Charlie Crown, 6e Année.

Au bord d’une fenêtre se trouvait une jeune femme, elle regardait dehors. Ses yeux verts fixaient le voisinage qui était calme et endormit. Elle pouvait tous de même distinguer quelques faibles lumières qui s’échappaient des rideaux et des fenêtres de chacune des petites maisons. Elle leva son visage vers le ciel noir, il était incrusté de petit point brillant que l’on nomme étoile. Elle vit alors l’une de celle-ci bouger dans le ciel, elle constata que celle-ci était l’un de ses engins volant dans lesquels les moldus volent dans le ciel. Elle se fichait du nom que cet engin portait, car elle ne s’intéressait pas du tous aux moldus et à leurs petites vies stupides. Elle passa sa main dans la poche de sa veste en jean, et chercha quelque chose, une fois qu’elle l’eue trouvée… son paquet de cigarette…Elle le déballât et en sortie une et la positionna entre ses lèvres, c’était bien la seule chose que les moldus avaient inventés de bien. Elle chercha ensuite son briquet, qui servait à allumer cette chose si délicieuse et à la fois si mauvaise pour la santé et alluma cette cigarette, une fumée blanche s’échappa du bout de celle-ci. Elle fit de nouveau glisser son regard sur les maisons du voisinage. Elle attendait quelque chose, elle regarda sa montre, elle indiquait vingt-deux heures cinquante neuf, dans une minute, elle aurait dix-sept ans et pour se servir de la magie dans le monde des moldus, elle attendait cela avec impatience. Elle sortie celle-ci, prête à dégainer et observait en même temps la maison d’en face, ou une jeune moldue de son âge habitait et qu’elle ne pouvait pas voir, car c’était une pauvre pouffiasse très attachée à son image de « sexy girl » alors qu’elle n’avait rien de sexy d’après la jeune femme. Vingt-trois heures et une seconde. Ça y est elle à dix-sept ans. Et c’était également l’heure où sa voisine sortait dans se qu’ils appellent « une boîte de nuit ». Elle la guetta puis enfin elle sortie, elle était vêtue d’une mini jupe bien plus que mini et d’un haut qui lui remontée jusqu’à la poitrine. La jeune femme ne pût s’empêcher de rire envoyant l’accoutrement de cette dernière, son rire raisonna dans le voisinage très calme, et fit sursauter la voisine. La jeune femme s’arrêtant de rire, pointa sa baguette dans la direction de sa voisine et prononça dans un chuchotement.

Frozen « Furonculus »

Une fois la formule prononcée un jet de lumière percuta le visage de la jeune voisine, qui dans un premier tant fût projetée au sol, ensuite, elle se releva, et sentant des choses lui tirer la peau des joues, elle posa doucement ses mains sur son visage et sentant alors des grosseurs plus ou moins grosses, elle émit un hurlement strident. Ses parents sortirent alors en toute hâte de la maison se demandant se qui se passait, ainsi que plusieurs voisins. Les parents de cette dernière étaient tout aussi superficiels qu’elle. Le père avait les cheveux gominés et portait une sorte de costume plutôt chique mais le pire c’était la mère, car elle ressemblait à la fille mais un beaucoup plus vieille, un pantalon rose pâle, un pull vert pomme et des cheveux blonds posait en chignon sur la tête. La jeune femme pointa sa baguette sur les parents de sa voisine et prononça alors doucement.

Frozen « Dentesaugmento. »

Un jet de lumière atteignit les parents et leurs deux incisives supérieures se mirent a grandir de plus en plus jusqu’à se planter dans leur pelouse verdoyante. Les voisins qui les observaient étaient partagés entre le rire moqueur et la peur, car c’était à la fois comique de les voir ainsi, mais c’était aussi très étrange et effrayant. La jeune femme fermât alors la fenêtre de sa chambre et les observa ce mettant à rire bruyamment dans sa chambre. Alors qu’elle riait, quelqu’un se mit à frapper à la porte de sa chambre, elle rangeât sa baguette dans sa valise, et allât ouvrir, et vit dans l’encadrement de la porte sa mère, qui avait l’air furieuse. La jeune femme le visage froid et impassible dit d’un ton neutre.

Frozen « Que se passe-t-il ? »

La mère de la jeune femme fit un pas dans la chambre de sa fille, un regard noir sur le visage, et les bras croisés, elle semblait être en colère. Mais pourtant le ton qu’elle employât était étrangement calme.

Mother « C’est toi qui a provoqué cet attroupement dehors ? »

La jeune femme la regarda d’un air surpris, même si elle savait de quoi elle voulait parler, et lui demanda du même ton surpris.

Frozen « Quel attroupement ? »

Mother « Celui qu’il y a dehors, les voisins d’en face on subit d’étrange phénomène. Et je te soupçonne d’y être pour quelque chose. »

Frozen « Tu oublies que je n’ai pas le droit d’utiliser la magie en dehors de l’école »

Mother « Ne te moque pas de moi, tu viens d’avoir dix-sept ans et tu peux donc l’utiliser, la trace à disparue. »

La jeune femme la regarda, et ne dit pas un mot, elle regardait sa mère, avec un sourire narquois sur les lèvres, la jeune femme fît alors quelque pas dans sa chambre, elle regarda de nouveau sa mère, puis après s’être assise sur son lit, elle releva son visage, et dit à sa mère.

Frozen « Et alors ? Moi ou quelqu’un d’autres qu’est-ce que ça peut faire ? »

Puis sa mère, visiblement très en colère après sa fille, se contenta de la regarder froidement, puis elle sortie de la chambre de sa fille en claquant la porte. La jeune femme toujours assise sur son lit, se mit à rire doucement, c’était un rire sans joie, c’était un rire sardonique. Puis elle se leva de son lit se dirigeât vers sa fenêtre l’ouvrit puis repris la cigarette qu’elle avait laisser sur le bord de celle-ci, elle appuyât ses coudes sur le rebord, et observa le spectacle qui avait encore lieu dans la rue. Un engins blanc avec une croix rouge était devant leurs maison, des hommes en blanc elle faisait entrer dedans, les portes se fermèrent et l’engins roulant partie en émettant un bruit qu’on pouvait qualifier de bruyant. Après cela, la jeune femme jeta le mégot de la cigarette par la fenêtre, enfila son pyjama et s’enfonça dans son lit, car demain, elle devait partir pour poudlard.


La lumière du soleil perça la fenêtre de la jeune femme, pour venir lui chatouiller le nez et la réveiller par sa chaleur. Elle ouvrit doucement les yeux, s’étirant dans son lit, puis se leva, pris le temps de choisir ses vêtement, un jean bleu foncé, une chemise bleu pâle, et une veste noir pour aller avec ses chaussures. Elle saisit sa valise, puis son sac de cour et les emmena dans le couloir. Elle pris ensuite la direction de la cuisine ou elle pris des toasts et des œufs, et commença à manger, lorsqu’elle fût dérangée par son père, celui-ci se posa en face d’elle, et lui dit dans un chuchotis pour éviter que sa femme l’entende.

Father « Je suis fier de toi pour hier, j’ai beaucoup rit quand j’ai vu cela. Bien joué. »

Il lui fit un sourire, elle lui fit un clin d’œil. Son père avait toujours était de son côté, et l’avait toujours encouragé, quoi qu’elle face, il avait était derrière elle. Son père n’était ni mangemort ni adepte du mage noir, mais il détestait les moldus autant que sa fille, alors chaque fois qu’il pouvait les humiliés, il le faisait, tous comme le faisait sa fille, mais en beaucoup plus méchant. La jeune femme avait hérité du caractère de son père et de la beauté extraordinaire de sa mère, la jeune femme était une beauté mortelle. Elle finissait son petit déjeuner, puis parti pour la gare King’s Cross. Se fût son père qui l’emmenât, comme d’habitude. Une fois que le magicobus fût arrivé, ils montèrent ensemble dedans, la jeune femme salua une dernière fois sa mère, puis, ils foncèrent vers la gare. Ils arrivèrent. Le père suivit de la fille marchèrent au milieu des moldus qui prenaient les trains normaux, puis arrivait face au portail neuf trois quart, ils s’engouffrèrent dedans et arrivèrent devant le Poudlard Express. Elle embrassa son père, puis parti vers le train, elle confiât sa valise au bagagiste, mais gardât son sac et son chat. Elle monta dans le train et pris une place dans un compartiment vide. Une fois tous l’heure, le train parti.


Elle observait le paysage, et caressait son chat. Soudain le train siffla, puis s’arrêta, le chauffeur annonçât, qu’ils étaient arrivés. Elle sorti du compartiment après avoir enfilé son uniforme vert et argent, le même que son père et sa mère avait eu dans leur jeunesse. Serpentard était une histoire de famille, tout le monde y avait était ou presque de chaque côté de sa famille. Elle confiât son chat au bagagiste pour qu’il le remette dans sa cage, puis partie prendre place dans une des magnifiques diligence tirées par des êtres invisibles, que seul les personnes qui ont vu quelqu’un mourir peuvent voir. Heureusement ou malheureusement, elle ne pouvait les voir, pourtant elle aurait aimé voir à quoi ils ressemblaient.

Quelques instant plus tard, la diligence arrivât au château, elle allait pouvoir retrouver, ses ami(e)s, mais aussi ses ennemi(e)s et les quelques souffres douleurs qu’elle c’étaient appropriées aux fils des années, et comptait en avoir de nouveaux cette année, avec les petits nouveaux qui arrivaient bientôt. Elle rentra dans la grande salle en même temps que tous les autres, puis s’installât à sa table. Elle fût assise entre deux garçons qui venaient de s’installer à côté d’elle. Puis quelques minutes après qu’ils se soient installés. Les premières années entrèrent dans la salle, regardant avec des grands yeux ébahit, les tables, puis le plafond magique. Ce mouvement de foule, fit remonter les souvenir de sa propre répartissions à la jeune femme.

Flash-Back on

Une masse de petits être insignifiants était regroupées devant la table des professeurs, une vieille dame à l’air sévère et aux cheveux grisonnant, était devant eux, avec une grande feuille de parchemin, elle prononçait les noms des élèves présent dans le groupe de première année, heureusement pour la jeune fille, elle était dans les premiers.

Old Teacher « Crown, Charlie »

La petite fille brune de l’époque s’avança d’un pas déterminé vers le tabouret, déjà à cette époque son visage était glacé, sans aucune expression et sans pitié. Elle se posa sur le tabouret. Le chapeau miteux fût posé sur sa tête, celui-ci se mit à bouger et dit alors :

Magical Hat « Hum…Crown, encore. Je vois très bien, tu es faites pour la même maison que ta famille… SERPENTARD ! »

La jeune fille marchât en direction de la table ou les élèves applaudissaient, elle avait un sourire, non pas de joie, mais de satisfaction, elle serrât des mains. Puis assista à la fin de la répartition, le visage dans les mains, l’air serein.

Flash-back off

Elle fût sortie de son souvenir, lorsque le premier élève fût accueillit dans sa maison sous les applaudissements de ses camarades. Elle, elle ne bougeât pas. Elle se contentât d’un simple signe de tête, dans la direction du nouvel arrivant. Elle porta son regard sur les autres premières années, et commençât à faire sa sélection de souffres douleurs. L’année s’annonçait fructueuse.