Tiens ?! C'est quoi ça ?

Plutôt dans la salle commune ~

Notre jeune Emo était dans la salle commune des Serpentards, assis à une table entrain de griffonner quelque chose sur un morceau de parchemin. Il était bien tranquille entrain d’écrire sur cette fameuse feuille lorsqu’un autre élève, un gamin sur ment un deuxième année d’après sa voix et d’après sa corpulence, vain demander quelque chose au jeune Narcisse.

« Excuse-moi, mais tu pourrais m’ai… »

Le gamin n’eu pas le temps de finir sa phrase que le jeune Narcisse lui répliqua froidement sans lever les yeux de son parchemin.

« Dégage minus, j’ai pas le temps ! »

Le jeune garçon, lui dit alors d’un ton un peu plus haut, comme si il pensait pouvoir faire le poid contre Narcisse.

« Hey ! Je suis pas un minus et tu me parle pas comme ça ! »

« Je te parles comme je veux minus »

Fit-il alors en mettant en évidence, le mot ‘minus’ et en lança un merveilleux sourire mesquin au jeune garçon, qui s’apprêta alors à donner un coup de point à Narcisse, mais celui-ci, l’intercepta, le point en le serrant dans le sien, puis il regarda le jeune garçon dans les yeux, et serra les doigts du jeune garçon entre les siens jusqu’à entendre leur craquement. Le jeune garçon dot alors sur un ton de douleur.

« Lâche-moi tu me fais maleuh ! »

Salle commune suivi du Hall ~

Narcisse s’executa alors, en prenant bien soin de faire de nouveau mal au jeune garçon et en le faisant tomber lourdement au sol, il lui jeta un regard et un sourire satisfait et cruel, puis il repris se qu’il était entrain de griffonner sur son papier, puis une fois finit, il pris celui-ci et partie dans le hall du château, et se positionna devant le panneau d’affichage et accrocha alors à côté des sorties à prés-au-lard ou autre, une affiche ou était inscris ceci :

Une fois celle-ci affichait, le jeune homme un sourire accrocher aux lèvres avait en effet l’idée de monter un p’tit commerce de farce et attrape, pour les flemmards et flemmardes, mais malheureusement, il ne trouvait personne pour les tester, alors il avait donc eu l’idée de faire cette affiche. Puis avant de se faire prendre il fit demi-tour, pour partir dans la salle commune serpentifiée, mais malheureusement au même moment, il se retrouva nez ç nez avec une personne qui ne lui était pas inconnue.

« Argh… »

Il ne trouva que ça à dire, et arbora un charmant sourire qui se voulait innocent

# hj: quand je pourrais, je ferais l'affiche ^^"#

Invité

January avait rendez-vous, là. Punaise, elle était encore en retard, il avait fallu que cette idiote de Pansy Parkinson la bouscule dans le couloir pour qu'elle fasse tomber ses affaires et doive tout ranger correctement : un dossier de métamorphose à rendre... Là, Lib' devait l'attendre, alors elle s'efforcait de courir avec un dossier de parchemins sous le bras, perdant régulièrement des feuilles en chemin, un sac en bandoulière pendant à son bras de l'autre côté, traînant à terre. Elle tenta une glissade sur le marbre du hall pour tourner vers la Grande Salle, mais rata son coup et s'étala à terre, dans un nuage de parchemins, à plat ventre. January laissa échapper un juron.

Elle se releva, et aperçut une feuille de parchemin étiquetée en annonce sur le panneau d'affichage : une annonce de travail qui nécessitait visiblement une prise de risque. On aurait dit l'épisode Weasley de l'année précédente, tiens, avec leurs Boîtes à Flemme. Ils avaient utilisé des Première Année de Gryffondor en cobayes, mais la fille aux grandes dents les avait réprimandés, genre maman et enfants. January rassembla ses feuilles et se leva, jetant un oeil à l'annonce. Narcisse Feuer. Serpentard, lui, en six ou septième année. Rah.

Tiens, justement le voilà qui s'en va. Il a terrorisé un petit Serdaigle de Première Année. Pauvre gamin, si jeune, déjà traumatisé et bizuté à l'école. Il aurait mieux fait de rester couché au lieu de croiser le regard de Feuer. Feuer, ca faisait drôlement penser à Fureur, d'ailleurs. Comme un mauvais présage... January se leva et prit l'annonce dans ses mains. C'était ignoble, elle sentait le coup foireux, cette foutue annonce. Il fallait qu'elle aille se renseigner un peu, avant d'alerter la populace des manigances du Serpentard. Ca sentait vraiment trop le roussi. Et puis January, c'était Mère Térésa, quand elle s'y mettait.

~ Feuer !

January s'approcha en accélérant un coup et lui brandit le parchemin sous le nez. C'était un grand type mince, plutôt beau gosse, aux fringues rock et à la coupe d'emo. January, face à lui, dans ses vêtements de punkrockeuse, faisait plutôt un effet bizarre. Genre Peace'n'Love face à Anarchy.

~ Dis, tu peux m'expliquer en quoi ca consiste ton truc ? J'ai besoin de fric. Et avant de me lancer, j'aimerai quelques p'tites explications, si ca dérange pas.

January lui planta un regard droit dans le blanc des yeux, comme elle aimait le faire pour jouer la provoc'. Elle mordilla son piercing avec ardeur, comme quand elle réfléchissait ou qu'elle était anxieuse. Elle espérait qu'il accepterait de lui expliquer son plan. Mais rien n'était joué : quel Serpentard de sixième année accepterait de parler ne serait-ce que cinq minutes avec une Gryffondor de quatrième année ?

Narcisse ayant entendu son nom prononcer par une voix féminine c’était retourné dans la direction de la voix toujours avec se parfait sourire d’une innocence pas tout à fait innocence. C’est alors quand se retournant, il se trouva face à mère Térésa, ou plutôt January, quel prénom bizarre, c’est vrai, elle s’appelle comme un mois de l’année, ses parents devait peut être, être ne panne d’inspiration lorsqu’ils ont choisi sont prénom. Le jeune s’approcha alors doucement de la jeune fille, les bras croisé, il la regarda de la tête au pied, avec son style de pseudo rockeuse.

Il écouta, et fut surpris de la voir intéresser, par l’annonce, sa sentait l’arnaque, surtout qu’avec une fille comme elle, car en général, une fille de gryffondor, et de quatrième année savait se qu’un serpentard avait dans la tête, lorsqu’il faisait se genre de chose, et ensuite voulait s’empresser de le dire à son directeur de maison, enfin en l’occurrence, a la vielle peau de McGonagall, qui leur servait de directrice. Le jeune homme s’appuya contre le mur, et pris l’affiche entre ses mains et dis d’une voix calme.

« Tiens mère Térésa ! Tu crois que je vais gober ça ? Tu cherches à en savoir plus, pour le dire à ta directrice. Et bien sache que je ne te dirais rien…du moins pour l’instant. »

Il lui fit un sourire calme, mais derrière se sourire se cachait, un être machiavélique, qui se voulait parfois gentil, mais ce soir il était en période Dark Narcisse. Toujours appuyé contre la paroi murale, il raccrocha l’affiche, qu’il avait pris des mains de la jeune gryffondor. Il regarda dans qu’elle état elle était, puis il regarda sa montre à cette heure-ci les élèves qui ne sont pas en sixième et septième année, devait être couché, la jeune homme un sourire en coin lui dit alors.

« Mais dis voir Wilde tu ne devrais pas être dans ton dortoir à cette heure-ci ? Ci les préfets en chef te voyaient, il t’enlèverait des points, et je pense que tu n’aimerais pas que l’on découvre, que ta maison en a perdu par ta faute. »

Le jeune homme baissa la tête et la regarda avec insistance, comme s’il regardait par dessus des lunettes rectangles, comme l’un de ses amis moldus en a. Il lui fit un joli sourire, (encore un ?xD) Et remit son sac sur l’épaule, et regarda la jeune fille de quatrième année, puis il lui posa une autre question.

« Ton fric ? C’est pourquoi faire ? À Ton âge c’est étrange d’en avoir déjà besoin. »

Puis il attendit une nouvelle réponse à cette ultime question, enfin pas si ultime que ça.

# Hj : Désoler, vraiment pas terrible -_-" Tiens ?! C'est quoi ça ? Icon_cry

hj#

Invité

January fit une moue contrariée en jouant avec son piercing. Elle était furax en son for intérieur, ce mec était vraiment odieux et trop orgueilleux. Il était peut-être beau gosse, fallait pas trop abuser des apparences, non plus. On était pas au Saturday Night Live. Ouais, cette émission de chanteurs que sa soeur regardait la dernière fois que January était revenue rendre visite à ses parents. Genre j'me la pète alors même si je chante mal, on s'en fout.

~ Tiens mère Térésa ! Tu crois que je vais gober ça ? Tu cherches à en savoir plus, pour le dire à ta directrice. Et bien sache que je ne te dirais rien…du moins pour l’instant.

~ T'inquiètes, Feuer, j'irai jamais voir MacGo pour lui dire que je traînais à cette heure-ci dans les couloirs et que j'ai vu une annonce zarb'. Seulement prévenir juste les Gryffondor, surtout les première année. MacGo m'a dans le chou, depuis Septembre.

En effet, malgré la disparition d'une élève assidue et meilleure amie de January, MacGonagall n'avait pas perdu de son strict et était toujours aussi dure avec les élèves un peu perturbateurs, même si January ne faisait rien de mal en cours au lieu d'écouter. Elle rêvait ou elle dormait, mais ça les profs, ils pigent pas. Tant pis pour eux.

~ Mais dis voir Wilde tu ne devrais pas être dans ton dortoir à cette heure-ci ? Si les préfets en chef te voyaient, il t’enlèverait des points, et je pense que tu n’aimerais pas que l’on découvre, que ta maison en a perdu par ta faute.

~ 'toutes façons, au point où j'en suis, je peux encore en perdre, ca se verra pas.

Ouais, January était du genre à faire des bêtises sans le faire exprès, ou très peu. Une blague qui tourne mal, une trop grande franchise, un caractère j'me-mèle-de-tout, et toutes sortes de détails qui faisaient le nombre de points de Gryffondor actuellement. Alors bon, un de plus, ou un de moins, à quoi bon. Les préfets connaissaient son nom, et avant même de le lui demander, ils enlevaient les points directement à Gryffondor. Triste vie.

~ Ton fric ? C’est pourquoi faire ? À Ton âge c’est étrange d’en avoir déjà besoin.

~ Anniversaires. Alors, c'est quoi ton plan ?

Elle insistait encore et toujours, comme d'habitude quand elle voulait quelque chose. Il était vrai qu'elle avait des anniversaires à souhaiter, mais elle n'irait certainement pas jusqu'à acheter de cadeau, à part si c'était Lib' ou une des filles du dortoir. Manque de bol, là, c'était une camarade de Gail qui fêtait ses quinze ans. Bah, elle irait probablement lui dire un Joyeux Anniversaire monocorde, mais de là à balancer des cadeaux en grande pompe, fallait quand même pas abuser.

Les bras croisés, Narcisse écoutais les arguments de la jeune gryffondor. Un air septique sur le visage, alors comme ça, la jeune fille était dans le collimateur de la vieille, la pauvre fille. Elle voulait prévenir les gryffondors de première année ? Mais pourquoi c’es tellement plus drôle quand il s’agit de gryffondor, bref le jeune homme gardant cet air sur le visage lui répondit, d’un ton calme.

« Les prévenir ? Mais de quoi ? C’est rien de bien méchant tu sais. »

Enfin sa dépend de quel côté on se placer, c’est vrai que tester une confiserie qui est censé vous endormir et ou qui est censé vous rendre malade et qui en est encore au stade expérimentale, était dangereux, mais pour la jeune Feuer, c’était simplement un amusement, au pire ils iraient à l’infirmerie, pour se faire soigner, il n’irait pas jusqu’à les tuer…quoique personne ne serait là pour l’incriminé, sauf cette Wilde, qui a vu l’affiche. Bref, le jeune lui répondit alors :

« C’est vrai que plus de la moitié des points de ta maison ont était perdue par ta faute, franchement tu devrai faire gaffe, tu pourrais t’attirais la foudre de tes camarades. »

Je vous vois venir tous de suite, mais détrompez-vous, le jeune homme fait semblant de s’inquiétez pour elle, parce qu’elle se face huer ou autre par ses camarades, la jeune Serpentard s’en fiche royalement. Pleins de vilaines petites idées naissait dans sa tête à ce moment précis, toutes plus perverse les unes que les autres, pfff…après il s’étonne qu’il vois un médecin la tête, franchement il est pas malin dés fois, mais bon il s’enfichait de son psy, il pouvait lui raconter n’importe quoi, il gober parfaitement se qu’il pouvait lui dire.

« Un anniversaire ? Bah…pour une gryffondor je trouves sa étrange de t’allier à un serpentard, surtout comme moi, pour avoir de l’argent, donc désoler, mais il vas en falloir plus pour me convaincre de te révéler ça, parce que franchement ça s’en le coup bas, même si tu dis simplement prévenir les première années. »

Et oui , on la pas si facilement que ça le petit Feuer, Il la regarda, elle continuait de mordiller son perçing avec nervosité, mais qu’est-ce qu’elle pouvait bien avoir ? Il en savait rien, alors il lui dit alors avec un ton ironnique.

« Bah alors Wilde ! Qu’est-ce que t’a ? Sa te stress tant que ça de me parler ? »

Lui fit il en la regardant de toute sa grandeur.

# HJ : sympas ton nouvel Avatar ^^ hj#

Invité

~ Les prévenir ? Mais de quoi ? C’est rien de bien méchant tu sais.

~ Un plan foireux et un Serpentard, ca fait pas bon ménage.

January croisa les bras, contrariée. Il était devant elle, dans toute sa splendeur, le crétin. Il voulait utiliser de pauvres élèves innocents pour ses foutus projets. Répugnant. Ces gens-là, January les détestait. Elle ne supportait pas ceux qui se la jouaient, ceux qui se croyaient meilleurs que les autres. Ignoble. Elle ne pouvait pas s'empêcher de répondre du tac au tac à ces gens-là, comme à présent d'ailleurs. Juste pour les remettre à leur place et leur faire le coup du "Retente ta chance !". Pff. Elle fixait le mec en face d'elle d'un air hargneux, même si elle ne faisait pas le coup face à un garçon de deux ans de plus qu'elle.

~ C’est vrai que plus de la moitié des points de ta maison ont était perdue par ta faute, franchement tu devrai faire gaffe, tu pourrais t’attirais la foudre de tes camarades.

~ Joue pas à mon rôle, mère Teresa, c'est moi. A moins que tu veuilles jouer celui de Bouddha ou de Gandhi ?

Ouais, c'était vraiment exaspérant. Genre elle allait tomber dans le panneau du beau gosse charmeur. Foutaises. January était plus dure à cuire qu'elle ne laissait paraître, malgré sa petite taille, toute menue, avec son bermua de jean, ses collants rayés noir et rouge, son t-shirt noir et son piercing argenté. Elle faisait peut-être gamine, mais il fallait qu'elle soit le plus crédible possible. Elle ne pencherait pas.

~ Un anniversaire ? Bah…pour une gryffondor je trouves sa étrange de t’allier à un serpentard, surtout comme moi, pour avoir de l’argent, donc désoler, mais il vas en falloir plus pour me convaincre de te révéler ça, parce que franchement ça s’en le coup bas, même si tu dis simplement prévenir les première années.

~ Et alors. De toutes façons, même si je disais qu'en fait c'était pour acheter des Bombabouses pour faire la fête avec Dumbledore parce que Peeves a piégé Rogue, ca serait pareil.

January se souvint alors de la dernière fois qu'elle avait lancé des Bombabouses... avec Gail. Ils avaient écopé d'une retenue tous les deux. La dernière que January ait eue à ce jour, jusqu'à ce que Flitwick lui en donne une avec Lib' au dernier cours. Le bon vieux temps. Quand elle riait encore avec ses meilleurs amis, quand elle ne savait pas que Gail l'aimait, quand elle-même ne savait pas qu'elle l'aimait.

~ Bah alors Wilde ! Qu’est-ce que t’a ? Sa te stress tant que ça de me parler ?

~ Stressant ? Juste un tic. Genre ca va être stressant de causer avec un mec comme toi, Feuer.

Elle avait dit ceci d'un ton parfaitement dégagé, assez ironique. C'était elle qui maitrisait la situation, merde. Pas un Serpentard imbécile comme lui. Surtout un Serpentard qui essaie de piéger les petits Première Année. Jamais il ne piègerait les Gryffondors, en tous cas. Quoique fut son plan, elle comptait tout de même informer sa maison, au cas où.

Narcisse écoutait calmement les paroles de la jeune gryffondor, elle avait l’air si sur de ses convictions, que s’en était presque alarmant, car on sait qu’il n’y a que les imbéciles qui ne change pas d’avis. Le jeune homme ne répondit rien et se contenta de soupiré, l’air déçut face à la réplique de la jeune fille, alors il se mit à réfléchir un instant et répondit alors d’un ton très calme sans énervement ou autre.

« Tu sais au pire, ils iront à l’infirmerie. »

Il l’observa, avec sa tenue de clown, il riait intérieurement, mais il était content qu’au moins dans cet établissement, il y en avait qui ne se gêner pas, pour afficher leur look vestimentaire, même si il est particulier, car quand on vois que certains critique les autres, parce qu’ils sont tous simplement différent à cause de leurs vêtement, c’est vraiment stupide. Le jeune homme face à cette pensée, eu un sourire, qui se dessina sur les lèvres, un sourire qui était très étrange et qui ne ressemblait pas du tous au précédent sourires qu’il avait eu.

Lorsqu’elle lui dit que mère Térésa c’était elle, le jeune homme ne put s’empêche r de sourire à nouveau, et il se mit à rire légèrement lorsqu’elle, lui demanda si il voulait jouer bouddha ou Gandhi, d’ailleurs c’est qui celui-là ? Narcisse connaissait Bouddha mais l’autre sa ne lui disait rien, après tous il s’enfichait un peu, puisqu’il n’était pas un Dieu, d’ailleurs il lui répondit d’un ton très calme.

« Non je ne suis ni l’un ni l’autre, car je ne suis pas un dieu, quelque soit son nom. »

Il la regarda dans les yeux, une espèce de lueur étrange venait de naître dans les yeux du jeune Serpentard, et elle brillait étrangement, cela pouvait être assez troublant, d’ailleurs lui même ne s’en était pas rendu compte, vu de l’extérieur on aurait put avoir l’impression que le jeune homme avait un diamant dans l’œil et qu’une lumière se refléter sur celui-ci.

« Si tu m’aurais dit ça je ne t’aurais pas cru, tous comme je ne te crois pas, quand tu me parle d’anniversaire. »

Lui dit il, avec un sourire en coin, les bras croiser, puis il se détacha du mur, car il commençait à avoir des fourmis dans l’épaule à force d’être appuyait contre celui-ci et marcha un peu, autour de la jeune fille non pas pour l’effrayer, juste pour se dégourdir les jambes, et puis si il l’avait fait pour l’effrayait sa n’aurait sur ment pas marcher vu que cette jeune fille semblait être une dure à cuire.

« Il se trouve quand que je le souhait, je peux être très troublant. »

Fit-il en accentuant le mot ‘troublant’ qui avait la même signification, que ‘stressant’ car quand on est stresser, on est souvent troubler et vice-versa. Puis le jeune homme commençant à s’ennuyer légèrement et à trouver le temps long déclara.

« Ta cas dire à tes petits camarades de pas s’approcher de l’affiche et de moi, et comme ça tu n’auras pas à t’inquiéter pour eux, je n’aurais pas à te révéler mon plan, car je ne le fait pas ici, les murs on des oreilles et le plafond à des yeux. »

Fit-il en souriant et en passant sa langue sur ses lèvres d’un geste annodint.

Invité

~ Tu sais au pire, ils iront à l’infirmerie.

~ ....

January réfléchissait elle aussi. Il avait donc fini par lui causer normalement, sans une pointe d'arrogance dans une phrase entière. Exploit, non ? L'infirmerie... il allait avoir des problèmes, lui, par contre. Bah, de toutes façons, il aurait ce qu'il mériterait. Bah. Et puis tant pis, après tout. Ca se trouve, elle oublierait de prévenir les gens. Tout ce qu'elle voulait à présent, c'était savoir ce qu'était son plan si brillant fût-il. La curiosité avait été piquée à vif.

~ Non je ne suis ni l’un ni l’autre, car je ne suis pas un dieu, quelque soit son nom.

~ T'inquiètes pas, t'as pas besoin de préciser, j'ai vu ça ! Et Gandhi n'est pas un dieu, mais j'évite de te faire l'exposé.

Elle avait dit ceci d'une voix railleuse, un peu comme pour le narguer et lui rire au nez après tout ce qu'il avait pu dire. Bah. Il en valait pas la peine de toutes façons. Tss... ces Serpentards, tous les mêmes. Incapables d'être agréable plus d'une phrase. Enfin non, il ne fallait pas qu'elle remette les préjugés sur le tapis : Gail n'aimait pas ça, et par simple respect pour lui, elle ne devait pas.

~ Si tu m’aurais dit ça je ne t’aurais pas cru, tous comme je ne te crois pas, quand tu me parle d’anniversaire.

~ Et alors ? Y'a du blé à la clé, alors en général ca attire des gens, avec n'importe quelle excuse. J'ai pas d'explications à donner.

January souffla. Gonflant, comme mec. Lourd. C'est clair, elle avait pas à se justifier. Anniversaire, point. Tout le monde est attiré par le fric, c'est bien connu. Pourquoi alors il la gonflait donc comme ça ?

~ Il se trouve quand que je le souhaite, je peux être très troublant.

~ Rien à foutre. C'est pas mes oignons.

~ Ta cas dire à tes petits camarades de pas s’approcher de l’affiche et de moi, et comme ça tu n’auras pas à t’inquiéter pour eux, je n’aurais pas à te révéler mon plan, car je ne le fait pas ici, les murs on des oreilles et le plafond à des yeux.

~ Il se trouve que quand on me titille comme ça, ma curiosité est piquée, et je veux en savoir plus. Alors, c'est quoi ton plan ?

Le jeune homme en avait un peu marre de toutes ces questions et sa commençait à l’agacer, et quand on agace le jeune Feuer c’était pas bon, mais bon, il allait faire l’effort de se contrôler pour ne pas violenté la jeune fille, quelque soit le moyen qu’il préconiserait pour le geste. Le jeune homme d’un calme étrange déclara alors d’un ton tout aussi calme.

« Je ne suis pas Einstein je ne pouvais pas savoir que Gandhi était autre chose qu’un Dieu ou je ne sais quoi d’autre. »

Fis le jeune homme en mettant sa veste dans le creux de son coude, pour la tenir normalement et regarda, le jeune Wilde avec insistance décidément cette jeune fille était bien curieuse, et elle avait de la répartie. Le jeune homme ne dit rien a propos des autres paroles qu’elle prononcer car, elle n’avait pas tord sur sep oint là, les gens quelle que soit leur appartenance était tous attiré par l’argent et parfois même le pouvoir. Enfin en général c’était plus l’argent que le pouvoir car, on a tous besoin d’argent, sauf quand on est très très riches ou autre, comme la famille mal au foie euh pardon Malfoy.

Le jeune soupira longuement, non pas qu’il s’ennuie mais presque. Puis alors que la jeune fille parler il eu un moment d’absence, en effet il se mit à pensé oui oui à pensé sa lui arrive et voici à quoi il est pensé :

*Comment les elfes de maison font de si bon gâteaux, il vas falloir que j’en trouve un, et que je lui demande.*

Pensée étrange n’est-ce –pas ? Mais faut pas s’étonner c’est Narcisse, et personne ne sais se qui se trame dans sa tête, sauf lui, est encore, parfois il se demande pourquoi il pense se genre de chose. Bref au moment ou le jeune homme revenait à lui, il entendit, les dernières paroles de la jeune gryffondor et il lui répondit alors d’une façon rêveuse, après être sortie de cette pensée bizarre.

« La curiosité est un vilain défaut, mais bon ce ne sont que des bonbons, c’était ça le plan. »

Il avait continuait de parler de façon rêveuse, regardant ailleurs, en effet il avait les yeux en l’air, tourner vers l’un des chandeliers qui éclairait le Hall, puis il tourna son visage, qui d’ailleurs avait pris une expression beaucoup plus décontracter et aussi son visage était devenue rêveur, s’accordant avec sa voix et ses gestes, puis il regarda la jeune fille.

Il lui avait dit une parti de son plan, car il s’agissait bien de bonbon et pas d’autre chose, si ce n’est qu’il servirait au flemmard, qui n’ont pas envie d’aller en cour.

» T'as faim ? Tiens, mange !
» Inconscience quand tu nous tiens