, et avait oublié ça? Et autre chose? Il valait mieux faire disparaître le tout. Il tourna alors la tête vers l'intérieur de la cellule, dont il ne s'était absolument pas préoccupé auparavant, et lâcha la bouteille, qui alla s'écraser au sol dans un grand bruit, faisant voler le silence de la nuti en éclats.

Dans la petite pièce, une silhouette inanimée gisait au milieu de bouteilles vides, de comprimés divers et variés, et de cigarettes fumées ou non. Un spectacle d'apocalypse. Marwin jra entre ses dents:


Bloody hell! Pu***n !

Deux langues s'étaient mélangées, alors qu'il se précipitait à l'intérieur. Ecrasant les cachets, il se laissa tomber à genoux à côté de la personne inanimée. Choc. Il la connaissait. Ou plutôt le. De vue. C'était une garçon de son année. Un Serpentard. Narcisse. Il ne lui avait jamais parlé, mais il voyait à peu près qui c'était. Très bien même. Comment ...? Il était dans un sale état, vraiment. pas étonnant. D'après son état des lieux, il s'était saoulé, drogué. ce n'était pas beau à voir. Il fallait faire quelque chose, vite.

Marwin prit le visage de son camarade entre ses mains, tapotant ses joues. Il n'alait pas le secouer quand même! Posant le buste du jeune homme sur ses genoux, il lui donna quelques petites baffes, histoire d'essayer de le faire revenir à lui.


Narcisse! Narcisse! Narcisse put**n réveille toi! Narcisse!
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Narcisse Feuer
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Mer 4 Avr - 23:10

Maintenant que vous avez l’identité de cette ombre, de cette silhouette, vous devez vous en posez des questions ! Oui car il a tous pour être heureux, une petite amie, une meilleure amie, d’autres amis, un petit sucé auprès de la gente féminine, une famille et pourtant…il y avait quelque chose qui n’allait pas mais quoi ? Pourquoi se mettre dans un tel état, pourquoi être tomber dans la drogue, l’alcool et autre ? Tant de question sans réponse et aux quels il ne répondra pas, car il ne veux mêler personne à ses problèmes…fierté ? Où était elle maintenant ? Il n’en avait plus…Non, il voulait que personne ne soit au courant et surtout pas Alice, que penserait elle de lui après ? Et Milicent, que penserait-elle aussi ? Enfin, elle depuis quelque temps il s’en fichait, la personne qui comptait le plus pour lui c’était Alice…

Narcisse se trouvait sur le dos, les bras écarté à l’horizontal, les jambes repliées, la tête sur le côté, les yeux clos, dormait-il ? Non car sinon il rêverait ! Et il ne rêve pas, mais alors pourquoi ses yeux sont il fermait ? Revoyons la scène, de l’alcool, le drogue, des « cigarettes » oui c’est évident…Narcisse est tombé…dans le coma….le coma éthylique du à l’alcool…mais il est aussi possible qu’il est fait une overdose ou autre, mon dieu c’est horrible…Une brise légère, rentra dans la cellule et vint toucher les joues du jeune homme qui n’était plus rose, mais exsangues…on aurait dit que cette petite brise avait était faite exprès pour essayer de le réveiller, mais rien…oui rien ne se passais,seul les quelques mèches de cheveux du jeune garçon bougèrent…

Puis alors qu’il croyait qu’il n’allait pas rêver, il vit le visage d’un Ange…oui il était dans un endroit tous blanc, on aurait cru qu’il était allongé dans la neige, mais c’était le sol, et en face de lui, ou plutôt au dessus de lui, se trouvait, cet Ange fabuleux, son visage était flou, mais plus l’Ange s’approchait, plus il voyait les traits de celui-ci, ses yeux, ses lèvres, son nez…Narcisse reconnu le visage, ainsi que la voix, c’était Alice, mais pourquoi la voyait-il ? Il ne le savait pas, elle lui souriait, elle riait, elle semblait heureuse, mais soudain son visage devint triste, le décor changeât, il devint gris, sombre et Alice ne fut plus seule, il y avait des gens avec elle, il les connaissaient, il y avait sa mère, elle était en larme, son père, qui…pleurait aussi ?! Ses parents tenaient Alice, par les épaules, et il y avait aussi, des membres de la famille d’Alice, il pleurait aussi et des gens de l’école, des professeurs, des élèves, certains pleuraient, d’autre semblaient sourire, et d’autres étaient neutres…Narcisse ne comprenait pas, et cela se voyait sur son visage…Alors il se tourna et vit alors avec Horreur, une pierre tombal…un trou…un cercueil…et ….et dedans c’était lui ! sur la pierre tombal était écrit : « Ici repose Narcisse Feuer » Il était mort ! Soudain, il entendit une voix, elle était lointaine, et masculine, croyant qu’il s’agissait de Dieu,il demanda alors dans son « rêve »:


« Dieu ! C’est toi ? »

Mais il compris bien vite que ce n’était pas Dieu, il senti alors qu’on le déplaçait, et même qu’on le frappait…Mais que ce passait-il ?! Il regarda autour de lui, et vit son cercueil partir dans le fond du trou, et celui refermé, il avait assister à son enterrement, c’était horrible, mais il savait qu’un jour il allait mourir, donc, sa ne voulait rien dire. Le décor avait changer, il se trouvait dans la tour d’astronomie, et il se voyait lui, gisant sur le sol, quelqu’un le tenait, mais avec l’obscurité, il ne voyait pas la personne, mais il voyait bien que celle-ci essayait de le réveiller, sans vraiment y arriver…car il fallait déjà que Narcisse, l’ombre gisante, veuille se réveiller, mais bizarrement, il n’en avait pas envie, il voulait se laissait mourir, car il ne voulait pas qu’on lui pose des questions, qu’on lui demande pourquoi il a fait ça, qu’on lui dise tout un tas de chose, qu’on lui face la moral…mais il n’était pas mort…du moins pas encore…alors, il ne vas pas rester ici, toute la nuit, et inconscient.

Il décida alors de se réveillé mais…Il ne put le faire, il y mit toute sa volonté et sa détermination de serpentard, mais impossible, le coma l’empêcher de le faire, et cette soudaine sensation de chaleur qui le parcourait fut étrange, il avait l’impression de se consumer de l’intérieur…Il entendit un craquellement sous ses pieds…il regarda…il fit les yeux rond….il était soudainement surpris…le sol semblait se dérober sous lui…il s’enlevas…et vit alors quelque chose…sous ses pieds, se trouver un endroit ou des flammes semblait sortir, et c’était chaud…sa le brûler…puis il tomba et se mit à hurler…il était dans les flammes….il se désintégrer, il disparaissait, lui comme son souvenir, personne se souviendrais de lui, car en même temps, il voyait tous se qui le concerner de prés ou de loin disparaître…photo, texte, vêtement, objets tous disparaissaient….

Le jeune homme dans un hurlement, se réveilla, et cette fois-ci, il se réveilla réellement, il était paniqué, affolé, il s’agitait dans tous les sens et hurlant :


« Non je ne veux pas disparaître, je ne veux pas, non je ne veux pas qu’on m’oublie ! »

Bien sur son hurlement ne fut qu’un murmure affolée, car il était trop faible pour hurler, ses forces l’avait quitté, c’était une véritable loque humaine, ce n’était qu’une enveloppe, son enveloppe, toute lueur de vie d’espoir avait disparues de ses yeux, il était vivement, mais il était mort. Il ressemblait… à rien…ou peut-être à un zombie…les yeux rouges, les cernes sous les yeux, la peau exsangue, un habit noir, les lèvres violacées, on aurait plutôt dit un vampire, mais il n’était ni cela, ni un zombie, il était lui ou plutôt se qui resté de lui après cela…une question rester un suspend…mais je ne vous direz pas laquelle, vous le serez bien assez tôt.

Le jeune étudiant se calma, et serra se qu’il trouva contre lui, ce fut un bras, il était musclé, c’était un garçon qui le tenait ainsi, mais il s’enfichait…il leva ses yeux cerné et rougi, vers le visage de son sauveur et vit alors…MARWIN ! Impossible ! Et pourtant c’était bien lui ! il fit un faible sourire, pour le remercier d’être là…mais au fond de lui, Narcisse aurait aimait que se soit une autre personne, comme…Alice par exemple, parce qu’après cela, le jeune Wyvren, allait sur ment le dire a ses petits camarades…Mais se n’était pas grave, il ferait comme si de rien était…Il regarda encore une nouvelle fois Marwin avec ce qu’il lui restait de ses yeux, et s’écroula à nouveau…il était faible…démuni…vulnérable…sans défense.

La tête posée sur les genoux de son sauveur, il fermas les yeux, serrant toujours le bras de son camarade,et prononça alors dans un simple murmure, qui fut dans un souffle, une simple respiration.


« Merci… »
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Marwin Wyrven
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Mar 1 Mai - 20:08

L’apocalypse. Ça devait ressembler à ça. Cet ensemble de poisons, mortels à long terme. De l’alcool. Des cigarettes. De la drogue. Des vendeurs de rêve dans un premier temps, et puis, plus le temps passe, plus ils deviennent néfastes. Ils vous tirent vers le fond, vous entraînent dans leur tourbillon infernal. Droit aux Enfers. Sans passage possible par la case « Rédemption ». Sauf si vous aviez une bonne étoile. Marwin avait eu cette chance. Et sa bonne étoile avait le visage de sa cousine. En tentant de se perdre, elle l’avait sauvé. Il ne le remercierait jamais assez pour ça. Parce que là, à cet instant précis, il se rendait compte de ce à quoi il avait échappé. Non seulement de quoi il s’était tiré, mais oui, surtout, de ce à quoi il avait été arraché. Il aurait fini comme ça. Ivre, drogué, et il se serait laissé emporter par un coma éthylique plus que bienvenu. Il se serait laissé sombrer. C’était ce qu’il voulait faire. Jusqu’à ce qu’il se rende compte de ce qu’il avait perdu. Oui, il avait eu cette chance. Mais pas Feuer apparemment.

C’était étrange, de voir l’envers du décor. Les gens, on n’en voit finalement que ce qu’ils veulent montrer. Et le plus souvent, ils jouent un rôle. Les gens complètement nature, finalement, est-ce que ça existait ? C’était à se demander. Parce que sinon, on saurait au premier coup d’œil quand les gens allaient mal. Et dans le cas de Narcisse, le Lion ne l’aurait jamais soupçonné. Il lui apparaissait comme un mec rebelle, que rien ne pouvait atteindre. En même temps, un type qui sortait avec Bulstrode ne pouvait pas avoir toute sa tête, si ? Enfin, c’était juste une question de point du vue après tout. Mais il ne ressemblait pas au mec qui pouvait avoir des états d’âme. Encore une généralisation à la con, Wyrven s’en rendait bien compte. Pour les élèves des autres maisons, les Serpentards ne pouvaient pas avoir de sentiments. Non, pas sentiments, disons problèmes et états d’âmes. C’était un genre qu’ils se donnaient aussi. Prenons Elvirak, le plus « beau » spécimen de Serpyz de la connaissance du Gryffondor. Il avait des sentiments, il sortait avec Yuna (grand bien lui en fasse, depuis le temps, il ne lui en voulait plus), mais quand il allait mal, il ne le montrait pas. La preuve, Marwin ne pouvait pas citer une seule fois où il avait vu Tim aller mal. Alors oui, voir Narcisse dans cet état était assez étrange. Mais poignant, bouleversant. C’était sans doute le côté altruiste du jeune homme qui ressortait. Lui, dès qu’il voyait quelqu’un qui allait mal, il ne pouvait s’empêcher d’être concerné. Qu’il voie n’importe qui pleurer, vous pouviez être sûr qu’il allait voir cette personne, voulant savoir ce qui se passait, et réussissant à coup sûr non seulement à savoir ce qui se passait, mais en plus à consoler cette personne. La magie Wyrven. Un don qu’il avait reçu ? Peut-être. Il ne savait pas. Et à vrai dire, peu lui importait. Le temps qu’il pouvait aider les gens, les soulager de leurs peines. C’était tout ce qui comptait.


« Dieu, c’est toi ? »

La réflexion aurait pu faire rire, mais dans le cas de Marwin, la seule réaction qu’elle déclencha fut qu’il se pencha sur le jeune homme. Non, il n’avait pas ouvert les yeux. Et il semblait toujours aussi loin. Il secoua la tête, découragé. Il n’était toujours pas revenu à lui. Il devait sans doute être en plein délire. Mais cela voulait dire qu’il l’avait entendu. Il fallait continuer, essayer de le ramener, il n’allait pas le laisser partir. Il n’était pas Dieu, il était juste Marwin, mais, foi de Wyrven, il n’allait pas s’en sortir comme ça. De nouveau, il recommença à lui taper sur les joues, le balançant doucement, comme on bercerait un enfant, sauf que là, il ne voulait pas l’endormir, il voulait le réveiller.

Narcisse, tu m’entends ? Narcisse, non, ce n’est pas Dieu, désolé mon vieux, mais il faut que tu reviennes. Narcisse, tu m’entends ?!

Non, il ne semblait plus l’entendre. Ce devait être un miracle, qu’il l’ait entendu une fois, que sa voix lui soit parvenue. Peut-être cela lui avait-il fait comprendre qu’il n’était pas seul. Peut-être. Ou peut-être pas. Marwin ne savait plus quoi faire. Il était seul, dans cette cellule sombre, en haut de la cellule d’astronomie. Personne ne passait par là. Et de toute façon, il souhaitait de tout cœur que personne ne passe. Non seulement ils étaient tous les deux dehors, à une heure avancée, et se feraient coller, et leurs maisons perdraient des points, mais en plus, ils se trouvaient tous les deux au milieu d’un amas de substances illégales, et il y avait fort à parier qu’ils risquaient une expulsion directe de Poudlard, voir une convocation devant la Justice Magique pour détention et consommation de substances illicites. Et de plus, il ne voulait pas aller demander de l’aide. Très mauvaise idée. Il ne conduirait pas le jeune homme à l’infirmerie. Ils risquaient trop de questions, et c’était sans doute la dernière chose à faire pour que le Serpent se reprenne en main. Oui. Parce que le Français venait de prendre une décision. Il ne se contenterait pas de le tirer de son état lamentable, de son coma, dans lequel il semblait pourtant se complaire. Promenant son regard alentour, il se promit de le tirer de tout ça. Il ne voulait pas voir quelqu’un sombrer. Il allait l’en sortir. Comme on l’avait fait pour lui. Vous ne croyez pas au destin ? Lui, si. Ce n’était certainement pas un hasard s’il avait éprouvé cette envie d’alcool qui l’avait tirée de son lit, pour tomber sur quelqu’un qui était encore plus bas que lui.

Il semblait reprendre conscience. Ses yeux bougeaient faiblement. Voyant un signe encourageant, Marwin agita ses doigts juste devant ses yeux, continuant à le stimuler de la voix :


Narcisse… Narcisse je t’en supplie, bats-toi !

Mais le jeune homme ne semblait plus l’entendre. Ou, s’il l’entendait, il semblait vouloir faire exactement le contraire de ce que le Gryffondor le suppliait de faire. La flamme qui avait éclairé faiblement ses yeux s’était éteinte, et il le sentait partir ; les lèvres de Marwin se pincèrent. Il ne voulait pas qu’on le ramène. Et il le comprenait. Combien de fois s’était-il lui-même laissé sombrer ? Mais il était toujours ressorti. Mais il fallait bien dire qu’il n’était jamais tombé aussi bas. L’absinthe seule était déjà suffisamment forte, il n’avait jamais pensé à la mélanger à autre chose. Rapide inventaire. Vodka, et autres alcools forts, cigarettes Malboro qui n’en étaient visiblement pas. Cannabis ? Il n’était pas assez calé sur le sujet pour l’affirmer avec certitude. Et tous ces cachets… Ecstasy ? C’était fort possible. L’horreur nouait la gorge de Marwin, alors qu’il s’évertuait à ramener le jeune homme malgré lui. Mais il était dur, voir impossible de ramener quelqu’un d’aussi loin malgré lui. Il en savait quelque chose. De sa propre expérience. Que ce soit lui qui soit concerné, ou quelqu’un d’autre Mais il ne voulait pas baisser les bras, il allait y arriver…

Narcisse se débattait. Il commençait à bouger la tête, comme s’il était aux prises avec quelque chose de particulièrement désagréable, dont il cherchait à tout prix à se défaire. Le Lion y vit un signe encourageant et le sollicita encore, de la voix, de la main. Qu’il revienne, maintenant.


« Non je ne veux pas disparaître, je ne veux pas, non je ne veux pas qu’on m’oublie ! »

Un murmure rauque, affolé, une supplication. Qui émanait du Serpentard. Le jeune homme tourna le regard vers le visage exsangue de celui qui venait de prendre la parole. Etait-ce cela qui le hantait ? Non. Autrement, il deviendrait exubérant, impossible à vivre, pour qu’on ne l’oublie pas… Et en même temps, chacun son tempérament. Peut-être que, se rendant compte qu’on l’oubliait, il lançait ainsi un appel au secours à ses proches. Et, sur le moment, Marwin aurait donné cher pour savoir qui ils étaient, afin de leur dire clairement sa façon de penser. Et ça risquait de ne pas leur plaire. Ils se déchargeraient, diraient que ce n’était pas leur faute. Mais si. Les gens réagissaient toujours comme ça, quand leurs proches allaient mal. Ils ne se remettaient jamais en commun. Et pourtant, ils devraient. Car, la plupart du temps, ils n’y étaient pas pour rien. Ou alors, ce cri était peut-être celui qui avait permis de revenir. Il s’était peut-être rendu compte que ce n’était pas une solution. Que personne ne le voyait s’enfoncer. Et qu’on allait l’oublier. Cette hypothèse, si elle était vraie, aiderait beaucoup Marwin à le ramener. Ce serait formidable quelque part. Cruel, mais formidable. Cela lui simplifierait beaucoup la tâche.

Une pression au niveau de son bras. Un regard rapide. La main de Narcisse qui le serrait. Aussitôt les yeux de Marwin se posèrent sur le visage du jeune homme, pleins d’espoir. Il semblait avoir repris conscience. Un léger sourire ornait ses lèvres, auxquelles les lèvres du Gryffondor répondirent par le même sourire. Il était soulagé, extrêmement soulagé. Qu’il se soit réveillé. Qu’il ne se soit pas laissé sombrer. Tout allait être plus facile maintenant. Mais… Mais il ne le connaissait pas plus que ça en définitive. Ne devait-il pas aller chercher quelqu’un qui saurait mieux lui parler, mieux s’occuper de lui ? Non. Définitivement. Parce que cela signifiait sans doute aller chercher Milicent. Et ça, jamais de la vie. Ou un autre Serpentard. Et il n’allait certainement pas se risquer dans les cachots à cette heure-ci, surtout qu’il ne possédait pas le mot de passe de la salle commune des Serpents. Non. Et, quelque part, il en faisait une affaire personnelle. Parce que c’était lui qui s’était trouvé sur son chemin. Et parce que le problème était d’une nature qu’il connaissait, et qui lui parlait. Alors, vaille que vaille, il l’aiderait. Même si, dans la théorie comme dans la pratique, il n’était pas la personne la mieux placée pour le faire. Avec la réputation qu’il se traînait maintenant, personne ne lui demanderait conseil sur la façon de se sevrer de drogues. Et pourtant, ils avaient tort. Il serait de bon conseil, il le promettait. Il s’en faisait plus qu’un honneur, un devoir. Mais pour l’instant, il valait mieux le laisser revenir à la réalité. Ne pas commencer à parler, à poser des questions. Il était trop tôt, il revenait de loin, il valait mieux le laisser souffler.


« Merci. »

Un nouveau murmure. Mais qui venait du cœur. Et qui toucha Marwin au même endroit. Il avait fermé les yeux, et serrait son bras, comme le noyé se raccroche à la bouée de sauvetage que le Ciel, en la personne de marins, lui avait envoyée. Jolie métaphore, qui représentait magnifiquement bien la situation. Et Marwin, à l’instar de la bouée, ne le lâcherait pas. Son bras se resserra sur le jeune homme, pour lui faire comprendre qu’il ne le laisserait pas tomber, qu’il n’était plus seul. Quelqu’un venait de monter à bord du navire de sa déprime, et n’en redescendrait qu’une fois ce navire remis en état. Il eut un sourire qui se voulait rassurant.

Mais de rien.

Absolument. Il voulait lui faire comprendre par là que c’était naturel, et qu’il ne devait pas se sentir redevable. Peut-être aussi en même temps qu’il n’en parlerait à personne, même si ce n’était pas explicitement dit. Que ça venait du cœur, que ce n’était en aucun cas un problème. Que c’était fini, qu’il y avait maintenant quelqu’un avec lui, même s’il n’était pas la personne rêvée. Oui, il y avait tellement de choses dans ce simple regard, et dans ce sourire, dans ces mots, prononcés d’une voix grave et rassurante. Tant de choses qu’un long discours rendrait fades, tant de choses que plus de mots rendraient grandiloquentes, et mensongères. Si peu de mots, pour tant de choses. Une sincérité absolue, qu’il lui offrait en cet instant. C’était pour l’instant tout ce qu’il pouvait faire. Pour le reste, il attendrait qu’il reprenne ses esprits. D’ailleurs, n’y avait-il pas un moyen de faciliter les choses ?

Un souffle d’air lui servit de réponse. Les yeux du Lion se posèrent sur la porte, et sur l’immensité qui s’ouvrait derrière. La voilà la solution. Reportant son attention sur le jeune homme, il se dit qu’il ne lui serait pas difficile de le transporter. Mais il se voyait mal faire ça sans son accord. Pourtant, il fallait le tirer de là. L’environnement était malsain, avec toutes ces bouteilles vides, tous ces reliefs de ce qui l’avait conduit au plus bas. Oui, c’était la solution. Il se redressa un petit peu, redressant légèrement le jeune homme, de façon à lui faire quitter cette position couchée, qui rappelait à Wyrven la position morte dans laquelle il l’avait trouvé. Sans le quitter des yeux, il eut un mouvement de tête vers la sortie.


Je vais te sortir de là, Narcisse. Je pense que respirer un peu d’air frais te fera du bien, non ? Si tu ne peux pas parler, presse juste mon bras ou cligne des yeux.

La première phrase… Il l’avait prononcée dans tous les sens du terme. Et il espérait que Feuer la comprendrait ainsi.
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Narcisse Feuer
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Dim 6 Mai - 22:14

Il était là, allongé sur le sol de cette cellule sombre, a même le sol, et dans les bras d’un garçon, un instant, il avait cru que cet homme dont il avait entendue la voix était le bienfaiteur de tous, le père éternel, l’ennemi de Méphistophélès, celui qui tente, celui qui cherche les pauvres âmes en peine comme la sienne, pour les traîner dans l’un de ces neuf cercles brûlants de l’enfer, mais le jeune serpentard ne ovulait rien de tous cela, il ne voulait pas descendre en bas, il ne voulait pas brûler, ou autre chose il voulait tous simplement être en paix, il voulait aller dans le paradis blanc, loin des combats ensanglanté, loin de ma haine, loin des peines, loin de la maladie loin des malheurs, il voulait dormir dans se paradis blanc, qui était doux, chaud et réconfortant, mais il c’était rendu compte, que cet acte était hypocrite. Qu’il ferait aussi de la peine aux autres, a ses tous ses ami€s, on pourrait croire qu’il en est beaucoup, mais ne fait on peut les comptaient sur le bout des doigts, voyons, il y a miss Mc Lean, la douce Alice, Timothé, ses deux meilleur(e)s ami(e)s moldus que si jamais il le voyait comme ça, ils ne seraient plus quoi penser ni faire.

Puis la voix parlait à nouveau, la voix de son sauveur était à nouveau là, il l’entendait parfaitement, mais ne pouvait lui répondre, il était trop envahit par l‘énergie du désespoir. La téléphone pour bien sonner, il n’y aurait plus d’abonner pour y répondre, pour y dire Allo, ici Narcisse, car il n’oserait même plus parler après cela, il n’aurait plus assez de force pour se relever, et marcher, pour tenir debout, et garder la tête haute, maintenant il était sur, que celui qui est venu le sauver, ne le regarderait plus de la même façon après cela, et à ce moment il ne savait pas encore que c’était le préfet de gryffondor, celui qu’il y a quelques mois, enfin il ne savait pas trop, buvait comme un trou, mais qui n’était pas tombé aussi bas que ce pauvre serpent dessécher qui était allonger sur le sol, la tête sur ses genoux. Il entendait, mais ne pouvait répondre toute suite, il l’entendait qu’il lui disait qu’il devait revenir, il le savait, mais une main semblait le prendre par l’épaule et l’attirer on sait où, vers le bas ? Vers la haut, dans les limbes ? Obliger, condamné a rester dans cette endroit gris, sans lumière sans couleur, a errée en tant qu’âme en peine, âme déchut, accepté ni par l’un ni par l‘autre.

Soudain la main qui semblait l’emmener le projeta au sol, il se retrouva sur le dos, de l’extérieur ses yeux s’agitait à nouveau, après l’épisode du tunnel, il voyait une ombre au dessus de lui, qui le regardait, puis il vit une lumière éclairer le visage de l’ombre, il vit avec effroi qu’il s’agissait de lui-même, le visage déconfit, blafard, il semblait se décomposer, et cette voix ce mit à lui parler, à lui dire des choses, il lui disait « regarde se que tu m’as fait ! Regarde ! Tu as vu ! C’est à sa que tu vas ressembler si tu n’agit, oui tu vas ressembler à un cadavre en putrifaction ! Car tu finira tes jours dans un cercueil en ayant déçu et en faisant de la peine à plus de personne que tu ne le crois ! » Puis après cela, l’image de cadavre du jeune étudiant s’évanouissait de la même façon dont elle était apparue, puis il regarda se qui se trouvait en face de lui, c’était un cimetière, des gens étaient présent autour d’une tombe, c’était la sienne, car il y reconnu Milicent, Alice et des membres de sa famille, et là, une chose le marqua, il vit son père, l’homme qui faisait comme si il n’existait pas, entrain de pleurer sur sa tombe, mais était-ce de joie ? Était-ce de tristesse ? Aucune idée, mais cela ne changerait rien au fait que narcisse détestait son père pour se qu’il lui à fait.

Puis après tous cela, il revint à lui, revenant au tunnel, et se débattant, suppliant à on ne sait qui, qu’il ne voulait pas disparaître, il ne voulait pas mourir, il lançait seulement un appel au secours, un SOS, un cri de désespoir, qui venait du cœur, mais que personne n’avait entendu, mais aussi, il l’avait cacher, mais se soir, une personne, un homme, un garçon de son âge, avait semble-t-il entendu son cri de détresse qui émanait du plus profond de ses entrailles et qu’il n’arrivait pas à faire sortir, et que pour oublier tous cela, il avait décider de prendre le chemin le plus sombre qui soit, le chemin de l’alcoolique drogué.

Une pression sur un bras, un battement de sourcil, tous des signes de vie, d’espoir qu’il revienne à lui, se qu’il était entrain de faire avec toute la force qu’il pouvait, puis il ouvrit les yeux, ils était toujours aussi sombre et sans lumière, mais ils étaient ouvert, c’était déjà un bon signe, mais en dehors de se « merci » prononcée, et qui venait tous droit du cœur, et hormis se sourire sur ses lèvres, rien ne signaler qu’il était totalement revenu à lui, car il était encore dans un autre monde, celui ou tous ses démons étaient présent, vous savez le genre de démons que vous avez en vous et qui parfois refont surface, lorsque que vous vous y attendez le moins, le genre de démon dont on se débarrasse jamais.

Puis alors que ses yeux gris, qui en temps normal était vert bleuté, étaient plongé dans les yeux de celui de Marwin Wyrven, il se senti légèrement soulevé, il resta un instant sur le sol, sans quitter le visage protecteur qui était au dessus de lui, il était là, il veillait sur son âme en peine, il était présent comme une apparition, comme un ange, il se demandait même si il n’était pas entrain d’halluciner, étant à moitié entre sa vie comateuse et la vie réelle, il ne put s’empêcher d’avoir tous de même le doute recommander par Descartes, de se dire que cet homme face à lui était peut-être réelle ou peut-être que ce n’était qu’une simple apparition, pour l’aider à se sortir de son état et qu’une fois que son sauveur qui avait le visage de Marwin, l’aurait sorti de cette affreuse pièce disparaîtrait, mais d’ailleurs, si ce n’était qu’une apparition, pourquoi aurait-elle pris la forme de celui-ci ? Aucune idée, donc peut-être que Marwin était bien réel, qu’il n’était pas une simple hallucination dut aux drogues prisent.

Il écouta les paroles de son sauveur, qui lui disait qu’il le sortirai de là, et que par une simple pression sur son bas ou par un quelconque signe, il lui dirait si il voulait prendre l‘air frais, et il n’avait pas tord, l’air frai lui ferait du bien, il lui ferait sûrement reprendre des couleurs, ce qu’il fallait à tous prix, sinon il allait garder se teint si étrange, Il fit alors une petite pression sur le bras du lion qui venait de le sauver, de l’aider à se sortir de là.


hj: désoler je n'avais pas vu que tu avais répondu ^^" :hj
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Marwin Wyrven
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Dim 20 Mai - 18:02

Finalement, quand on y pensait, c’était bien moche, la vie. Voir un jeune homme dans cet état là… Ça donnait envie de hurler, de tempêter, de maudire l’humanité, de pester contre le créateur de la Terre, ça donnait envie de crier et de tout envoyer en l’air. D’aller voir tous ces professeurs avec leurs airs supérieurs, qui vous malmenaient sans savoir si vous alliez bien ou mal. Ça donnait envie d’aller voir les parents, et leurs idées toutes faites sur leurs gamins, la façon de les élever, ce qu’il devaient faire et ce qu’ils ressentaient. Ça donnait envie d’aller voir les filles et de leur demander à quoi elle servait, si ce n’était à mettre des mecs bien dans des états pareils. Oui. Parce que, selon Marwin, il n’y avait qu’une fille pour arriver à mettre un mec dans un état pareil. Non, il ne citerait pas son exemple, lui il l’avait cherché. Peut-être lui aussi. Qu’en savait-il ? Quelque part, une espèce d’instinct le lui soufflait. C’était étrange, mais c’était comme ça.

Depuis toujours, il en allait ainsi. A chaque fois que quelqu’un souffrait quelque part, il fallait que le Gryffondor aille voir cette personne. Il ne cherchait qu’à comprendre, à aider. Et là, un prodigieux instinct lui soufflait exactement ce qu’il devait faire. Il savait s’y prendre avec les gens qui souffraient, il savait quoi dire, comment le dire, quoi faire, s’il devait les toucher ou au contraire éviter tout contact. Il savait quand il devait insister et quand il devait laisser tomber. Il savait se mettre à la place des gens pour se faire une idée de ce qu’ils ressentaient, pour pouvoir ensuite trouver comment les sortir de leurs larmes, de leur torpeur. De la drogue, de l’alcool, c’était la première fois. Il avait eu le droit à tout : des deuils, des ruptures, des mauvaises notes, des disparitions, des trahisons… mais il n’y avait jamais eu rien de plus que des larmes. Ah si, une tentative de suicide une fois. Une « tentative d’anorexie » il n’y avait pas si longtemps. Mais à chaque fois il avait réussi. Et il aimait ça. Se rendre utile, aider les autres. Depuis toujours. C’était en grande partie ce qui l’avait motivé à se présenter pour être préfet. Et depuis, il s’en donnait à cœur joie. C’était impressionnant le nombre de personnes qui allaient mal à Poudlard. Et en même temps normal. Cette école accueillait des adolescents entre 11 et plus de 17 ans. Alors, évidemment, il y avait tous les problèmes qui allaient avec. Il faudrait un psy à Poudlard, ça serait une idée. Mais on s’égarait.

L’attention de Marwin était entièrement focalisée sur Narcisse. Son état était grave, c’était indéniable. Ce n’était sans doute pas la première fois qu’il se mettait dans des états pareil en plus. Toute cette débauche de cigarettes, de pilules, d’alcool le mettait mal à l’aise et le glaçait. Surtout l’alcool d’ailleurs. Il eut une vision fugitive. La salle sur demande. Qui n’avait aucune forme prédéfinie. Juste une salle, au mur aussi noirs que ses idées. Et par terre, une loque humaine. Lui. En train d’enchaîner les bouteilles. Qui roulaient à terre. Comme là. Et lui, finissant immanquablement par terre. Il aurait pu se retrouver à sa place. Sans aucun problème. Oui, mais il n’y était pas. Et c’était ça qui devait importer plus que tout. Même s’il ressentait un pincement au cœur à la vue de cette scène. Il aurait pu être à sa place. Oui, mais non. Il était là, debout, enfin , non, à genoux, mais façon de parler, et il allait l’aider. Il en faisait le serment devant quiconque l’entendait en cet instant précis. Il ne supporterait pas de voir quelqu’un tomber dans la déchéance comme il l’avait fait. Il ne supporterait pas de voir quelqu’un bousiller sa vie, pour une connerie. Pour de la drogue. Pour de l’alcool. Tout ça, c’était de la merde. Des vendeurs éphémères de rêves et de bien être. Ce qu’il fallait faire, c’était les laisser. Ça, c’était le vrai courage. Affronter la vie, et les problèmes. Lâche, il avait été lâche. En s’enfermant dans l’alcool pour oublier la réalité. Et il ne laisserait personne d’autre faire ça. Personne. Bien sûr, il y avait des milliers d’alcooliques, de drogués à travers le monde si ce n’était plus. Il ne pouvait aider chacun d’entre eux, il ne s’appelait pas Clark Kent. Mais il faisait ce qui était à sa portée. Ça, par exemple. Il pouvait le faire. Et il allait le faire.

Une pression sur son bras. Il n’avait pas quitté un seul moment le regard terne du jeune homme des yeux. Il était conscient. C’était une très bonne chose. Et il l’entendait. Ce qui était encore mieux. Et il pouvait réagir. Ce qui était encore encore mieux. On était sur la bonne voie. C’était peu, mais quand on y réfléchissait, c’était déjà beaucoup. Le coma éthylique, il y avait des gens qui ne s’en réveillaient jamais.


Okay, Narcisse, on y va.

Oui, il savait qu’il ne pouvait pas lui répondre par la parole. Mais il était persuadé que le fait d’entendre sa voix devait lui faire du bien. Et s’il en était persuadé, et bien il en était persuadé. Point. Il le savait. Et c’était tout.

Bon, le sortir de là. Doucement, Marwin prit appui sur ses pieds, passant doucement ses bras sous le jeune homme. Et, lentement, il se leva, prenant Narcisse dans ses bras, un bras tenant fermement son torse, l’autre ses jambes. Marwin avait toujours été plus grand et plus « baraqué » que la normale, et porter le jeune homme ne lui posa pas trop de problèmes, mis à part le fait que, dans son état, il pesait son poids mort, et que ça nécessitait quand même un effort considérable. Mais il y arriva, se rétablissant en station debout dans le petit réduit. Il serra Narcisse contre son torse [viril et musclé => Dédi à Lalyne], et se dirigea vers la sortie. Sous les semelles de ses baskets crissaient des pilules, qu’il écrasait. Cela le fit grincer des dents. Il nageait dans un univers destructeur, mauvais. Il était temps d’en sortir. Franchir cette porte, il se débrouillerait que, pour Narcisse, cela signifie quitter définitivement ce monde de ténèbres. Que tout ce qu’il quittait, qu’il n’y retourne plus. Jamais.

Ils sortirent enfin sur la terrasse. Une brise bienvenue lui ébouriffa les cheveux, et il ferma un instant les yeux. Après l’odeur épouvantable de fumée, de mort qui régnait dans la pièce, c’était plus qu’un soulagement. Ça en devenait vital. Il s’en emplit les poumons, avant de rouvrir les paupières, son regard tombant sur son protégé. Ce n’était sans doute pas l’idéal pour respirer, là, comme ça, serré contre lui. Il s’avança donc vers le mur de la tour, et le déposa doucement au sol dans la position assise, le dos contre le mur. Lentement, il se laissa tomber à côté de lui, veillant à ce qu’il ne tombe pas, calant son épaule contre la sienne, lui servant de tuteur jusqu’à ce qu’il retrouve assez de force pour se tenir droit tout seul. Et c’était ce qu’il ferait, même après. Son regard se porta vers le ciel étoilé. Quelle étrange nuit. Parti de son dortoir pour fuir son envie de boire, il avait trouvé quelqu’un qui souffrait de ce même mal, et d’autres, plus graves. Le destin. Marwin croyait dur comme fer au destin. Et il ne voyait pas ce qui d’autre aurait pu le mettre sur le chemin de ce jeune Serpentard aujourd’hui. Il resta un moment silencieux, sentant Narcisse « revivre » à ses côtés. Il l’entendait respirer. Et ça, c’était une très bon signe. Un léger sourire éclaira le visage du jeune homme.


Ça va mieux Narcisse ? Tu peux parler maintenant ? Sinon, serre ma main …

Il garda les yeux fixés sur la voûte céleste. La stratégie ? Si Narcisse ne voulait pas encore parler, il lui en laissait la liberté. Et dans le cas contraire, et bien il pouvait lui parler. Je vous le dis, il a ça dans le sang, le Wyrven.
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Narcisse Feuer
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2Dim 26 Aoû - 20:53

    The Rasmus - No Fear


    Boy,
    you lived your life like a sleeping swan
    Your time has come
    To go deeper
    Boy,
    the final journey has just begun
    Your destiny
    Chose the reaper


    Alors qu'il était dans les bras du Gryffondor, notre jeune Narcisse commençait à avoir une chanson qui lui trotait dans la tête, sauf qu'il avait changer le "girl" en "boy". Mais cette musique, cette chanson, étaitl a bienevenue dans se moment sombre et froid que vivait notre jeune homme, car les bras du jeune Marwin, le rassuré, et lui-même lui disait de ne pas avoir peur, qu'il était là pour l'aider. Il avait une confiance plus qu'aveugle envers le jeune rouge et or. Il était plonger dans l'obscurité total, il ne savait pas vraiment ou il était.

    No fear
    Destination darkness
    No fear
    Destination darkness
    No fear

    Il avait beau avoir les yeux ouverts, autour de lui il ne voyait que l'obscurité, le froid et il sentait une odeur de mort, la mort semblait rôder autour de lui, et cela lui fit trés peur, et il se resserrat encore un peu plus contre le jeune homme qui letenait dans ses bras. Il sentit du mouvement, le jeune garçon marcher, oui, il l'ammener vers la lumiére, mais la lumière n'était qu'autre que l'obscurité de la nuit, mais elle n'étaitp as aussi sombre et glacé que l'endroit où il avait était il y a quelques minutes, en effet le lune était présente, elles semblaient les éclairer tout en les observant. Une brise légére vint frôlait les joue exangue du jeune Narcisse, il frissona légérement.

    La tête appuyer contre le torse de Marwin, Narcisse fermait les yeux, dans l'espoir de trouver le repos dont il avait besoin, mais il ne pouvait se reposer, il ne pouvait fermer les yeux dans l'état où il était, car il avait trop peur de retomber dans se sommeil qui a faillit être éternel.


    Boy,
    the rain falls down from the northern skies
    Like poisoned knives
    With no mercy
    Boy,
    close your eyes for the one last time
    Sleepless nights
    From here to eternity

    Alors il rouvrit ces yeux, cette chanson toujours présente dans sa tête, elle semblait ne pas vouloir partir, puis alorsqu'il tourner son visage vers la lumière argentée de la lune, la voix rassurante et grave de Marwin, lui fit tourner lentement son visage manger et creuser par l'alcool, et ces quelques mots retentir alors dans ses oreilles.

    Sauveur - Ça va mieux Narcisse ? Tu peux parler maintenant ? Sinon, serre ma main …

    No Fear
    Destination Darkness
    No Fear
    Destination Darkness
    No Fear

    Destination Darkness

    Destination Darkness

    Ooooh
    No Fear
    Destination Darkness
    No Fear
    Destination Darkness

    Ooooh
    No Fear
    Destination Darkness
    No Fear
    Destination Darkness
    No Fear

    Aprés la voix de son sauveur, la fin de la chanson apparut dans sa tête, il voulait la chanter, mais cela ne server à rien, car c'est lèvre devenu violette par le froid de la mort qui plâne autour de lui et de sa vie fragile, faisait qu'il avait la force d'articuler peu de mot étant ainsi, mais il put répondre alors part une voix a peine audible.

    Heart - Je... crois

    Puis alorsqu'il venait de parler, il sentait que sa gorge ainsi que sa bouche était desséché, il avait soif, énormément soif, il voulait boir, son visage se tourna alors instinctivement vers l'endroit ou il y avait des bouteilles, il voulait descendre, mais ne pouvait pas, car Marwin le tenait, et il était bien plus fort que lui, la seule chose que le vert et argent arriva à faire, c'était tendre les bras et les agitait comme un zombie vers sa proie, sauf que sa a proie à lui, c'était une bouteille de Wisky, il en voyait des gouttes tomber sur le sol.

    Il avait soif, une soif à rendre fou.


- HJ voila j'espére que ça irat ^^' HJ-
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MessageSujet: Re: Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur   Quand le Serpent détraqué rencontre le Lion sauveur Iconminitime1wn2

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