- Souvenirs...- |PV|

L'heure était à la promenade se soir. En effet notre jeune Narcisse était parti marcher dans le parc dans l'espoir de trouver une personne qu'il aimait de tout son coeur, un coeur fragil qui avait beaucoup souffert, il y a quelques mois déjà, et plusieurs personnes pourrait en témoigner, mais ces souvenirs là, il préférait les oublier, les envoyer loin de lui, le seul souvenir qu'il voulait se rappeler, c'était sa rencontre avec une certaine jeune femme aux cheveux blonds.

Cette jeune femme était de sa propre maison, elle portée le doux prénom de Milicent, oui c'était bien elle, il l'avait rencontré dans les serres, d'ailleurs, il prid la direction de celle-ci, pour se rappeler dans les moindres détails, les instant passé dans cet endroit à la fois dangereux et merveilleux. Il arriva prêt de la porte fenêtre, et rentra. Elle était remplit de beaucoup de parfum différent, plusieuurs type de plante était présent, des plus dangereuse aux plus innofencinves, il s'approcha de l'une d'entre elle, c'était cete même fleur qui avait piquer leur curiosité.

Puis il se rendit à un autre endroit, c'est là qu'il avait soignée, la jeune femme lorsqu'elle avait était blessée, tant de souvenirs dans ce simple endroit. Il fit le tour du présentoire centrale et tomba sur l'endroit ou il avait fait apparaître le lit, pour qu'il puisse dormir en attendant que la tempête se termine, cette tempête qui avait illuminée le ciel de ses éclaires blanc, et qui avait même casser un carreau.

Le jeune homme s'installa alors sur l'un des présentoires, entre deux pots de fleurs, celui de droite semblait contenir une mandragore, et dans l'autre était présent une magnifique fleur rouge. Il reporta son regard sur le fenêtre en face de lui, elle donnait sur le saul cogneur, il l'observa s'agitait, il regardait avec tant d'intensité, qu'il n'avait même pas remarqué, qu'une personne était rentrée dans la serre.

- HJ : J'espére que ça irat -_-' je trouve pas terrible désoler / HJ -

Pretty Girl : "Qu'est ce que t'as ?"

Avachie sur la table des Serpentard, la joue collée contre le bois glacé et les mains sous la table, elle observait les différentes actions des élèves qui mangeaient. Tiens, une cuisse de Poulet attrapée maladroitement par Goyle tomba sur la table, Goyle ingurgitait avec énergie ses petits pois, et Pansy dégustait avec délicatesse une soupe aux pois. Milicent n'avait pas prît d'assiette, son ventre était trop noué pour manger quelque chose sans rendre sur sa voisine de droite - Souvenirs...- |PV| Vomit

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Peste : "Ca va, ça va..."

Répondit sans grande conviction Milicent à Daphnée Greengrass, qui lui frottait le dos en guise de compassion. Après Pansy, Daphnée était l'une des préférées de Mily. Elle était douce avec ses amies, mais cruelle à souhait avec les autres, ce qui lui plaisait. Dans un soupire, la jeune fille se redressa et se frotta le front, prise d'un mal de tête. Pansy lui conseilla d'aller se reposer dans la salle commune, mais préferait prendre l'air. Alors la jeune fille se leva et enjamba le banc, suivie de Daphnée, prête à écouter son chagrin. Car oui, Milicent n'était pas triste car elle avait eu une mauvaise note en Botanique, mais parce que son coeur souffrait.

Pretty Girl : "Allez, déballe ton sac Bulstrode..."

En avançant vers la lourde porte de l'entrée, Milicent expliquait ses problèmes actuelles, Davis. Alors qu'elles mirent un pied dehors, la brise glaçée résigna Daphnée à la suivre. D'un geste de la main elle salua son ami qui courra vers la grande salle pour se réchauffer. La pleine Lune. Mhm, pas le meilleur jour pour faire une petite balade, mais bon, apparemment les loup-garous n'étaient pas au rendez-vous. Marchant près d'une passerelle menant à la petite cour de Poudlard, elle aperçut en aval les Serres. Et pour elle, serres étaientt égales à Narcisse. Mais n'allons pas souffrir plus, il était oublié. Peut-être à contre coeur elle s'y renda, comme pour s'assurer que son fantôme n'y errait pas. Comme à leur rencontre, elle ouvrit la porte de verre de la serre numéro deux, puis sentit une odeur de terre qui lui sauta à la gorge, ainsi que les pesticides de Pomona Chourave. Lorsqu'elle tourna la tête...

Non, pas possible. Narcisse Feuer, toujours les cheveux noirs comme l'obscurité, les yeux purs comme l'océan. N'y croyant pas, elle se pinça vulgairement et remarqua que ses jambes marchèrent automatiquement vers le jeune homme. Aïe, elle ne rêvait pas. D'une voix étouffée par un sanglot qui remontait, remontait, remontait, elle dit :

Peste : "Na...Narcisse ?"

La boule de son ventre se perça comme un ballon de baudruche et provoqua une implosion, qui produisit exterieurement des larmes de joie. Elle pressa le pas et entra lentement dans les bras du jeune homme, entourant son cou. Le parfum du garçon enivra ses sens, et fonda en larmes dans ses bras.

He's back.

Assi entre deux pot de fleur, il fixait d'un regard vide le saul cogneur qui s'agitait violement et qui venait soudainement d'envoyer un peuvre petit oiseau innocent dans le décor. Mais il ne pouvait s'empêcher de penser à ELLE, cette jeune femme blonde qui hante ces jours comme ces nuits, il la voix partout ou il passe, et son coeur en souffre, car il ne la pas revut depuis son retour, et c'était en quelque sorte grâce à son souvenir et aux souvenirs des bons moments qu'ils avaient vécu ensemble, en plus de l'aide de ses amis, qu'il avait réussi à s'en sortir.

Il la voyait en face d'elle, il voyait son visage ce dessiner sur la fenêtre en face de lui, c'était vraiment magnifique, elle était vraiment superbe, c'était une jeune femme tellement merveilleuse, qu'il aurait tous donner pour la revoir quelques instant devant lui en chair et en os. Il pensait tellement à elle, qu'il commençait à entendre ça voix qui l'appeler sans arrêt, il devenait fou. oui mais fou d'elle tous simplement. Mais soudain alors qu'il continuait de penser à elle, sa voix raisonna dans sa tête.

Voice of Milicent - Na...Narcisse

Oui au départ il cru que c'était encore une de ses hallucination auditive, alors il ne bougeat pas et soupira longuement.

Mais tout à coup son soupir se fit interrompre par un enlacement, c'était elle, il n'avait pas besoin de voir son visage, il avait reconnu sa force d'étreinte, ses cheveux blond doré, et aussi son doux parfum de fleur. Il passa alors ses bras autour de sa taille, et la serra dans ses bras, puis soudain il senti quelques chose d'humide couler dans son cou, c'était une larme salée, qui provenais des yeux de la jeune femme. Il la serra donc un peu plus contre lui et déclara dans un murmure proche du souffle, dans son oreille.

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