Le plus beau des péchés... [PV Azéline.]

« Kraute ?! Cheeseburger ! »

Duncan venait tout juste de finir sa sieste. Il avait mis deux, peut-être trois, minutes pour vraiment se réveiller et déjà il entendait son ventre crier famine. Il baissa les yeux tant que sa position étendue le lui permettait et, de sa main droite, releva doucement son tee-shirt blanc qui faisait ressortir ses quelques muscles et regarda son ventre plat. Et puis, une nouvelle plainte... Une lamentation même, il avait faim. Il ne reprit pas le temps de vraiment baisser son vêtement et se redressa pour s'essuyer les yeux avant de se faire tourner pour faire passer ses jambes en dehors du lit et baissa un peu la tête.

« Kraute, je croyais t'avoir demandé un... Ah oui, j'oubliais... »

Il reprit conscience, en regardant le lit voisin, qu'il n'était pas chez lui mais bel et bien à Poudlard. Ça lui arrive parfois, d'oublier. Il avait tellement pris l'habitude étant jeune d'être servi par cet saleté d'elfe de maison borgne que même après trois années complètes passées à Poudlard, il avait du mal à se faire à l'idée de devoir se servir à manger lui-même, parce qu'en plus le prochain banquet ne semblait pas tout proche à en croire le son du clocher, quatre heure de l'après-midi. Pas étonnant qu'il avait faim le pauvre.

** Rahlala heureusement que la cuisine est pas loin... **

Et qu'il savait comment y entrer surtout! Il attrapa son oreiller qu'il serra une seconde en soufflant puis le lança au bout de son lit, là où sa tête se trouvait un instant au par avant. Il se leva et s'étira sur toute sa longueur quand il aperçut un autre quatrième année qui le regardait avec des yeux ébahis. Duncan décida tout simplement de ne pas lui prêtait la moindre attention et se dirigea vers la porte du dortoir. Quand soudain...

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« Aïe! Titrus mais quel imbécile tu fais! »

Un coup de poing vint alors se perdre dans la face du dénommé Titrus, une quatrième année de Serpentard, lui aussi, que Duncan avait su dompter, si on puit dire. Il ne poussa pas le moindre cris mais se mordit la lèvre inférieur, apparemment il savait après quelques années que de répliquer ne ferait que d'empirer son cas. Raison de toute cette agitation? Retour en arrière...

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[...] et se dirigea vers la porte du dortoir. Quand soudain... La porte s'ouvrit à la volée, dans un cris de joie inexpliquée et vint se claquer, avec aucune délicatesse, contre le visage du jeune Serpentard, nous parlons bien entendu de Duncan. Celui-ci s'essuya la lèvre du revers de la main à l'endroit où une plaie venait de s'ouvrir, laissant son sang couler.

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Duncan, sans perdre plus de temps ainsi, quitta alors le dortoir en maudissant Titrus à voix basse. Maintenant il avait non seulement faim mais en plus il était énervé! Il passa la salle commune sans prêter la moindre attention aux filles qui l'appelaient et sortit de la lumière verte de la salle pour se retrouver dans le couloir des cachots.

Il tourna la tête à gauche, puis à droite. Personne. Non loin de là il entendait le professeur Rogue criait, sans doute était-il en train de donner un cours. Le jeune McCurtis prit alors la direction de la cuisine dont l'entrée se cachait derrière un tableau représentant une coupe de fruit. Quand il l'eut atteint, il chatouilla la poire, ce qui eut pour effet de laisser apparaître l'ouverture.

« Bienvenue dans le temple des délices, Duncan... »

Duncan fit attention de ne pas tomber sur un elfe de maison, sachant pertinemment qu'ils travaillaient ici et marcha vers un premier frigo, puis un autre et encore un autre...

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Duncan posa tout ce qu'il avait réuni sur une petite table où on semblait confectionner des gâteaux à l'occasion et sourit. Il avait des cuisses de poulet, des frites, des beignets de calamars et beaucoup d'autres choses sucrées et salées... A taableee!!!

Promenons nous dans les bois pendant que le loup n’y est pas si le loup y était il nous m… hum bref. Azéline était tranquillement assise dans un arbre dans la grande forêt interdite .C’était si calme si doux, l’air était doux et venait frôlé les bouts de peau des corps humains qui osaient venir se trimballer dans la forêt. Elle, Azéline, elle aimait cela venir se promener dans la forêt interdite. Tout ce qui était interdit était passionnant n’est-ce pas. Du moins c’était ce que la jeune fille pensait. Pantacourt en jean bleu et débardeur mauve, elle avait longuement hésité à prendre un cache cœur rose avec un joli nœud rose fushia sur le côté droit. C’était décidé, elle allait le prendre au cas ou elle aurait froid. Aussitôt sortit, la jeune fille avait marcher jusqu’au la forêt ou il faisait comme même bien froid. Beaucoup trop froid pour que se soit supportable bras nus. Elle qui était assez frileuse, les bras nus n’allaient certes pas lui faire bon ménage.

Azéline était en se moment même à quelques kilomètres de la lisière du bois. Les kilomètres, paressaient tellement courts que lorsqu’on s’éloignait on se disait que en un rien de temps on retrouverait le bout seulement dès fois c’était pas quelques minutes qu’il fallait pour retrouver le bout de la forêt mais bien 30 voir même 40 minutes bien tassées. La jeune fille observait la lune. La lune si belle, si intéressante. Voilà se que Azéline aurait voulu être si elle avait pas été humaine… La lune. Une si belle étoile. Le regard pensif, elle avait deux nattes. Une qui tombait sur son épaule gauche et l’autre sur son épaule droite. Jouant avec le bout non natté, Azéline, réfléchissait à de multiples choses. Par exemple sa 5ème année à Poudlard comment ce passerait-elle ? Elle espérait bien , c’était ce que tout élève voulaient bien sur. La jeune fille sortit de ses pensées et descendit de l’arbre. Elle regarda le ciel une dernière fois avant de se remettre à marcher vers la lisère.

Voyant le bout de lumière annonçant, que le château n’était plus très loin, la jeune fille marchait doucement, les deux mains dans les poches de son jean. Elle aimait cet endroit si lugubre, obscure, froid voir même glaciale. Azéline frissonna. Les léger petits poils qui recouvraient le corps humain se dressèrent sur le corps de la jeune Serpentarde. Le regard bleu gris dans l’horizon sombre, elle scrutait, les environs au cas ou il y aurait des centaure ou autres créatures qui risqueraient de mettre sa vie en danger. Après 15 minutes de marche, elle arriva enfin à la lisière. Il faisait déjà nuit et le clocher du château fit retentir 16 coups. Seize heures ? Déjà ? Et oui déjà 16 heures. La jeune fille marchait doucement, cognant quelques fois les pieds dans de petits cailloux qui roulaient sur quelques mètres. Azéline, commençait a bien frissonner et cela devenait très désagréable. Le regard mystérieux, malgré cela du vide ce faisait voir. Elle continuait de marcher.

Azéline arriva près du grand portail qui menait au hall d’entrée du château.
Pas un chat dehors et la jeune fille, essayait de faire le moins de bruit possible. Cette petite balade lui avait du bien. De s’évader un peu, d’oublier, tout les problèmes qu’elle avait. Posant une douce main chaude sur la poignée ronde, elle ouvrit la porte. Cette lourde porte en bois de châtaigné qui retenait toute la chaleur. Quand Typhen pénétra une bouffée de chaleur lui tapa en plein dans le visage. La jeune fille soupira et referma la porte doucement après elle. Son débardeur caché par son cache cœur, elle passa devant le bureau de Rusard. Se dernier était vautré sur son fauteuil et Miss Teigne dormait tranquillement à ses pieds. Traversant rapidement le couloir, elle arriva devant la salle à manger. Son ventre gargouilla. Tiens celui la il criait famine. Tournant talons, elle se dirigea vers les cuisines. Voyant que la porte était ouverte, elle y pénétra.

Elfes « Gâteaux au chocolat ? Gâteau à la crème ? Gâteaux au citrons ? Nous avons le choix mademoiselle vous pouvez aussi prendre de l’eau … »

L’elfe eut a peine le temps de terminer, que la petite Azéline avait déjà tracé sa route. Si tous les petites créatures de cette salles lui sautaient dessus, elle allait faire une belle crise cardiaque. Et puis qu’allaient dire ses petites créatures « elle est morte d’une crise cardiaque ont lui faisait peur … » Mais non sa serait pas du tout potable. Azéline , elle , elle n’avait pas peur des elfes au contraire, elle trouvait ses petits êtres assez amusant malgré que certains pouvaient être décidément très cons. Soupirant de voir les créatures s’activer, elle s’arrêta devant l’évier ou était étalé des pommes bien vertes. Hummm elle aimait les pommes mais elle aimait par dessus tout les fraises. Aie Aie Aie ! Comment attirer Azéline à soit , prenez des fraises et tender lui , elle viendrait comme une petit chien suivrait un os. LA jeune fille regarda une elfe qui la fixait . Elle lui adressa d’une voix calme et assez douce une commande comme pour lui faire plaisir.

Azéline « Un verre d’eau bien frais s’il vous plait. »

L’elfe de maison partit directement en trottinant vers le frigo ou il sortait une grande bouteille d’eau. La jeune fille s’appuya quelques instants contre le rebord de l’évier. Au moins une 10ène de pommes étaient bien étalées sur un grand torchons blancs. Soupirant devant la difficulté et l’ampleur du choix, elle choisit une grosse pomme verte qui était tout au milieux. Se retournant, elle se dirigea vers les grandes tables au fond de la pièce. Etait disposées 4 grandes tables en bois ou était posés les plats juste avant d’être envoyés à la salle ou tout les élèves se retrouvaient pour manger, cependant à cette heure ci aucuns plats n’étaient là. Un petit soupire, un petit courant d’air vont flirter avec quelques mèches brunes qui avaient glissées de ses nattes. S’asseillant sur une table en bois, elle laissa basculer ses jambes dans le vide. L’elfe arriva rapidement vers elle pour lui donner son verre d’eau. Azéline le fixa d’un air mystérieux et son regard bleu gris se posa sur la tête de la créature.

Azéline « Merci vous pouvez retourner à vos occupations. »

L’elfes repartit tout aussi rapidement qu’il était venu à elle vers les fourneaux. L’endroit ou c’était posée Azéline était assez calme et juste quelques bruits en fond se faisaient entendre rien de plus. Un regard plongé dans le sol, il avait été ciré il n’y avait pas très longtemps. Voyant le reflet des elfes marchaient plus loin, elle sentait une présence nouvelle dans la pièce. Ne relevant pas le regard, elle croqua à pleine dents dans sa pomme et rêvassant sur sa table, continuait de secouer les jambes manquant quelques fois de percuter les elfes. Elle n’avait cependant pas vu la présence masculine qui n’était pas si loin d ‘elle…

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