| | | Romy McLean, 7e Année, BI. |  |
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Romy Mc Lean
7ème Année à Serpentard (BI)
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|  Sujet: Romy McLean, 7e Année, BI.  Mar 31 Juil - 23:18 | |
| FORMULAIRE N°1 - Prénom(s) & Nom : Romy Charlyn Mc Lean.
- Date de naissance : 26 Janvier 1989.
- Sexe : Féminin.
- Âge : 17 ans.
- Année à Poudlard : Septième année.
- Lieu de Naissance : Belfast, Irlande.
- Lieu d'Habitation :Wellington Street, Belfast.
Romy fait beaucoup plus jeune que son age. Enfin, les gens lui donnent en général 15 printemps, ce qui a le don d’exaspérer la jeune femme. Ce n’est pas sa taille qui est à l’origine de tout cela, mais tout simplement son regard. Romy à une petite bouille que les autres trouvent « Mignonne » ou « Chou » - ça aussi c’est exaspérant – en clair elle à des airs de gamine. Sa peau est très blanche, faisant immédiatement penser à la fraîcheur parfois agréable de la neige. Romy n’a jamais particulièrement tenu à bronzer pendant les vacances d’été, sa peau n’est généralement que très peu halée, soulignant ses yeux d’un vert incroyable… Vous avez tout de suite l’impression de nager dans une immense mer d'espoir. Des cheveux fins et mi-long tombent sur les épaules de la jeune femme, leur couleur se rapprochant quelque peu de celle de sa peau. Quelques reflets se balade sur la chevelure de la Septième année, passant d’un blond très clair à un blond plutôt foncé avec une certaine élégance. Romy possède des lèvres roses et légèrement pulpeuses qui donnent une petite touche ‘sexy’ à son visage. Le problème est juste quant on pose les yeux un peu plus haut… Son nez. Disons que celui-ci prend une sacrée place. Il est sacrement busqué, en plus. Miss Mc Lean est sans doute la seule et unique personne à posséder un nez aussi imposant dans sa famille, même si Romy déteste sa cousine Tania, elle lui envie parfois d’avoir un nez aussi fin. Enfaîte, la Septième année envie Tania d’être aussi jolie, Romy n’est pas moche loin de là, mais la Serdaigle a toujours eu un truc en plus que la jeune femme n’a pas et n’aura jamais. Pour en revenir à notre Miss, l’Irlandaise possède un corps presque sans formes, elle à tout de même un peu de poitrine, mais sans plus disons. Bizarrement, elle n’est pas complexée – pourtant c’est de son age – et pense même qu’elle ne serait pas jolie avec trop de formes. Son style vestimentaire, quant à lui, est souvent qualifié de « classe ». Romy n’est pas à la pointe de la mode, mais elle possède un style qui la caractérise bien et la rend très élégante. Tout ce qu’on peu dire, c’est que Romy est lunatique. Et de ce fait, personne ne peu savoir à l’avance comment elle va réagir à une quelconque situation. À part peut-être le peu de personnes qui la connaissent véritablement bien. Mais le soucis, c’est qu’il n’y en a pas. Des bons amis, OK, mais bon après… Enfin bref. Miss Mc Lean accorde beaucoup d ‘importance à la musique, elle est complètement passionnée. Enfaîte, elle est totalement accro à l’art en général. Elle aime faire de sa vie un véritable film, transformée n’importe quel moments d’une journée en un scénario fraîchement battit dans son cerveau. Elle n’aime pas être la même personne tous les jours, c’est peut-être pour cette raison qu’elle a ce côté lunatique en elle. La jeune femme voudrait être comédienne simplement pour rentrer dans la peau de quelqu’un d’autre à tout moment. Romy Schneider. Comment ne pas parler de cette actrice alors qu’on parle de Romy Mc Lean ? Il était temps d’en venir à cette fabuleuse femme. La sixième année est totalement fanatique de Romy Schneider. Romy veut lui ressembler, être comme elle en tout point. Ça en devient presque une obsession. Dans sa chambre se trouvent une bonne vingtaine de posters à l’effigie de cette célébrité, des figurines, livres et j’en passe... Autre chose, si Romy se fait humilier un jour, elle ne montrera jamais la tristesse ou l’énervement qu’elle éprouve aux yeux de ses camarades, elle se contentera de se cachée vite fait sous les jupes de maman en pleurant quelques larmes et elle serra repartit de plus belle. Croyez-vous pour autant qu’elle ne fera rien à part pleurer ? Vous rigolez ! Elle prendra une belle revanche digne d’un scénario de long-métrage Hollywoodien… Bien sûr, elle ferra un coup incroyable, le plus blessant possible. Oui, là s’en ai terminé pour les bonnes choses. Pour tout vous dire, Romy n’est pas une fille qu’on peut appeler « gentille ». La jeune femme a été élevé dans un milieu où les Sangs-de-Bourbes sont comme des Dragibus à la crotte de nez, c’est à dire : ils devraient tous finirent à la poubelle. Miss Mc Lean est issue d’une famille dite de Sang-Pur (malgré tout nous savons tous qu’il n’existe plus vraiment de famille à 100 % sorcières, mais allez rentrer ça dans le crâne de cette imbécile de Romy) et comme je le disais plus haut, la Septième année à été élevée dans une ambiance plutôt malsaine. Chez les Mc Lean, il ne faut pas « souiller son sang » et donc, il ne faut pas épouser quelqu’un qui n’est pas sorcier, autrement dit, un moldu. Sinon ? Et bien sinon, on ne fait plus parti de la famille. Romy à donc beaucoup de principes stricts. La jeune femme s’est fait répartir à Serpentard car elle est totalement d’accord avec le grand Salazar, qui ne voulait en aucun cas que des enfants Moldus fréquente Poudlard et parce qu’elle à beaucoup d’ambitions. Pour tout vous dire, son père l’a tellement pervertie qu’elle veut absolument rejoindre le camp de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom à la fin de ses études.
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| | | | Romy Mc Lean
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Jeu 9 Aoû - 0:45 | |
| Cher lecteur,
Je dois te prévenir. L’histoire que tu commences à lire n’est pas une histoire drôle, si tu ne veux pas être malheureux une fois le texte finit tu peux toujours t’arrêter et changer de topic. Bien sûr, tu n’es pas forcé de faire ce que je te demande, depuis quand quelqu’un d’inconnu doit te dire ce que tu dois faire ? A ce stade-là, je pense que tu es bien décider à ce que je te conte cette histoire alors écoute bien… Celle-ci se passe il y’a exactement 15 ans, dans une immense maison à Belfast, en Irlande :
Ø
« C’EST IMPOSSIBLE ! COMMENT A T’IL PU ? SON SANG ! SON SANG EST PUR ! IL A ETE ELEVE DANS LES MEILLEURS CONDITIONS POUR DEVENIR UN VERITABLE SERPENTARD ! C’EST INADMISSIBLE ! »
Il faisait froid ce soir-là et Madame Mc Lean était dans tous ses états. Monsieur Mc Lean, lui, regardait par la fenêtre, se perdant dans le ciel tapissé de nuages. Il n’adoptait pas une mine rêveuse, loin de là, il était en pleine réflexion. Comment un garçon qui semblait si prometteur aurait-il pu se faire répartir dans une autre maison que celle par laquelle toute sa famille était passée ? (Note au lecteur : Tu peux toujours passé ton chemin et ne pas lire cette histoire !)
« Andrew, il faut trouver une solution… ET TOUT DE SUITE ! »
« Du calme Margaret ! Par la barbe de Salazar ! »
Monsieur Mc Lean s’était levé et avait dévisagé sa femme de ses petits yeux perçants. Il tremblait. Il tremblait de tout son corps. Son propre fils était devenu un traître ? Comme son imbécile de frère ?
« Mon Dieu… Si la famille Malefoy ou même la famille Lestranges apprenait que notre fils s’est fait répartir à Gryffondor, qu’elle honte ! Les Malefoy ont eu un enfant il n’y a pas si longtemps, un petit qui est paraît-il le portrait craché de son père ! Un véritable exemple, lui ! Et nous… Nous ! Nous avons osé concevoir un traître, un maudit… »
Un cri retentit. Un hurlement de bébé. Madame Mc Lean se leva, rouge écarlate, prête à exploser de rage. Elle se dirigea lentement au second étage. Ses longs cheveux bruns descendait en cascade dans son dos, une belle robe verte l’habillait avec élégance et une paire de boucles d’oreilles scintillaient sous ses mèches foncés. Margaret était encore une charmante femme à cette époque-là, elle possédait un visage froid mais très perturbant, ce qui avait su plaire à Monsieur Mc Lean. D’ailleurs, celui-ci suivait sa femme silencieusement, tout deux traversèrent le couloir, les cris se faisaient plus intenses. Puis, ils débouchèrent sur une pièce très sombre où une seule chose y était disposée : un berceau. Madame Mc Lean tendit les bras vers le berceau et saisit le bébé qui hurlait avec une tendresse incroyable. –Personnellement, j’ai du mal à imaginer cette femme saisir quelque chose avec gentillesse. – Étrangement, le nourrisson se tu instantanément.
« Je n’ai plus qu’un enfant, Andrew. Fais en sorte que…
Il y’eut un long silence. Monsieur Mc Lean avala sa salive, il n’était pas commun pour lui de montrer des signes de faiblesse devant quelqu’un, mais sa femme était bien la seule personne qui lui faisait en quelque sorte « peur ».
... Que l’autre disparaisse. »
Margaret lança un regard rempli de défit à son mari et tout en tenant fermement sa petite fille dans ses bras, elle marcha lentement vers la porte de sortie, ses talons claquant contre le parquet de la pièce. Monsieur Mc Lean resta un instant seul dans la pièce, la porte se referma petit à petit, plongeant ainsi l’homme dans la pénombre…
La plus totale.
Ø
Je dois dire que si on m’avait demandé de réduire à néant un de mes propres enfants, j’aurais simplement éclaté de rire. Comment faire une chose pareille ? C’est impensable ! Mais chez les Mc Lean, trahir les règles était un blasphème, une honte, une bêtise impardonnable. Tout ce que je peux vous certifié en tout cas, c’est que cette famille ne devait pas rire tout les jours. Madame Mc Lean avait jugé bon de faire disparaître son fils tout simplement pour ne pas subir les regards pleins de hontes des familles de sang pur. Les Mc Lean possédait selon eux un poids déjà assez lourd qui se nommait Cahir Mc Lean. Le petit frère de ce cher Andrew. Lui aussi, selon les grands parents Mc Lean, avait de véritables prédisposions pour la Magie Noire. Chose qui ne fut pas le cas, bien heureusement pour lui. Mais oh… Oh Nom d’une Bouse de Dragon, je parle, je parle, mais l’heure tourne ! Revenons en a notre récit (je vous averti encore que vous pouvez toujours arrêter de lire, il n’est pas encore trop tard). Nous n’aborderons pas tout de suite ce qu’il est avenu de Mark Mc Lean (l’enfant Gryffondor) je préfère plutôt parler de…
« Romy ! Romy viens vite dans le salon veux-tu ? Et plus vite que cela ! »
« Oui, mère ! »
Ah oui, un autre point important : les Mc Lean ne sont pas vraiment riches, mais ils font très snobs. Ainsi, Romy à le devoir de vouvoyer ses parents.
« Qui a t’il mère ? »
« Une lettre est arrivé pour toi, c’est Venus qui l’a. »
« Bien, je vais la lire, merci mère. »
Romy savait de quoi il s’agissait mais pour ne pas paraître immature devant sa chère maman, elle préféra garder une expression neutre. C’était Poudlard. La lettre d’admission. Je pense sincèrement que pour tout les apprentis sorciers, ce moment est un des plus appréciable dans leur vie magique, enfin c’est mon point de vue, quand j’ai reçu la mienne j’étais véritablement heureuse. Bref, Romy se dirigea donc d’un pas légèrement pressé vers le hibou noir des Mc Lean, ce cher Venus était d’ailleurs le volatile le plus froid que je n’ai jamais rencontré. La jeune fille, du haut de ses onze ans, saisit l’enveloppe et avant même de pouvoir l’ouvrir, une voix aigue retentit.
« Romyyyyyyyyyyyyyyy ? C’est tata Diane ! Ton cousin est venu avec moi ! »
La jeune fille lâcha un soupir puis rangea la lettre dans sa poche. Elle passa dans le couloir d’un pas assuré, croisant son regard dans le miroir. Si je me décidé à ne pas prendre en compte le caractère de cette infâme gamine, je dirais qu’elle est plutôt mignonne, à cette époque, Romy aimait beaucoup se faire une tresse sur le côté de sa tête, ce qui lui donnait un air plutôt décontracté comparé à son attitude. La sorcière continua son chemin jusqu’à arriver au salon, sa chère tante Diane Hamilton (nom de jeune fille de sa mère) lui bondit dessus. Cette femme n’était pas tellement au goût de Romy, celle-ci la trouvait trop excentrique, mais elle était passée à Serpentard et surtout, elle travaillait au Département des Mystères, alors, forcement, ça compensait.
« Romy chérie ! Je t’ai apporté un petit quelque chose, vu que Peter et moi passions vers l’Allée des Embrumes. Enfin ce sont ces imbéciles de Barjow et Beurk qui m’ont certifié que tu aimerais certainement lire ce livre… Je ne sais par contre pas pourquoi ils m’ont dit que tu ne le lirais qu’une seule et unique fois… »
La tante Diane jeta le bouquin dans les bras de la Demoiselle, celle-ci jeta un bref coup d’œil à l’ouvrage en fronçant un sourcil. « Le livre qui se lit les yeux fermés. » de Bartus Oeilenmoin. Si ça venait de Barjow et Beurk c’était sûrement mauvais à lire. Elle avait entendu parler d’un sorcier qui était condamné à parlé en vers toute sa vie suite à la lecture d’un livre de chez Barjow et Beurk. Quelqu’un sortie pourtant la petite de ses songes, et ce n’était personne d’autre que son père. Sa main osseuse se referma sur la petite épaule de Romy, celle-ci leva les yeux vers son patriarche qui la dévisageait déjà du regard. Andrew n’aimait pas la tante Diane, pourquoi ? Je ne le sais pas moi-même.
« Tu ne dis pas merci à ta tante, Romy ? »
Siffla Monsieur Mc Lean comme un serpent à l’oreille de sa fille. Ah oui… La politesse.
« Merci, ma tante. »
« Mais derien ! Oh mais ! Que vois-je qui dépasse de ta poche ? Ne serait-ce pas la lettre d’admission à l’école Poudlard ? »
« Ah euh… Oui, ma tante. »
« Peter à reçu la sienne aujourd’hui ! Je suis tellement fière. »
Peter ? Ah oui, son cousin. Le garçon sourit à Romy, mais celle-ci resta impassible. Margaret Mc Lean débarqua alors dans la pièce, serrant chaleureusement sa sœur dans les bras. Puis, sans dire un mot de plus, l’ancienne Serpentarde arracha la lettre des mains de la poche de sa fille.
« Tu aurais pu au moins avoir l’obligeance de l’ouvrir. »
« Pardon, mère. »
Margaret se dirigea alors d’un pas très élégant (comme à son habitude) vers le fauteuil vert émeraude de la pièce et ouvrit l’enveloppe avec délicatesse. Romy ressentit alors un pincement au cœur, elle aurait préfère l’ouvrir elle-même cette lettre, c’était symbolique. Madame Mc Lean prit une grande inspiration et commença à lire à haute voix…
« Chère Miss Mc Lean,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Miss Mc Lean, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall, Directrice adjointe »
Le regard d’Andrew se posa alors sur sa fille. Qu’allait-il se passé si Romy n’entrait pas a Serpentard comme prévu ? Mais la Demoiselle était bien déterminée à ne pas décevoir ses parents, surtout pas eux.
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| | | | Romy Mc Lean
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Jeu 9 Aoû - 11:35 | |
| Ø
Je dois vous féliciter d’avoir lu jusqu’à ce stade-là de mon récit. Je trouve cette famille assez insupportable et le fait de penser au sort de ce pauvre Mark Mc Lean me glace déjà le sang. Enfin, je préfère m’éloigner le plus possible de ce moment. Pour l’instant Romy vient à peine d’entrer à Poudlard, enfin là, elle est à bord du train de la voix 9 ¾ . Pour l’instant, la jeune femme est seule dans son wagon (il valait mieux, si un élève non-réparti se présentait, Romy ne pourrait pas savoir si la personne avait le droit ou non de s’asseoir avec elle.) La jeune femme fouilla dans sa poche et en sortie un papier correctement plié. C’était sa mère, à coup sur.
« Romy, je veux que tu respectes les consignes qui suivent :
1 – Tu te fais répartir à Serpentard.
2 – Tu évites tous les autres élèves n’étant pas réparti à Serpentard.
Enfin, tu connais les autres règles, mais celles-là sont les plus importantes.
À bientôt ma petite vipère,
Maman. »
Romy sourit légèrement en voyant le mot « Maman » à la fin de la lettre. C’était la première fois que sa mère signée ainsi. Enfin, la jeune femme fut quelque peu blessée de voir ces deux règles sur ce bout de papier, elle savait très bien comment fonctionner tout de même, elle était faite pour aller à Serpentard ! C’était sûr ! Et puis elle n’allait pas sympathiser avec des Bouffondors tout de même ! Seulement, Romy pardonné le côté « très pointilleux » de sa chère mère.
« Excuses moi, est-ce que c’est libre ici ? »
Les yeux verts de la jeune femme se jetèrent d’un coup vers la personne qui venait de parler. C’était un élève de son age, pas encore réparti, tout ce qu’il y’a de plus normal. Il était blond, les cheveux bien coiffés, des yeux bruns et un nez en trompette qui lui donnait un air sympathique. Romy trouva la question du garçon particulièrement abrutie, « est-ce que c’est libre, ici ? », ça ne se voyait pas ? Ou alors Miss Mc Lean était beaucoup trop grosse et remplissait les quatre sièges ? Avec une carrure d’allumette c’était un peu impossible. Une phrase du genre « Est-ce que je peux m’asseoir ici ? » aurait été plus du goût de la gamine. Cet élève perdait déjà un point.
« M’ouais. »
Lâcha froidement Romy. Le garçon rentra dans le wagon, un sourire éclatant sur son visage. La jeune femme fit mine de ne rien voir tellement elle trouvait cela stupide.
« Euh… Merci, c’est quoi ton nom ? »
« Romy Mc Lean. »
Dit-elle tout en rangeant le papier de sa mère dans sa poche. L’élève sembla quelque peu déboussolé, ce devait être la première fois qu’il devait tomber sur un cas social. Enfin, d’un côté, la petite Romy n’était pas si mécontente d’avoir de la compagnie, mais elle ne savait pas si ce garçon allait être réparti à Serpentard… Ou dans une autre maison. Il y’avait seulement une chance sur quatre et Miss Mc Lean ne préférait pas faire une erreur dés le début. Pour passé le temps, la petite trouva plus judicieux de lire le livre que sa tante lui avait offert il y’a plusieurs semaines. Vous savez, celui de chez Barjow et Beurk. Mais à peine la première page entamée, l’élève se mit une nouvelle fois a interpellé Romy.
« Je ne te conseille pas de le lire, mon Grand-père l’a lu et est devenu aveugle après l’avoir terminé. Il est ensorcelé. »
Je ne préfère même pas vous décrire la tête que notre héroïne tira à ce moment-là. Une expression de dégoût, comme quand vous mangez un Dragibus à la crotte de nez, ou comme quand vous êtes victime du sort « Crache Limace » (ce qui ne m’est heureusement, jamais arrivé) enfin bref, une sale expression, en gros. Romy referma donc l’ouvrage, et avec l’élégance et le charme Mc Lean, la gamine ouvrit la fenêtre du wagon et balança le livre par dessus. Ce garçon marquait un point.
« Merci, c’est quoi ton nom ? »
Il faut dire que Miss Mc Lean utilise le procédé de « l’échange équivalent » en gros : « Tu me sauves ? Je te parle. » Le garçon lâcha un petit rire face au geste de Romy, mais celle-ci resta comme toujours : impassible.
« Ah hum… Je m’appelle Gabriel Parker. »
Et ce fut tout. Gabriel compris de suite que la jeune Mc Lean n’était pas très bavarde et de ce fait, il ne préféra pas insister (brave garçon). Quand le Poudlard Express arriva enfin en gare, l’élève lui adressa juste un sourire très poli que Romy lui retourna… Quand il lui tourna le dos. Mais là n’est pas le plus important, l’apprentie Sorcière allait enfin découvrir son école, celle que toute sa famille avait fréquentée et qui était paraît-il, un endroit plus que beau. Effectivement, j’avoue que j’en ai pris plein la vue aussi, tout est bon pour impressionner de jeunes élèves hein ! La première impression de Romy quant elle passa la porte de la Grande Salle était qu’elle ne savait plus très bien où mettre la tête. Des choses scintillaient de partout, le plafond éblouissait son regard et surtout, il y’avait des tonnes et des tonnes d’élèves… Le Professeur Mc Gonagall (sa mère lui en avait longuement parlé comme étant une sorcière laide et pas assez rigide paraît-il) prit enfin la parole. Le Choixpeau Magique était là. La Sorcière resta un instant absorbé par ce drôle d’objet qui répartissait les élèves dans la maison qui leur correspondaient le plus. C’était donc ça, sa première épreuve ? Elle devait simplement enfiler un vulgaire Chapeau ? Ah ah… Un large sourire se dessina sur le visage de Romy, mais pas un sourire agréable, ni même craquant… Mais un sourire que l’on n’aime pas tellement voir, un sourire malsain.
« MC LEAN, ROMY ! »
Une pile d’élève était déjà passé à la trappe, toutes les maisons avaient déjà retentie de la bouche du Choixpeau et enfin, c’était à notre héroïne d’affronter ce vulgaire bout de tissus. Le silence se fit, Romy poussa des élèves qui étaient face à elle sans même prendre le temps de s’excuser : elle était polie avec sa famille, ça suffisait amplement. Je ne vous décrirais même pas la montée de stress dont vous êtes victime dès que vous commencez à marcher vers le Choixpeau, une centaine de paires d’oeils vous observent attentivement, vous détails, vous dénude. Romy était d’ailleurs très tendue quant elle atteignit l’estrade. Elle s’installa – toujours avec l’élégance naturelle des Mc Lean – sur le fauteuil et elle sentit d’un coup le Choixpeau sur sa tête…
Est t’il préférable de faire duré un peu le suspense ? Je pense que oui. Le lecteur veut toujours tout savoir d’un coup, mais il est important de le faire alléché. Vous voulez vraiment savoir ? Vous êtes impatient ? Personnellement, je ne suis pas pressée. Vous voulez une Bieraubeurre ? J’arrête ici les plaisanteries. Donc, la Grande Salle avait les yeux rivés sur notre héroïne, normal, car la répartition est un moment très important dans la vie d’un sorcier scolarisé à Poudlard. Romy sentit le Choixpeau sur sa petite tête, il lui grattait un peu le crâne… La jeune femme s’imagina tout de suite que ce chapeau ringard était infesté de poux. Oui, vu le nombre d’élèves l’ayant essayé… Enfin bon, il y’eut un bref moment de silence puis l’objet magique prit une grande inspiration.
« Mc Lean hein ? Combien de membres de ta famille sont passés par moi hein ? Ah ah… Bien, pendant un instant j’ai pensé à une autre maison que celle que j’ai en tête pour toi… Mais je vois que tu es très pressée d’aller à…
Silence. Comment ça il avait hésité ? Mais avec qu’elle maison ? C’était impossible ! Le cœur de la jeune femme battait à en rompre sa cage thoracique, elle priait, priait pour…
... SERPENTARD ! »
Un soupir de soulagement libéra Romy de tout le stress qu’elle venait d’accumuler en quelques secondes. Elle bénissait presque ce bout de tissus. La sorcière se leva, sous un tonnerre d’applaudissements - je vous jure qu’a ce moment-là vous avez toujours l’impression d’être « quelqu’un » - et partit rejoindre sa table en hâte. Elle avait l’impression d’être au paradis, des élèves lui serrait la main, lui posait des tonnes de question en tout genre auxquels bizarrement, Romy répondait avec joie. Ses parents allaient êtres les plus fiers du monde et c’était cela le plus important. D’autres élèves passaient par notre ami le Choixpeau, toutes les maisons retentissaient puis un nom retint l’attention de la jeune Mc Lean :
« PARKER, GABRIEL »
La gamine fronça un sourcil. C’était le garçon du train ! Oui, celui qui a le nez en trompette et qui a en quelque sorte « sauvé » les yeux de Romy. Le jeune homme marcha d’un pas tremblant vers l’estrade et le Choixpeau se posa sur sa tête. En quelques secondes, le Choixpeau hurla…
« GRYFFONDOR ! »
Des millions de frissons parcoururent le corps de la Demoiselle pendant que Parker se fait acclamé par les Rouges et Or. Elle avait déjà enfreint une règle. Elle avait dit « Merci » à ce Bouffondor mon Dieu mais qu’elle… Mais qu’elle horreur c’était pour elle ! Gabriel croisa le regard de Romy, celle-ci le dévisagea avec toute la haine possible et inimaginable.
Elle s’était déjà fait un ennemi.
Ø
Je tiens toujours à vous dire que vous pouvez toujours rebrousser chemin, il reste encore un long moment avant que tout n’empire. Enfin, vous faites comme vous voulez ! Si j’avais su ce qui allait se passer dans cette histoire, j’aurais immédiatement posé mes yeux ailleurs et j’aurais poursuivi mes activités. Seulement je suis beaucoup trop curieuse et la tentation d’en savoir plus sur cette Romy Mc Lean me démangeait trop… J’aurais dû écouter ma conscience… Bref ! Peux de temps après sa répartition, Mc Lean se fit en quelque sorte une réputation de « dure », malgré son très jeune age elle savait se faire respecter des élèves qui avaient deux ou trois ans de plus qu’elle mais je vous avoue que ses camarades de Quatrième, Cinquième, Sixième et Septième année n’étaient guère impressionner par ce petite bout de choux d’un mètre quarante. Mais ils l’aimaient bien, ils trouvaient tous qu’elle avait un caractère fort et beaucoup d’ambitions. Oh tiens… J’allais presque oublier un moment important dans la Première année de notre héroïne…
« Bien, tachez de me rapporter le devoir sur les Bulbes Sauteurs ou sinon vous aurez le plaisir de passer le reste du mois en retenue. »
« Aurevoir Professeur Rogue. » Dirent quelques voix en même temps.
Romy se leva de sa chaise, des amies de son dortoir la regardèrent avec un sourire malsain. C’était quoi le problème ? Ce n’était pas vraiment un problème à vrai dire mais plutôt…
« Tiens tiens… Parker. »
Mc Lean tourna la tête, une de ses camarades attrapa ce sale Bouffondor à la sortie du cours. C’était le moment où jamais de prouver aux autres qu’elle n’avait pas sa langue dans la poche. Romy regarda le Rouge et Or d’un air provocateur.
« Oh oh… On dirait qu’on est mal tombé, hein, Parker ? Tes sales Bouffondor d’amis t’on abandonné ? Je crois que tu n’aurais pas tellement du traîné le pas. »
Des rires féminins ne firent qu’un écho dans les couloirs des cachots. Romy se sentit à ce moment-là, très puissante. Gabriel,lui, devenait rouge écarlate, sa colère montée en flèche jusqu’à son cerveau. Il s’approcha de la Serpentarde, posant une main sur sa baguette soigneusement rangée dans la poche de son uniforme.
« J’aurais dû te laisser lire ce stupide bouquin, tu serais devenu aveugle Mc Lean. »
« Ouuuuuuuuuuh, j’ai peur Parker. Alors on a envie de se battre ? On prépare déjà sa main sur sa baguette ? »
Les rires ne retentissaient plus. Tout le monde devait sûrement prendre Romy pour une malade. Tout le monde savait que Gabriel Parker était un as en Sortilèges et Enchantements, tout le monde savait qu’il avait un niveau largement supérieur à celui des élèves de Première année. Mais Romy avait besoin d’un défi, elle avait besoin d’affronter son ennemi. Mais la folie qui l’emportait d’un coup la rendait sûrement beaucoup trop… Inconsciente. Là, mon cher lecteur, vous devriez sûrement prendre votre pied… Il y’a enfin de l’action.
« Bah alors, qu’est-ce que t’attends ? »
Les Serpentards se reculèrent, il ne restait plus que Gabriel et Romy, face à face. Le garçon tira la baguette de sa poche et la pointa droit sur la jeune femme. Celle-ci éclata de rire et imita le garçon. Il voulait ce battre hein ? Oh nom d’un Hipogriffe… Si seulement Romy savait ce qu’il lui attendait ! Elle n’aurait sans doute pas embêté ce brave Parker.
« Alors… Parker, on flippe ? »
« PETRIFICUS TOTALUS ! »
Le sort parti très vite, Gabriel était vraiment très rapide. Romy se sentit d’un coup toute « rigide » elle n’avait plus aucun contrôle sur ses jambes, sur ses bras, sur tout son corps... Elle se sentit donc basculée en arrière devant les yeux horrifiés de ses camarades. La Serpentarde se sentit humiliée, c’était la pire de toutes les sensations. Malheureusement pour Gabriel, il avait choisi le mauvais moment pour saucissonner notre héroïne. Une ombre apparu dans les cachots, celle-ci émanait tout droit de la salle de cours du Professeur Severus Rogue et comme vous auriez pu le deviner, c’était bien lui.
« Voyons, voyons, que se passe t’il ici ? Monsieur Parker… Est-ce bien vous qui êtes à l’origine de ce sortilège ? »
« Oui, Professeur. » Répondit-il, hésitant.
« Je me vois dans l’obligeance de vous coller une retenue et d’enlever 20 points à votre maison. Et je pense… Que le Professeur McGonagall voudra vous recevoir dans les jours qui viennent. Maintenant, retournez dans votre Salle Commune et ne vous vantez pas d’avoir pétrifié un élève de ma maison, Monsieur Parker. »
Rogue ne m’a jamais inspiré confiance, je n’étais pas une élève de sa maison, d’un côté, alors forcément… Severus jeta ses yeux sur le corps de Romy, à terre. Il sortit sa baguette et ne prononça même pas de formule. La Première année pouvez enfin bouger, elle se leva d’un bond, son regard rempli de colère. Elle tourna cependant la tête en direction du Directeur de sa maison, un sourire naquit alors sur ses lèvres roses.
« Merci, Professeur. »
« Quant à vous Miss Mc Lean, évitez de vous faire remarquer, une fois de plus. »
Silence.
La vengeance est un plat qui se mange froid.
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Mar 14 Aoû - 12:12 | |
| Domy > Je n’ai pas fini du tout : / j’en suis qu’a la seconde année de Romy, mais si tout ce passe bien je termine cette fiche aujourd’hui =). Ø
« Vous désirez quelque chose, les enfants ? »
Le bruit des roulements du chariot de friandises sortit notre chère Romy Mc Lean de son sommeil. Ses petits yeux s’ouvrir face à une fille de son dortoir avec qui elle avait passé l’année, une autre, puis une qu’elle ne connaissait pas. Les cheveux blonds de l’inconnue frappèrent le regard à moitié endormi de notre héroïne.
« Hey, Romy, tu te réveilles ? Tu veux quelque chose ? »
« Deux Fondants du Chaudron. »
La jeune femme chercha dans sa poche et sortie quelques mornilles, qu’elle ne prie même pas le temps de compter. La Serpentarde se frotta les yeux (vous auriez vu sa tête ! c’était à en faire peur mon ami) et reposa ceux-ci sur la fille qu’elle ne connaissait pas.
« J’peux savoir ce que tu fou là ? »
Ah notre Romy, qu’elle politesse, qu’elle délicatesse. C’est un véritable plaisir de l’avoir à ses côtés… N’est-ce pas cher lecteur ? Enfin, pour l’instant vous ne l’avez pas vu dans ses pires attitudes. Je préfère d’ailleurs que vous n’arriviez pas jusque là… Enfin bref, la jolie blonde redressa la tête pour observer Romy qui venait de lui lancer une réplique des plus sanglantes. Les grands yeux bleus de l’inconnue se noyèrent dans les iris verts pleins d’espoir de notre héroïne. Cette nana lui tenait tête hein ? Ca plaisait à Romy, d’avoir du caractère. Mais si personne n’arrêter ce petit jeu, Miss Mc Lean ne tarderait pas à se jeter de toute ses forces sur cette blondinette pour lui arracher les y…
« Romy, c’est une amie à moi, laisse la tranquille. »
La jeune femme jeta ses iris émeraudes sur sa camarade de chambrée.
« Elle n’a même pas encore de blason accroché à son uniforme et tu oses lui parler. »
« Elle ira à Serpentard, je le sais. On pari ? »
« Je ne parie pas avec ces choses-là. »
Si Romy était aussi tendue, c’était pour une seule et unique raison ce jour-là : Tania Mc Lean. Sa traîtresse de cousine qui était le fruit d’une union interdite. Un sorcier au sang si pur, et une pauvre moldue. Une Mc Lean était de sang-mêlé dans cette école. La jeune femme frissonna, sa mère l’avait avertie, elle devait ABSOLUMENT mener la vie dure à son andouille de cousine. Sauf si Tania se faisait répartir à Serpentard, ce que Romy ne croyait pas. Cette fille allait sans doute allé chez les Bouffondors, ou encore, chez ces incapables de Poufsouffles. La deuxième année entama ses Fondants du Chaudron tout en regardant la nouvelle venue dans sa « bande » avec tout le mépris possible. Si cette jolie blonde ne se faisait pas répartir à Serpentard, elle irait donner une leçon à sa camarade, il était hors de question que Romy transgresse les règles une seconde fois. Il fallait qu’elle soit une fille et une Serpentarde modèle... A chaque seconde.
Ø
Vous trouvez qu’il ne se passe pas grande chose de triste ? Vous vous trompez cher lecteur. À chaque ligne que vous lisez, vous vous rapprochez encore un peu plus d’une horreur incroyable. Je dois avouer que vous avez un certain cran. Mais vous regretterez sûrement d’avoir agi de la sorte… Passons ! Je ne vous laisse pas imaginer le stress qui envahissait notre jolie héroïne. Son ventre bouillonnait déjà de rage face à la maison dans laquelle sa stupide cousine Tania allait se faire répartir. Puis les portes de la Grande Salle s’ouvrirent sur le regard sévère de la Directrice Adjointe. Les nouveaux élèves suivaient, Romy cherchait Tania à l’aide de ses habituels yeux perçants. Mais comment reconnaître quelqu’un que l’on n’a jamais vu ? La Serpentarde se mordilla la lèvre inférieure, elle ne savait véritablement pas à quoi sa cousine ressemblait et c’était insoutenable pour elle de ne pas pouvoir la dévisager avant même qu’elle n’est le Choixpeau sur la tête. De ce fait, la seconde année dirigea son regard vers la fille du train (oui, la blonde), celle-ci papotait avec une fille brune et assez petite. McGonagall monta sur l’estrade, et après un long blabla qui sembla interminable à notre héroïne, le Professeur commença à appeler des noms.
Long. Voilà le seul mot qui venait en tête à Romy et plus précisément : horriblement long. Mais y’en avait combien des élèves dont leur noms de famille commençait pas « A » ou « B » ? C’était fait exprès hein ? Romy tapota la table à l’aide de ses doigts, c’est tout ce qu’elle trouva d’intéressant à faire dans un moment pareil.
« CARTWRIGHT, MIA »
La petite brune avec laquelle la fille du train papotait se dirigea vers le Choixpeau. Miss Mc Lean fronça un sourcil, elle était à son grand étonnement impatiente de voir si cette élève allait rejoindre les bancs vert et argent.
« SERPENTARD ! »
Bingo ! Romy applaudit doucement et écarta un élève pour que Mia puisse s’asseoir à côté d’elle. Miss Mc Lean fit signe à la nouvelle venue en lui indiquant la place. La petite s’installa et fut d’un coup inondé par des tas de questions : c’est ce que je vous disait un peu plus haut, vous avez véritablement l’impression d’être « quelqu’un » quand tout le monde vous félicites, vous applaudis et vous parle sans arrêt jusqu’au prochain élève se faisant répartir chez les Serpents. Romy fit un sourire radieux à Mia, tout en lui caressant gentiment les cheveux quelques secondes, c’était rare de voir la jeune Irlandaise dans un état de douceur aussi extrême, mais Romy aimait bien la petite Cartwright, elle se voyait en elle comme dans un miroir sur certains points.
« HARCHER, AMBRE »
La Serpentarde tourna la tête et su enfin quel nom donné à la fille du train de tout à l’heure. Harcher ? La mère de Romy avait parlé pendant un instant de cette famille à sa fille comme étant « une famille calme, posée et naturelle ». Voyons voir si Ambre allait prendre une place dans la vie de notre héroïne en tant qu’amie… Ou en tant qu’ennemie.
« Hum… Hum… Harcher ? Je pense que tu te plairas à… SERPENTARD ! »
Miss Mc Lean eu exactement la même réaction qu’a la répartition de Mia. Sauf que là, elle ne poussa personne, elle savait pertinemment qu’Ambre allait s’asseoir d’elle-même aux côtés de la jeune Cartwright. Romy parla un moment avec les deux nouvelles venues, toutes les maisons résonnaient dans la Grande Salle, des cris de joie retentissaient à chaque verdict du Choixpeau jusqu’à-ce que…
« MC LEAN, TANIA »
Le cœur de Romy se stoppa net. Tous les Serpentards se tournèrent vers la Deuxième année. Celle-ci n’entendait plus rien, elle resta figée sur la jeune fille aux cheveux ébène, tombant en cascade sur ses épaules. Tania avança, sous le regard figé de sa cousine. Celle-ci serrait désespérément la main d’une de ses camarades, qui ne préféra pas broncher, étant au courant de la situation. Seulement… Comme vous pourrez l’imaginer, il n’y avait pas beaucoup d’élèves au courant de cette « affaire » et donc, je vous laisse imaginer la surprise qui hantait la table des Serpentards.
« C’est ta sœur, Mc Lean ? »
Balança une voix au fond de la table, rompant le silence qui envoûté Romy. Celle-ci ne dit rien, elle était comme paralysée, son ventre bouillonnait, son cœur battait si fort qu’il en rompait presque sa cage thoracique. Tania monta sur l’estrade, Romy commença à respirer fort, elle ne trouvait plus d’air. Tania s’assit sur la chaise, Romy se redressa pour mieux voir tout en tenant toujours la main de son amie. Puis le Choixpeau se posa lentement sur la tête de la jeune Mc Lean.
La Serpentarde avait beaucoup de mal à respirer… Beaucoup trop de mal. Il fallait qu’elle sache et TOUT DE SUITE !
« Tania… Les origines de ta famille ne colle pas du tout avec ton caractère, c’est bien la troisième fois que je tombe sur un cas comme toi chez les Mc Lean, mais passons… Je crois bien que tu trouveras ta place à….
De l’air, vite, de l’air.
… SERDAIGLE ! »
Romy étouffa sous un tonnerre d’applaudissements provenant de la table des érudits, elle n’aurait vraiment pas du boire ce verre d’eau en même temps que le verdict. Ses amies se précipitèrent pour taper dans le dos à notre héroïne. Celle-ci s’arrêta au bout de quelques secondes, faisant des signes avec les mains pour dire à ses camarades d’aller s’asseoir. Ce n’était pas seulement le fait que Tania aille à Serdaigle qui avait provoqué l’étouffement de Romy… Mais bien une autre parole du Choixpeau Magique…
« C’est bien la troisième fois que je tombe sur un cas comme toi chez les Mc Lean. »
« C’est bien la troisième fois que je tombe sur un cas comme toi chez les Mc Lean. »
« C’est bien la troisième fois que je tombe sur un cas comme toi chez les Mc Lean. »
« C’est bien la troisième fois que je tombe sur un cas comme toi chez les Mc Lean. »
Comment ça ? La Troisième fois ?
Ø
Bon, récapitulons. Nombre de personne n’étant pas passé par Serpentard dans la famille Mc Lean et étant considéré comme des traîtres : DEUX. Cahir et Tania Mc Lean. C’est tout, non ? Mais pourquoi le Choixpeau en a cité trois ? C’est impossible ! Romy tournait et tournait en rond dans sa chambre, donnant le tournis au nouvel animal domestique que sa mère venait de lui acheter sur le Chemin de Traverse : un adorable chaton noir aux yeux aussi verts que sa maîtresse. Celle-ci l’avait d’ailleurs appelé Emerald. Romy s’affala sur son lit, fixant le mur quand soudain…
« Romy, je vais juste prendre le thé avec Narcissa Malefoy, j’en ai pour quelques heures, ton père risque de rentrer dans pas longtemps, tache de ne pas mettre la maison en dessus dessous ! »
Sa mère. Je dois vous dire que Romy est aussi maniaque que cette chère Margaret, c’était donc impensable que notre héroïne ne mette ne serait-ce qu’une seule chose en désordre (enfin, pour l'instan). Mais Miss Mc Lean n’en voulait pas à sa chère maman, elle était beaucoup trop pointilleuse, tout simplement.
« Oui, mère. »
Margaret disparue dans l’ombre du couloir, ses pas résonnèrent dans les escaliers en marbre de la maison, puis la porte d’entrée claqua. Romy prit son chaton dans les bras et se dirigea doucement vers la fenêtre, elle regarda à travers les carreaux sa gracieuse mère disparaître. Elle allait sûrement transplaner un peu plus loin. La neige tombée en masse en cette veille de noël à Belfast… Et il ne fallait pas perdre le temps à rêver Romy Charlyn Mc Lean ! Celle-ci secoua la tête, sa conscience venait de la réveiller en plein songe. Il fallait que notre héroïne mène sa petite enquête sur le mystère de cette troisième personne qu’avait évoqué le Choixpeau, et après des mois de réflexion la seule solution qui venait à l’esprit de la Serpentarde était…
Le grenier. Oui, le grenier. Romy n’a jamais pu y rentrer depuis son plus jeune age, sa mère trouvant toujours une excuse pour qu’elle ne s’en approche pas. La porte de ce lieu est sans arrêt fermée, mais notre héroïne possédait un objet superbe : une baguette magique. Bien sûr, il est interdit aux élèves de Premier cycle d’utiliser la magie en dehors de Poudlard, mais tout de même, pour un simple…
« Alohomora ! »
Le cadenas de la porte vola en éclats sous les yeux ébahis de la seconde année. Une montée d’adrénaline prit Romy jusqu’à la gorge. Si ce lieu lui était interdit, c’est sûrement parce que ses parents lui cachaient quelque chose. Il fallait qu’elle se dépêche, son père ne tarderait pas à rentrer. Miss Mc Lean jeta son chat (qui retomba bien évidemment sur ses pattes) et il partit se réfugier dans la chambre de sa maîtresse. Bon, l’Irlandaise avait véritablement besoin d’un autre sortilège pour avancer là-dedans… Personne ne dirait rien pour un simple :
« Lumos ! »
Une lumière vive jaillit de la baguette de la gamine, éblouissant ses yeux émeraude. Et enfin… La pièce se dessina devant Romy. Celle-ci ne pu s’empêcher de sourire discrètement. Des cartons, des meubles, des objets, de tout ! Alors c’est cela que Monsieur et Madame Mc Lean voulaient par dessus tout caché ? Des vieilleries entassaient les unes sur les autres ? Bon, notre héroïne devait dés à présent chercher un quelconque indice là-dedans. Tout d’abord, la jeune fille commença pour fouiller tout les cartons, sans exceptions, elle tombé sur des photos d’elle-même bébé, ou de ses parents, de sa famille, des amis… Des vieux bouquins appartenant à Margaret et à Andrew à l’époque où ils étaient à Poudlard etc. Romy fouilla, fouilla et fouilla encore, tout les cartons sans exceptions, tout, tout, tout. Au bout d’une heure et demie, la Demoiselle commença à lâcher prise et puis son père allait sans doute débarquer d’une minute à l’autre et elle n’avait pas envie de se faire passer un super méga gigantesque savon par son patriarche. De ce fait, notre héroïne se recula tranquillement mais (oui, parce que dans des moments pareils il y’a toujours un « mais ») elle sentit quelque chose sous son pied et tout alla très vite à cette seconde même
« MIAAAAAAAOU »
« AAAAAAAAAAH »
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| | | | Romy Mc Lean
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Mar 14 Aoû - 17:27 | |
| Badaboum. Des cartons se renversèrent, Romy s’étala de tout son long contre le sol poussiéreux du grenier, faisant au passage tombée une statue en je ne sais quel matériau, entraînant dans son passage une pile de cartons qui s’ouvrirent tous pour laisser des tonnes et des tonnes de papiers s’éparpillés sur le sol. Romy se sentait totalement STUPIDE à cette seconde précise, mais qu’elle idiote aussi ! Tous ça parce qu’elle venait de marcher sur la queue de ce stupide félin ! Il aurait dû rester dans la chambre de Romy, un point c’est tout ! Oh et puis quelques chose lui faisait horriblement mal au dos… La petite se redressa délicatement et saisit la chose sur laquelle elle avait atterri… Une boîte, une boîte toute noire. De taille moyenne et assez fine. Elle était assez jolie mais malheureusement, Romy l’avait légèrement fendue en tombant dessus. Comment avait-elle pu ne pas voir cette boîte ? Qu’importe, le plus important était de savoir si ce qu’il y’avait à l’intérieur était intéressant ou non. - Quant au bordel que notre héroïne venait de faire, je croise simplement les doigts pour qu’elle soit assez douée pour jeter le sortilège « Reparo » - Miss Mc Lean pointa sa baguette sur l’objet qu’elle venait de trouver, pour éclairer l’ouverture. Romy saisit le petit clapet en or qui permettait d’ouvrir la boîte et souleva le couvercle de celle-ci.
C’est à ce moment-là que je préfère faire encore duré le suspense. Vous en pensez quoi vous ? Qu’elle va tout savoir sur son fameux frère caché ? Que tout est dans cette boîte ? Vous pensez sincèrement que c’est aussi simple que ça ? Vous vous trompez sur toute la ligne mon cher lecteur. Et non ce ne peut pas être aussi simple que cela, sinon l’histoire de Romy Charlyn Mc Lean serait d’un ennui affolant (à moins que vous soyez déjà endormi sur votre chaise d’ordinateur ou même que vous ayez déjà totalement changer de topic, ce que je vous ai conseiller de faire, certes) enfin bon… Trèves de plaisanterie, pour les impatients, je continue mon histoire…
« Par la barbe de Salazar ! »
Romy n’en croyait pas ses yeux. Elle venait de sortir de la boîte une bague avec le sceau si prestigieux des Mc Lean, que la jeune Sorcière avait reçu à son entrée à Poudlard. Pour cette famille, c’était tout à fait normal de recevoir ce présent une fois à l’école de Sorcellerie, ça signifiait qu’on était réellement un Mc Lean. Mais ce que Romy ne comprenait pas était que tout les membres de sa famille en possédait une (à part Tania et Cahir, bien entendu) et que personne ne l’enlevait jamais. La jeune fille approcha un peu plus sa baguette pour essayer de lire le nom gravé à l’intérieur de l’anneau en argent - oui, sur celle de notre héroïne est gravé « Romy Charlyn Mc Lean » par conséquent - elle regarda attentivement, elle lu ce qu’il y était écrit, une fois, deux fois, trois fois… Des dizaines de fois. Comment était-ce possible ? Elle ne connaissait aucun membre de sa famille se nommant ainsi et puis… Et puis… Cette photo ! Sous la bague, au fond de la boîte, se trouver une vieille photo où un garçon d’environ quatre ans se tenait droit et bien peigné aux côtés de... Margaret et Andrew Mc Lean, les propres parents de Romy ! Mais... Nom d'une bouse de dragon, qu’est-ce que tout cela voulait dire ? Et puis, qui était ce…
Mark Mc Lean ?
Ø
« … Mon père est rentré cinq minutes chrono après que j’ai envoyé des « Reparo » dans tout le grenier. »
« Woua… Et t’en sais plus sur ce Mark Mc Lean ? »
« Non, je ne sais rien sur lui, rien de rien. »
« Tu as la bague ? »
« Oui, regarde. »
Janvier. Romy avait enfin eu le cran de parler de cette mésaventure dans le grenier. Mais pas à n’importe qui, à Ambre Harcher. La jeune fille était aux yeux de la deuxième année, une véritable amie. Romy savait qu’elle pouvait compter sur elle et c’est pour cette raison qu’elle avait choisie de tout lui raconter à elle et seulement à elle. Miss Harcher observa attentivement la bague, lisant bien le nom gravé à l’intérieur de l’anneau.
« C’est peut-être un membre de ta famille qui est mort et dont tu ignores totalement l’existence. »
Miss Mc Lean se mordilla la lèvre inférieure. Ambre avait peut-être raison, que signifiait ce garçon aux côtés de ses parents ? Mystère. Les deux jeunes filles avançaient paisiblement dans le couloir désert du Premier étage quand une ombre fit son apparition dans le décor sombre de cette fin d’après-midi. Romy sentit son cœur battre à une allure incroyable, son poing se serra instinctivement, c’était Tania.
« Ambre, chuchota la Demoiselle, rejoins-moi dans la Salle Commune. »
La petite blonde comprenait tout à fait pourquoi son amie lui demandait ceci. Il fallait que les deux cousines se retrouvent seules. Tania passa à côté de Romy, continuant son chemin, comme-ci de rien n'était. La Serpentarde se retourna et regarda la Serdaigle s’éloignée de quelques mètres et prit enfin la parole :
« HEY, Tania ! On snob sa propre cousine ? »
La première année fit volte face et regarda Romy d’un air assassin.
« Tu crois sincèrement que j’allais m’attarder sur… Toi, Romy ? »
« ÉCOUTES MOI ! »
Le ton de la jeune fille était à présent beaucoup plus haut, elle se mit à accéléré le pas vers sa cousine et la regarda pendant quelques secondes en la dénudant presque. Romy se sentait cent fois plus supérieure que cette pauvre Serdaigle qui était une traîtresse à son sang.
« Ecoutes-moi espèce de… Arg épargnons les insultes ! Je veux que tu me dises la vérité d’accord, est-ce que tu connais un Mark Mc Lean ? Et je veux la réponse tout de suite parce que je ne veux pas respirer une seconde de plus le même air que toi. »
Tania sembla surprise, elle fronça les sourcils et lâcha un petit rire moqueur.
« Tu sais, je ne connais aucun membre de TA stupide famille, il y’a simplement mes parents et mon frère pour moi, vous, vous ne comptez absolument pas dans mon cœur, alors ton stupide Mark je ne le connais pas. Compris ? »
« Comment ça un frère ? »
Un frère ? Ca voulait dire que Romy avait un autre cousin ? C’était peut-être lui le troisième traître non ? Mais pourtant il n’y avait que Tania et elle qui étaient des Mc Lean dans ce château. Et pourquoi est-ce qu’elle n’était pas au courant de l’existence de ce garçon ? Silence.
La Serdaigle sembla offensée.
« Oui j’ai un frère, Romy, il s’appelle Aaron et c'est un... C'est un cracmol... Au moins, il ne viendra pas souiller le sang de votre abrutie de famille ici ! »
« Dommage que tu ne sois pas cracmol toi aussi. »
La Première année partie à ce moment-là en courant, laissant Romy baignée dans l’incompréhension la plus totale et dans un mystère, de plus en plus pesant.
Ø
« Malefoy ? »
Ah… La troisième année. Je ne sais pas pourquoi mais à l’époque j’étais vraiment la plus heureuse de toutes les élèves pendant cette année-là. Allez savoir ! On m’a souvent dit que j’étais quelqu’un de « Bizarre » ou même d'« Etrange ». C’est l’année pendant laquelle je me suis le plus amusée, tout simplement parce que je prenais véritablement du plaisir à partir en direction de cette très chère école de Sorcellerie. Je crois que ce fut aussi le cas de Romy Charlyn Mc Lean… Enfin, j’ai du mal à cerner cette gosse mais je dirais qu’elle à été disons hum… Un peu plus « gentille » avec les autres élèves, enfin, vraiment un tout petit peu plus.
« Mc Lean ? »
Le train venait à peine de démarrer. La jeune fille avait tellement entendu parler de ce fameux « parfait blondinet » auprès de sa chère mère qu’elle n’avait pas besoin de photo ou n’importe quoi d’autres. Et puis ce garçon ressembler affreusement à ses parents (que Romy avait déjà vu en vrai, eux). Alors c’était lui le petit sang pur que Narcissa et Lucius chérissaient tant ? La Serpentarde sourit, elle tendit une main moite au jeune homme pour lui serré la main. Elle n’avait pas besoin de prendre ses gardes avec ce garçon, c’était SUR et CERTAIN qu’il se ferait répartir à Serpentard.
« Je suis heureuse de faire enfin ta connaissance, ma mère m’a beaucoup parler de toi. »
« Idem. »
Ce garçon possédait le mépris naturel de son père et l’élégance raffiné de sa mère. En clair, il avait véritablement pris du bon des deux côtés, selon notre héroïne. La famille Malefoy était bien la seule famille pour laquelle Romy avait du respect (sans compter les Black et les Lestranges, bien entendu). Mc Lean ouvrit la porte du Wagon dans lequel elle avait décidé de voyagé et s’assit aux côtés de deux garçons inconnu (à en juger par le regard de Drago, celui-ci les connaissait).
« Mc Lean, je te présente Crabbe et Goyle. »
Deux répugnants garçons se tenaient en face de Romy qui se tenait quant à elle, droite comme un pic et parfaitement coiffée. Ces deux nouveaux étaient bouboules et en plus… Très mal peigné. La Demoiselle laissa une expression de dégoût dégager de son visage.
« Ahem… Enchantée. »
Les quatre « amis » se mirent à parler pendant tout le trajet de ceci, de cela, entamant surtout le sujet du « sang pur » qui était très important pour Malefoy et Mc Lean, bien entendu. Quand ils arrivèrent enfin à bon port, Romy laissa les trois nouveaux ensemble et rejoint ses amies sur le chemin menant à Poudlard. Dans le carrosse traîné par les Sombrals (que notre héroïne ne voyait pas) se trouvait Ambre, Mia, deux filles du dortoir de Romy et… Et une personne qu’elle ne connaissait pas. Une rousse. Comme vous avez pu le constater auparavant, la troisième année n’aime pas forcément voyager avec des inconnus, surtout quand on ne lui présente pas.
« Personne ne me présente ? »
Siffla t’elle comme un serpent à l’adresse de ses camarades (sans visé personne en particulier, bien sûr).
« Ah euh, pardon, dit une de ses amies avec un sourire, je te présente December Coates, elle est en deuxième année. December, je te présente Romy Mc Lean, une amie. »
« Enchantée de te connaître, Coates. »
Le ton de la voix de Romy était drôlement calme et gentil. Tout les yeux – hormis ceux de December – se braquèrent sur elle comme-ci elle venait de faire une grosse bourde. Mais en vérité, c’était seulement sa façon de répondre qui avait étonné. D’habitude l’Irlandaise n’était pas aussi polie au premier abord. Et puis en plus… Elle souriait.
« De même, Mc Lean. »
Etait-ce le début d’une bonne amitié ? En tout cas, Romy n’en doutait pas une seule seconde.
Dernière édition par le Mer 15 Aoû - 12:39, édité 1 fois | |
| | | | Romy Mc Lean
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Mer 15 Aoû - 12:39 | |
| Ø
Puis la répartition passa, (inutile de préciser que Malefoy s’est, bien entendu, fait répartir à Serpentard illico presto, oh et ce fameux Harry Potter qui s'était fait répartir à Gryffondor... Remarquez, Romy s'en fichait pas mal) et même l’année passa vite. Romy sembla plus calme, plus travailleuse cette année-là, elle n’arrêta cependant pas de « faire chier le monde » ou plus précisément ceux qui n’étaient des verts et argents. La Quatrième année, quant à elle, débuta plutôt bien, pour notre héroïne, enfin…
« HEY ! PARKER ! VIENT UN PEU PAR LA ! »
Comment résister ? Romy était aux côtés de ses plus fidèles amies face à son ennemi, tout seul dans un des nombreux couloirs de l’école. Vraiment, beaucoup trop tentant. Mc Lean se rapprocha doucement du Bouffondor, tenant d’ores et déjà une main sur sa baguette, prête à passer à l’attaque à tout moment.
« Tu ne te souviens pas, d’un fameux jour où j’ai terminé en saucisson ? »
« Oh si, je m’en souviens, répliqua le jeune homme de suite, tu étais beaucoup mieux au sol et to-ta-le-ment paralysée. »
Romy lâcha un rictus rempli de mépris.
« C’était il y’a trois ans, trois longues années. Comment j’ai pu laisser un imbécile comme toi passé à mes côtés sans te ridiculiser ? Je crois que le bon moment est venu. Voyons voir de quoi tu es capable à présent… »
« Ah ah… C’est moi qui t’ai totalement ridiculisée il y’a trois ans. Ca ne t’as pas suffit ? Tu en veux encore à ce que je vois ! »
« En garde, imbécile ! »
La Serpentarde sortie sa baguette et la pointa droit sur le visage du Gryffondor. Silence. Il y’eut un énorme silence. Les amies de Romy tenaient toutes leurs baguettes bien fermement dans leurs mains (sûrement pour éviter qu’un accident comme celui d’il y’a trois ans se reproduise). Ce silence ne finissait pas, personne n’osait dire un mot et personne ne bougeait. Seuls les respirations des deux élèves face à face étaient audible. Le cœur de Romy s’accéléra, elle avait peur, véritablement peur à ce moment-là. Elle était assez poule mouillée dans son genre, alors se la jouée à la Bouffondor pour elle ce n’était pas véritablement un succès, surtout quand votre adversaire est un génie en Sortilèges. Mais il fallait que Miss Mc Lean se reprenne en main et qu’elle ridiculise une bonne fois POUR TOUTE ce garçon. La vengeance est un plat qui se mange froid, Mc Lean ! Alors un peu de courage !
« LOCOMOTOR MORTIS ! »
A ce moment précis, ce n’était pas le fait d’avoir réussit ou non le sort qui remplie Romy d’une immense joie, mais c’était seulement le fait de l’avoir enfin « fait », oui elle l’avait fait ! Elle avait lancé un sort contre son propre ennemi avec une précision incroyable ! La jeune femme retint sa respiration et dans un silence de mort, le corps de Gabriel Parker s’effondra sur le sol.
« Je suis gentille, Parker, je ne t’ai pas to-ta-le-ment paralysée. »
Romy se mit à rire, suivit en écho par ses camarades.
« EXPELLIARMUS ! »
Miss Mc Lean se pencha à l’oreille de son ennemi, délicatement, puis ramassa la baguette qu’elle venait de faire voltiger d’entre les mains du garçon. Romy se sentait si puissante… Si grande, si indestructible.
« Je crois que tu n’auras plus besoin de ça… Parker. »
« NON ! »
Cria t’il pendant que notre infâme héroïne cassa en deux sa baguette magique.
« Simple question de précaution. Oh… Et j’espère qu’un de tes amis Bouffondors va te venir en aide, pauvre chou.»
La jeune femme se mit une nouvelle fois à rire, puis elle rejoins d’un pas assuré ses camarades, qui la félicitèrent à l’aide d’hurlements de joies. Romy respira un grand coup puis elle se tourna vers ses amies avec un énorme sourire.
« Où es December ? Faut que je lui raconte. »
« Elle doit sûrement être dans la Salle Commune, Romy. »
« Merci, Meredith ! »
Il en avait fallut de peux pour que December Coates devienne comme une sœur aux yeux de l’adolescente. Celle-ci se mit d’ailleurs à courir jusqu’aux cachots, pour TOUT dire à l’une de ses meilleures amies. C’était véritablement important pour elle que Coates soit au courant de ce qu’elle venait de faire, d’ailleurs toute l’école devait être au courant au plus vite ! Enfin, December en premier (ça on avait compris) puis après Ambre, puis Drago, puis Mia, puis Crabbe, puis Goyle, puis même Sarah Robins, une fille qu’elle avait rencontrée il y’a quelques jours dans la Bibliothèque et qui était de deux ans sa cadette. Romy explosait totalement de joie d’avoir « terrassé » son pire ennemi mais… (oui, il y’a bien un mais à ce moment-là)
« DECEMBER ! DECEMBER ! »
Hurla Romy dans la Salle Commune. Tout les yeux se braquèrent sur elle et la jolie rousse se leva d’un bon pour prendre la jeune femme dans ses bras.
« Quoi, t’es déjà au courant ? »
« Bah oui… Romy, je suis vraiment désolée. »
Hein ? Attendez, c’est quoi ce délire ?
« Vraiment désolée ? Tu plaisantes ? »
« Je ne sais vraiment pas quoi dire dans un cas pareil, excuse moi. »
« Mais… Mais de quoi tu parles ? »
December se retira de l’étreinte de Miss Mc Lean et lui lança un regard étrange, trop étrange. Romy sentit que quelque chose n’allait pas. Mais quoi ? La Quatrième année se mordilla la lèvre inférieure, la Gazette du Sorcier était étalée sur une des tables de la Salle Commune des Serpentards. Un nom retint l’attention de notre héroïne sur la première page… Mais ce n’était pas n’importe quel nom, c’était SON nom.
« Mais… Qu’est-ce que… ? »
Romy s’approcha du journal et le saisit avec son élégance naturelle. La jeune femme avait peur, peur de regarder… Mais elle devait.
MARK MC LEAN, JEUNE SORCIER DE 23 ANS TRAVAILLANT POUR LE DEPARTEMENT DES MYSTERES A DISPARU HIER SOIR.
Mark ? Mark Mc Lean ? Le même nom que sur la bague ? Une photo illustrait l’article : un jeune homme maigre aux cheveux très courts et habillé d’un costume noir, souriait paisiblement. Non… C’était une blague ? Mais… Il ressemblait étrangement à Romy : ce même air tragique et ses petits yeux perçants. La Serpentarde se sentit d’un coup vraiment très mal, elle ne trouvait vraiment pas d’air… Vraiment pas. Elle attrapa la main de December et la serra de toutes ses forces, elle ne pouvait plus rien faire, elle ne savait plus quoi faire, mais qu’est-ce que tout cela voulait dire ? De l’oxygène, vite !
« De…Decem…December…Je… Je me sens… Je me sens pas… Pas très… Pas très bien. »
Tout devenait trouble, elle avait chaud, trop chaud. Romy continuait de s’accrocher comme elle pouvait à la main de son amie, mais rien n’y faisait… Elle tomba de tout son long sur le tapis vert de la Salle commune, entraînant dans sa chute le journal qui s’éparpilla partout dans la pièce…
Ø
Cher lecteur, c’est à partir de ce moment-là que je vous met vraiment en garde. C’est ici que vous devriez véritablement vous en aller, c’est à partir de maintenant que les choses empires ! Mais je suppose que vous ne vous arrêterez pas là… Moi, personnellement ça fait un bon bout de temps que j’aurais poser mes yeux ailleurs. Enfin, ça prouve que vous avez du courage, vous, au moins…
« Romy ? »
« Romy ? »
« Romy ? »
« Romy ? »
Notre héroïne ouvra à peine les yeux et fut agressée en quelques secondes par la couleur rousse vive des cheveux de December Coates. Romy avait mal à la tête, c’était horrible. Quand les paupières de la jeune femme furent totalement ouvertes, elle observa le paysage qui l’entourait et fut surprise de voir qu’elle était à l’infirmerie. Enfin, surprise, c’est un bien grand mot. Elle avait fait un malaise, c’était donc logique qu’elle se retrouve en ces lieux. La jolie rousse s’approcha de son amie avec un sourire.
« Tu t’es évanouie… Seulement quelques minutes. »
Romy se redressa un peu et s’assit en tailleur dans son lit. Elle se frotta les yeux puis observa les gens qu’il y avait autour d’elle. À vrai dire pas des masses, il y’avait December (comme vous avez pu le comprendre) Mia Cartwright, Ambre Harcher et Sarah Robins. Robins ? Mais qu’est-ce qu’elle fichait ici ? Bizarrement, la Quatrième année fut touchée de voir la blondinette à son chevet.
« Ça me fait plaisir de te voir, Sarah. »
Dit-elle dans un souffle avant de voir débarquer Madame Pomfresh qui lui tendit un verre de « je ne sais quoi ». Romy le prit dans sa main et regarda le liquide bleu avec un certain dégoût. L’infirmière secoua la tête avec énervement.
« Vous pouvez boire, Mc Lean ! Je ne vais pas vous empoisonnez ! Justement, ça vous requinquera ! »
« J’ai du mal à vous croire, Madame. »
Enfin, s’il fallait le faire… La Demoiselle posa le verre à ses lèvres et but d’une traite cette drôle de mixture bleue. Ca passait incroyablement mal dans la gorge, si bien que Romy se mit à tousser de toutes ses forces. December lui tapa dans le dos avec un air rempli de dégoût. Miss Mc Lean arrêta de « s’étouffer » et regarda Madame Pomfresh avec un regard qui en disait long sur ses impressions. L’adulte se contenta de lever les yeux au ciel puis elle partie s’occuper d’un autre élève dans un mauvais état.
« Tu vas mieux ? » Demanda December avec une pointe d’inquiétude dans la voix.
« Oui… Mais il faut que j’aille à Belfast le plus vite possible. »
« Les vacances de Noël sont dans trois jours, tu peux bien attendre encore un peu ? »
« Oui… Oui, c’est sûr. »
« C’est ton frère Mark Mc Lean ? »
Sarah Robins. La jolie blonde venait de parler et de poser la question que Romy redoutait le plus. Le premier réflexe de la Sorcière fut de regarder son amie Ambre avec des yeux légèrement humides. Qu’est-ce qu’elle pouvait dire ? Qu’est-ce qu’elle pouvait dire à ses amies ? Même Miss Mc Lean ignorait qui était réellement ce Mark Mc Lean. Et c’était ça, le plus affolant, c’était ça, le pire. Romy tourna la tête et regarda les gouttes de pluie glissant sur les vitres de la fenêtre. Que dire ? Que faire ? Il fallait que la Serpentarde trouve une solution et vite, très vite. Elle ne pouvait pas rester dans un tel mystère. Là tout de suite, notre héroïne ne voyait qu’une seule et unique personne qui pouvait l’aider dans sa recherche, c’était désespérant et Romy n’aurait jamais cru penser à cela, mais la seule échappatoire s’appelait…
« On peut dire ça comme ça. »
… Andrew Mc Lean.
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| | | | Romy Mc Lean
7ème Année à Serpentard (BI)
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Mer 15 Aoû - 17:11 | |
| Ø
« Père, je vous en supplie, rentrez vite… »
Comme tous les ans, à la veille de Noël, Margaret Mc Lean était partie prendre le thé avec sa chère amie Narcissa dans le manoir des Malefoy. La sorcière avait même proposé à sa fille de venir avec elle pour passer un moment avec le fils de Narcissa et Lucius, Drago Malefoy. Mais même si Romy appréciait énormément ce garçon, elle avait dû refuser simplement pour pouvoir se retrouvée seule avec son père un moment. C’était le seul moment de l’année où la Serpentarde pouvait parler avec Andrew sans risquer que sa mère n’entende quoi que soi. Voilà maintenant deux heures que notre héroïne attendait, allongée de tout son long sur le lit en baldaquin de sa chambre, jouant avec son cher Emerald. Puis enfin…
« Romy ? »
La jeune femme bondit de son lit et descendit les escaliers en hâte. Monsieur Mc Lean paru surpris, il regarda sa fille de la tête au pied en fronçant un sourcil. Ce n’était pas normal que la Serpentarde se précipite aussi vite à l’arrivée de son père.
« Tu as… Quelque chose à me demander ? »
L’adolescente avala sa salive. Elle n’allait tout de même pas poser sa question maintenant, tout de suite ! Pourtant ce n’était pas aussi compliqué de dire « Qui est Mark Mc Lean ? ». Si enfaîte, c’était horriblement dur à dire. Elle ne pouvait pas se permettre de demander ceci à son père à son retour du travail. Il fallait qu’elle attende un peu. Le cœur de Romy battait à une vitesse folle, Andrew était vraiment un homme impressionnant.
« Comment…
Silence.
… Comment… Comment s’est passé votre journée au Ministère ? »
Monsieur Mc Lean regarda attentivement sa fille puis retira son chapeau noir et son manteau. Il s’avança doucement vers le Salon et s’assit dans un fauteuil vert foncé en cuir. Il passa une main sur sa barbe et fit signe à sa fille de venir s’asseoir face à lui. L’homme attrapa ses lunettes fines sur la table et les ajusta sur son nez. Romy obéit à son père. Un long silence régna pendant un instant dans la pièce, les joues de la Quatrième année rougirent, elle se sentait véritablement mal dans cette ambiance. Pourquoi son père agissait-il de la sorte ?
« J’ai une question, moi, à te poser, Romy. »
« Oui… Oui… Père ? »
Andrew se leva alors et chercha dans un tiroir et prit une chose que Romy ne pu distinguer tout de suite. Le sorcier se dirigea calmement vers sa fille et balança cette chose sur la table avec une certaine force… La Demoiselle connaissait cet objet, elle le connaissait très bien, elle le connaissait même trop bien.
La boîte noire.
Celle qui contenait auparavant la bague du fameux « Mark Mc Lean » et que Romy avait à présent en sa possession. Le stress lui retournait totalement l’estomac. C’était horrible. La jeune femme croisa le regard de son père, qui était grave et sévère.
« Où est cette bague, Romy ? »
« QUI EST MARK MC LEAN ? »
C’était sorti tout seul. L’adolescente posa une main horrifiée sur ses lèvres, son père paraissait choqué, embarrassé. Romy fouilla dans une de ses poches et déposa la bague sur la table, juste à côté de la boîte noire. Silence. De nouveau. La tension était présente sur les deux visages des Mc Lean.
« Voilà, j’ai donné ce que vous demandiez, père, maintenant, dites-moi la vérité. »
« Tu ne comprendrais pas. »
Romy se leva de son fauteuil d’un coup et saisit la boîte noire d’un coup. Elle l’ouvrit et sortie la photo du garçon et de ses parents. La jeune femme la mit devant le nez de son père en pointant à l’aide de son index le visage du petit.
« C’est lui Mark, n’est-ce pas ? »
Andrew saisit la photo d’un geste violent, manquant de la déchirée. Il regarda sa fille de ses petits yeux perçants rempli de rage cette fois-ci. La jeune fille recula, heurta le rebord de la table de plein fouet. La gamine serra les dents pour ne pas hurler de douleur. Du calme, il fallait rester calme. Son père déchira la photo puis rangea les morceaux ainsi que la bague dans la boîte noire qu’il prit bien soin de balancer par la fenêtre une fois qu’il l’eut ouverte.
« Oui, c’est bien Mark Mc Lean, Romy, et il n’était personne d’autre que ton… »
« Narcissa n’a pas arrêté de me vanter les mérites de Drago et elle m’a aussi beaucoup parlé de Ro… »
Silence. Margaret fronça un sourcil tout en enlevant ses gants en cuir noir. La porte d’entrée se referma violement derrière son passage après un horrible courant d’air.
« Pourquoi est-ce que la fenêtre est ouverte ? »
La sorcière regarda son mari ainsi que sa fille à tour de rôle puis elle sortie sa baguette pour refermer ladite fenêtre. Margaret s’assit dans le fauteuil qu’occupé auparavant Romy et s’alluma une cigarette avec toujours autant d’élégance. Andrew et la Serpentarde restaient figés face à face, se regardant mutuellement. Madame Mc Lean tourna la tête et observa le spectacle avec un air qui traduisait particulièrement bien ses impressions (en clair, elle paraissait vraiment étonnée de voir les deux Mc Lean ainsi).
« Quelque chose ne va pas ? »
« Tout va très bien, Margaret, n’est-ce pas Romy ? »
« Oui, bien sûr, mère, tout va pour le mieux. Puis-je disposer ? »
Margaret fit un signe de main qui voulait dire que Romy pouvait partir de la pièce. La jeune femme marcha lentement dans les escaliers qui menaient au second étage. Elle ne comprenait toujours pas. Qui était-il pour elle ? Il n’y avait pourtant pas 36 solutions… Mark devait sans doute être…
Le frère de Romy ?
Ø
C’est au début de sa Cinquième année que Romy décida de lâcher prise avec l’affaire Mark Mc Lean. Pourquoi ? Sans raison apparente au premier abord mais en y réfléchissant mieux, notre héroïne avait du pain sur la planche pour ses B.U.S.E.S. et de plus, elle n’en pouvait plus de cette histoire sans réponse. Son père et elle avait de plus une relation très tendue depuis l’histoire du Noël de la Quatrième année de Romy. La jeune femme n’avait d’ailleurs plus jamais osé parler de Mark avec son père, elle découvrirait bien la vérité un de ces jours…
« Ta sortie est signée pour Pré-Au-Lard, Sarah ? »
« Oui, t’en fais pas. »
« Alors on se dépêche ? On va être en retard et personne ne va nous attendre. »
Les deux jeunes filles dévalèrent les dédales de couloirs qui mènent jusqu’au Parc de Poudlard et ni vue ni connue, elles rejoignirent leur groupe d’amis. McGonagall était présente, droite comme un pic et jetant ses petits yeux sur les élèves présents pour la sortie. Il y’en avait pas mal d’ailleurs… Gabriel Parker et la traîtresse de cousine de Romy étaient présents. La jeune femme sentait qu’elle allait vraiment bien s’amuser ce jour-là. Quand les autorisations de sorties furent enfin toutes vérifiées, Romy et ses amies partirent vers le seul village d’Angleterre où il n’y a pas un seul moldu (en clair, le paradis sur terre pour notre chère Romy). Mais déjà…
« Il faut que j’aille au Bureau de Poste, j’ai promis d’envoyer un hiboux à ma mère et vite ! Et comme je n’ai pas eu le temps ce matin de passé à la Volière… »
« Oh non ! Je voulais aller aux Trois Balais, d’abord ! »
« Par pitié à Gaichiffon en premier… »
« STOP ! »
Si notre héroïne était partie à Pré-au-lard ce n’était pas pour entendre jacasser ses propres amies. La jeune femme soupira et s’arrêta en plein chemin pour regarder les tonnes de boutiques du village.
« Bon, voilà ce que je propose : on se séparent, on va tous où on veux, puis on se rejoins plus tard ? »
« Ça marche. » Dit Meredith en haussant les épaules.
Toutes les filles firent des groupes de deux ou trois puis partirent chacune de leur côté. Romy soupira puis commença à marcher seule tout droit… Enfin, seule, plus pour très longtemps. Une voix familière retentit derrière elle.
« Romy ! Attends-moi ! »
« Sarah ? Tu n’es pas partie avec Meredith ou… Ou quelqu’un d’autre ? »
« Non, je me suis dit que ce serait plus tranquille avec toi. »
« Heureusement que t’es là. »
Romy afficha un sourire radieux sur son visage. Mais maintenant où les deux Serpentardes pouvaient aller ? Une idée démangeait affreusement notre héroïne. Celle-ci s’arrêta en plein chemin (pour la seconde fois) et se mordilla la lèvre inférieure. L’adolescente observa Sarah Robins d’un regard rempli de malice et en général quand vous voyez les yeux si perçants de Romy pétillé d’un seul coup… C’est qu’elle à une idée derrière la tête, et pas n’importe qu’elle idée.
« La Cabane Hurlante ça te tente ? »
« Quoi ? »
« Allez, fais pas ta chochotte ! »
Je me demande si Sarah ne regrettait pas d’avoir suivi Romy ce jour-là. Enfin, il était trop tard pour que la jolie blonde ne recule puisque La Cinquième année l’avait déjà saisit par le bras et courrait dans Pré-au-lard pour atteindre cette fameuse cabane hantée. Après quelques secondes de course, les deux jeunes filles se retrouvèrent enfin devant le lieu que tous les sorciers craignaient.
« Tu voulais la voir, alors on l’a vue, on peut s’en aller ? »
« Pas tout de suite Sarah… T’es pas tentée d’y rentrer ? »
« Mais t’es malade, Romy ! »
« Mais non ça peut-être marrant non ? Vient, on avance un peu… »
Je ne sais pas du tout ce qui a pu convaincre cette poule mouillée de Romy Charlyn Mc Lean d’entrer ici. Enfin en tout cas, elle était bien décidée à visiter cette fameuse Cabane Hurlante. La Serpentarde prit la main de son amie et l’entraîna à ses côtés sur le chemin menant à la porte d’entrée du lieu. Romy eut une seconde d’hésitation, c’est vrai que c’était risqué. Mais bon, que pouvait-elle perdre ? Sa vie peut-être ? Non tout de même pas… Ce lieu ne serait pas aussi mal sécurisé hein ? N’est-ce pas ? J’ai raison ? Et Sarah ? Pourquoi est-ce que Romy entraîné sa propre amie là-dedans ? Après tout elle n’avait rien fait et puis en plus, la Cinquième année ne voulait pas forcément qu’il lui arrive un malheur.
« Bon, ça doit pas être si effrayant que ça… Hein ? »
« Si tu… Si tu le dis. »
Bon. L’adolescente respira un bon coup, sorti sa baguette et la pointa face à elle tout en poussant la porte sous un grincement horrible. Au premier abord, la Cabane n’avait pas l’air aussi terrifiante que cela. Elle était même plutôt… Normale. Mais Romy ne pouvait s’empêcher d’avoir peur, très peur. Puis soudain…
« Merde ! Y’a quelqu’un qui vient ! »
La Serpentarde ne préféra rien dire, elle attrapa simplement la troisième année par le bras et la tira derrière un vieux meuble poussiéreux. Romy commença véritablement à croire que c’était vraiment une mauvaise idée de venir ici, mais comme d’habitude, elle se rendait compte des choses importantes beaucoup trop tard. Des bruits de pas devenaient de plus en plus proches. Ce n’était pas qu’une seule personne, mais au moins bien deux. Les battements de cœur de la Cinquième année s’amplifiaient. Sarah sortie aussi sa baguette. Romy tremblait de toutes ses forces, bientôt les inconnus rentreraient dans la Cabane et notre héroïne se préparé déjà à une petite attaque.
« Mais… Pourquoi tu tiens vraiment à ce qu’on aille ici ? »
C’est à ce moment-là que Romy s’élança face aux inconnus en pointant sa baguette sur eux.
« LOCOMOTOR MORTIS ! »
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| | | | Romy Mc Lean
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Mer 15 Aoû - 22:10 | |
| BANG. Quelqu’un se fracassa contre le sol poussiéreux de la cabane. Notre héroïne n’avait même pas pris le temps de savoir à qui elle venait de jeter ce sort (qu’elle avait utilisé sur Gabriel Parker auparavant) selon elle c’était une simple question de précaution. Puis tout s’éclaircit.
« TANIA ? »
« ROMY ? »
« Mais bordel qu’est-ce que tu fiches ici ? »
« Je te retourne la question imbécile ! T’avais vraiment besoin de lancer un sort sur mon amie ?! »
« C’était pas intentionnel, dit Romy d’un ton malsain et très ironique, simple question de précaution. »
« Et tu sais lancé que ce sort-là, nom d’une bouse de Dragon ? »
« Faut croire. »
« Hum hum… Je veux pas vous alarmez, mais je crois bien que j’ai entendu quelque chose là-haut. »
Sarah pointa du doigt les escaliers et plus précisément le premier étage. Des pas retentissait en haut. Romy frissonna, ce n’était plus le moment de s’attarder.
« Bon on se casse, et vite. »
Seulement là, il se passa une chose que la Serpentarde n’a jamais pu comprendre. Les pas continuèrent de faire du vacarme au premier étage et au moment où le groupe d’élèves allaient prendre la poudre d’escampette… Une moitié de jambe apparu dans les escaliers, la personne en question commençait à descendre vers le rez-de-chaussée. Son corps tout entier était bientôt visible et bientôt son visage… Romy voulait voir, absolument. Mais tout ce qu’elle pu voir, c’est le paysage en accéléré. Sarah venait de la saisir par le col et la traînait de toutes ses forces vers la sortie de la Cabane Hurlante. Tania et son amie étaient un peu plus devant, la fille avait d’ailleurs retrouvé l’usage de ses jambes, sûrement grâce à cette traîtresse. Qui était cet homme ? Quand Robins et Mc Lean furent arrivé loin de ce lieu maudit, la Cinquième année regarda longuement son amie tout en reprenant son souffle.
« Tu… Tu l’as vu le type ? »
« Quel type ? »
« Mais l’homme qui descendait les escaliers ! Je n’ai pas vu son visage, juste ses pieds et un peu de ses mollets. »
« Je… J’ai pas regarder, on s’est juste rendu compte qu’il y’avait quelqu’un en haut alors on a couru. Enfin, Tania Mc Lean à prit une longueur d’avance, elle a aidée son amie puis pof, elles ont disparues. »
« Quand je te dis que c’est une traîtresse… Elle ne pense qu’à elle. »
« De qui vous parlez ? »
Romy et Sarah sursautèrent. Ce n’était que Meredith et quelques amies.
« On vous a cherché partout, vous étiez où ? »
Les deux Serpentardes se regardèrent quelques instants, elles s’étaient comprises. Pas besoin de raconter cette histoire à tout le monde.
« On a bu une Bieraubeurre. »
Silence.
Ø
« Je me suis fait passer un savon, si tu savais. »
« T’aurais dû réviser un peu mieux ton Histoire de la Magie ! Je peux voir tes autres notes ? »
Romy avait reçu les résultats de ses B.U.S.E.S. quelques jours avant la rentrée scolaire. Notre héroïne était à présent en sixième année et elle était bien décidée à montrer à ses parents qu’elle n’était pas une cancre. La jeune femme fouilla dans la poche de son uniforme et sortie une lettre légèrement froissée. Elle l’a tendu à December Coates, sa fidèle amie.
« Astronomie : E
Soins Aux Créatures Magiques : E
Sortilèges : O
Défense Contre les Forces du Mal : A
Runes : D
Botanique : E
Histoire de la Magique : D
Potions :O
Métamorphose : A »
« T’étais pas obligée de lire à haute voix. »
« Meredith est ton amie, elle dira rien, et puis je crois pas qu’elle est eut mieux. »
Meredith Johnson répondit à l’agression de cette chère December par un simple regard noir. Romy soupira. Margaret Mc Lean l’avait incendié, elle aurait soi disant du avoir plus d’Optimal. Mais comment ? Les examens étaient durs et puis la Sixième année avait privilégié les matières qui étaient selon elle, plus importantes. Enfin, elle avait quand même décrochés ses B.U.S.E.S. c’était le principal. La Salle Commune était déserte ce jour-là, seules les trois amies y étaient et encore, et d’ailleurs, elles ne faisait rien de bien intéressant.
« Je me demande bien comment je vais m’en sortir pour mes B.U.S.E.S. »
« Wouarf, tu feras pas pire que moi. »
December ri discrètement puis consulta sa montre.
« MINCE ! Je suis en retard pour mon cours de Potions ! »
« Qu’elle heure il est ? »
« 13h59 ! »
Romy fit les gros yeux et regarda Margaret en s’affolant. Elles avaient cours de Métamorphose, elles ! Les trois jeunes filles attrapèrent leurs affaires aussi vites qu’elles purent et se pressèrent vers la sortie de la Salle Commune des serpents…
Ø
Cette satanée Sixième année passa vite, très vite. Il n'arriva rien d’extraordinaire cette année-là et ce n’était pas plus mal. Enfin Romy pouvait respirer tranquillement sans penser à Mark Mc Lean, à cet imbécile de Gabriel Parker ou à cet homme dans la Cabane Hurlante. A vrai dire, la jeune sorcière voulait se débarrasser de tous ces souvenirs envahissant (sans pour autant arrêter de torturé Parker) et puis à présent, elle avait grandi et elle allé passé sa dernière année à Poudlard. En clair, il fallait qu’elle se relaxe. Ah oui j’oubliais… S’il y’avait une seule mauvaise nouvelle que Romy avait très mal digéré c’était la nomination de sa cousine Tania Mc Lean en tant que préfète de la maison Serdaigle. C’était une honte pour la Septième année qu’une traîtresse pareille soit aussi bien récompensée. Mais quelque chose (ou plutôt quelqu’un) à Poudlard allait véritablement la consoler…
« Je m’appelle Dolores Jane Ombrage et je suis votre nouveau Professeur de Défense Contre les Forces du Mal. »
Enfin ça, c’était au début. Romy était déjà parfaitement satisfaite d’avoir un Professeur aussi incroyable dans une matière dans lequel elle ne brillait pas particulièrement. Mais quand des évènements importants chamboulèrent totalement la vie de Poudlard, ce fut véritablement gé-ni-al. Ce mode de vie à l'école plaisait totalement à notre chère Mc Lean, ce vieil Albus Dumbledore (que Romy détesté par dessus tout) se fit enfin renvoyé de son poste et Dolores Jane Ombrage prit le rôle de Grande Inquisitrice au grand bonheur de notre héroïne. La jeune femme se sentait à présent totalement dans son univers, mais apparemment ce n’était pas le cas de tout le monde…
« Sale lèche-bottes d’Ombrage ! »
« Répète un peu ce que t’as dit ! »
« Tu m’as bien entendu Mc Lean ! Tu n’es qu’un pauvre toutou d’Ombrage ! »
« Et toi tu n’es un bon à rien que je paralyserais bien une seconde fois ! »
« Je ne me gênerais pas non plus ! »
« Sale Bouffondor ! »
Il fallait rester calme. On était le 26 Janvier et donc, le jour de l’anniversaire de Romy. Ce jour-là, il était totalement interdit de se prendre la tête avec n’importe qui, mais il avait fallut que ce stupide Gabriel Parker croise le chemin de la Serpentarde ! Celle-ci s’activa d’ailleurs pour retourner dans sa Salle Commune, il fallait qu’elle se change les idées. L’adolescente donna le mot de passe et rentra dans l’entre des serpents en tirant une gueule de trois kilomètres. December Coates vint alors vers elle et la serra dans ses bras, elle tenait un paquet dans les mains, ce qui fit illico brillé les yeux vert émeraude de Miss Mc Lean.
« Bon anniversaire, tiens, c’est pour toi. »
« Oh… Merci, December. »
La jeune femme saisit le cadeau de son amie et commença à arracher l’emballage. Wow. C’était une petite horloge où Romy Schneider, l’idole absolue de notre héroïne y était représentée. Il n’y avait véritablement que Coates pour penser véritablement à ce que Romy aimé.
« J’ai pensé à toi quand j’étais à Londres à Noël, je me suis dit que ça te plairait sûrement. »
« Et tu ne t’es pas trompée ! »
La brunette voulu prendre son amie dans les bras mais quelqu’un rentra à toute allure dans la Salle Commune, provocant un vacarme assez hallucinant. Romy tourna la tête et reconnu directement les cheveux blonds et soyeux d’Ambre Harcher. Celle-ci avança très vite vers Miss Mc Lean et s’approcha de son oreille…
« J’ai… J’ai quelque chose à te dire d’assez important. »
La Septième année fronça un sourcil. Etrange. Elle observa December d’un regard confus et partie un peu plus loin avec la Sixième année. Ambre choisi un coin où il n’y avait pas grand monde pour qu’apparemment, personne ne puisse les entendre. L’Irlandaise tenait toujours bien fermement l’horloge de Romy Schneider dans ses petites mains moites.
« Bon, déjà, bon anniversaire. »
« Merci… C’est quoi le problème ? »
« Et bien… J’ai appris de source sure qu’une fille... Qu’une fille à Poudlard… »
« Qu’une fille à Poudlard quoi ? »
« Était sortie avec Mark Mc Lean. »
« QUOI ? »
Tout les regards se tournèrent vers Romy quand elle hurla. Celle-ci prit Harcher par le bras et l’entraîna un peu plus loin. Elle n’en revenait pas, c’était impossible.
« Elle est toujours à Poudlard ? »
« Oui ! Elle est à Serdaigle, en Septième année, comme toi. »
C’était la meilleure ! Romy voulait tellement ne plus entendre parler de cette histoire… Mais apparemment, la vérité commençait à la rattrapée. Des tonnes de questions se bousculaient de nouveau dans la petite tête de la jeune femme. Elle essayait une nouvelle fois de trouver de l’air, ce Mark Mc Lean la rendait totalement folle, il lui empoisonnait presque totalement la vie. La respiration de notre héroïne se faisait réellement beaucoup plus dure, elle avait de nouveau très chaud mais elle devait savoir…
« Comment… Comment est-ce qu’elle s’appelle ? »
Il y’eut un moment de silence qui paru pour Romy interminable. Et si c’était quelqu’un qu’elle connaissait ? Non, c’était impossible, à part Tania, elle n’avait parler à aucun Serdaigle, sauf pour faire quelques reproches par ci par là. La tête de Romy se mit à tourner dangereusement, elle essaya désespérément de s’agripper à l’épaule droite d’Ambre mais elle avait beaucoup trop de mal à tenir sur ses jambes.
« Romy ! Ca va ?! »
« SON NOM ! BORDEL ! »
Les regards se tournèrent de nouveau vers elle. Mais cette fois-ci, la jeune femme s’en fichait pas mal, elle voulait, elle exigeait ce nom et TOUT DE SUITE !
« Rainbow Cartland. »
« Rainbow Cartland. »
« Rainbow Cartland. »
« Rainbow Cartland. »
Silence.
« Amb..Ambre…J’ai…Be…Besoin…D’air. »
Boum. Vraiment ?
To be continued.
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| | | | Romy Mc Lean
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. Mer 15 Aoû - 23:59 | |
| Famille : La famille Mc Lean (comme vous avez pu le constater dans l’histoire légèrement plus haut) est une famille qui se prétend snob, qui à des attitudes de snob, mais qui n’est pas DU TOUT, snob. Ils possèdent juste une petite villa dans une rue légèrement Bourgeoise de Belfast. Cependant, Margaret est très amie avec Narcissa Malefoy (qui est quant à elle issue d’un milieu aristocratique, comme nous le savons tous) ce qui lui donne l’impression d’être une grande Dame. Margaret Mc Lean est d’ailleurs une femme horrible, qui ne possède aucune pitié et qui à un visage dur et froid. Elle est réputée comme étant une sorcière « sans vie » privilégiant les bonnes manières à l’amour qu’elle devrait porter pour son enfant. Andrew Mc Lean, quant à lui, est un homme qui dégage beaucoup de sérieux et de froideur (tout comme sa chère femme), il travaille au Ministère de la Magie et plus précisément au Département des Mystères. Beaucoup de sorciers le soupçonnent d’être un des sbires du Seigneur des Ténèbres (ce qui n’est pas faux). Mais le point le plus important pour TOUTE la famille Mc Lean (excepté une légère branche de « traîtres ») est la valeur du sang. Tous les Mc Lean sont des Sangs Purs et ceci est très prit au sérieux. Un des oncles de Romy (Cahir Mc Lean) s’est d’ailleurs marié avec une moldue et a pondu deux enfants dont un cracmol. L’autre enfant s’appelle Tania et est à Poudlard avec Romy, ces deux filles se détestent, elles s’envoient des vannes dés qu’elles se croisent et font tout pour faire du mal à l’autre. Enfin, c’est plutôt Romy qui agit de la sorte avec elle, c’est un véritable sacrilège pour la Serpentarde que cette fille porte le même nom qu’elle mais ne possède pas le même sang que sa famille. Cahir et toute sa gentille famille sont donc considérés comme des traîtres aux yeux de tous les Mc Lean. Ceux-ci possèdent d’ailleurs un sceau représentant un corbeau, chaque membre de la famille reçoit une bague avec l’emblème familial et son nom gravé à l’intérieur de l’anneau à la rentrée de sa première année à l’école Poudlard. Il est aussi inutile de préciser que tous les Mc Lean sont passés à Serpentard (sauf les traîtres, par conséquent.) - Baguette : Bois de Rose, 27 cm et contenant un nerf de cœur de Dragon.
- Animal de compagnie : Un chaton noir offert par sa mère, portant le nom d’Emerald (dû à la couleur émeraude de ses yeux).
- Comment trouvez-vous le design ? : Magnifique.
- Comment avez-vous connu le forum ? : Je ne sais plus, ça fait un bout de temps que je le connais.
- Qu'est-ce qu'il vous a poussé à vous inscrire ? : Tout !
- Comment trouvez-vous l'intrigue ? : A mon goût, vraiment bien.
- Personne sur l'avatar : La jolie Rachel Bilson.
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| | Sujet: Re: Romy McLean, 7e Année, BI. | |
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| | | | | | Romy McLean, 7e Année, BI. | |
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