Une tarte a la crème ? A déguster [ Basile = p]

Le soleil brillait dans le ciel clair et les élèves traînaient dehors par un temps aussi merveilleux. Elle , Azéline détestait ce temps ou tout le monde était joyeux , qui s’amusait. Non elle c’était plus le temps orageux, la pluie, le froid et non le soleil et la chaleur. Assise sur son lit dans son dortoir elle guettait dehors désespéré les élèves plutôt des première et 2èmes années qui couraient dans tous les sens. Venant jeter un coup d’œil a la grande horloge, elle put lire qu’il était pratiquement 18 heure 45. Tiens bientôt l’heure d’aller manger. Elle regarda ses devoirs qui étaient étalés sur son lit avec une petite moue et un sourcil relever. Que sa pouvait être ennuyant quand on étudiait quelque chose que l’on aimait guère. Par exemple prenez l’études des Runes. Azéline détestait cette matière tout comme l’Arithmancie. Elle se qu’elle aimait ou plutôt se qu’on l’avait forcer a aimer c’était plus les sortilèges et enchantements ainsi que les potions. Dieux sais qu’elle avait travailler , travailler très tôt le matin pour terminer très tard d’apprendre ses notions. Pendant de longues années se fut un calvaire que lui faisait vivre son père. Azéline avait le regard plonger sur un ligne de son bouquin mais sursauta quand elle entendit quelque chose tomber dans la salle de bain. Se demandant ce que c’était elle rangea tranquillement ses affaire et se dirigea les mains pendantes le long de son corps vers la salle de bain. Le regard un peu plus dur et la mains ‘avançant vers la poignée de la porte, le jeune femme ouvrit la pièce. Oh le chaton. Un petit félin se balançait sur le rideau de douche venant après voler a travers la pièce pour atterrir dans le lavabo plein d’eau . L’animal sortie directement tout mouillé poussant un miaulement mécontent. Et sa y est il repartait pour continuer ses bêtises. Azéline rentra un peu pressée dans la salle de bain pour l’empêcher de continuer son carnage mais manque de chance , il y avait de l’eau par terre. La jeune femme glissa venant se rattraper par le rebord de la baignoire. Elle dit quelques jurons et attrapa le chaton pas plus gros qu’une plume. Il était blanc avec des petites tâches grises sur le derrière des fesses. La jeune femme le regarda dans les yeux. Des petits yeux noirs étaient plongés dans ses prunelles vertes clairs. Un chaton perturbé et remplis de conneries pensa-t-elle sur le coup. Et a vrai dire elle n’avait pas tout a fait tord , il avait fait un beau dégât. Les serviette a moitiés trouées, le rideau tombé , les vêtements de certaines filles qui avaient laisser leurs affaires traîner. Et puis tant pis pour elles, elles n’avaient pas a laisser traîner leurs vêtements. Azéline remis un peut d’ordre dans la salle de bain . Le chaton était assis au dessus de la baignoire balançant sa queue grise le long du mur. La jeune femme soupira en le voyant et lui donna un petit coup de main dans le bas du dos. La félin surpris s’enfuya dans le Parc. Tant mieux. Azéline sortie de la salle de bain et se raseilla sur son lit pour souffler quelques instants.

On entendit les coups de la cloches qui annonçaient qu’il était 19 heure. Azéline sursauta de nouveau. La jeune Serpentarde refit un peu son lit et enfila sa robe de sorcière et accrocha ses cheveux en un chignon à moitié défait mais qui retenait tout de même tous ses cheveux. Elle passa devant plusieurs jeunes Serpentardes qui étaient entrain de lire leurs livres. Sa faisait bien plus de 2 heures qu’elles étaient la cloîtrées sur leurs bouquins et ne relevaient pas la tête. Comment pouvait-on rester autant de temps a sans quitter un bout de papier des yeux ? Azéline se posa pendant un fraction de seconde cette question trôna finalement dans sa tête blonde jusqu’au palier de la porte. Venant passer le palier, elle croisa le regard de certains Serpentard qui la regardaient. Elle n’avait que une envie leur dire de regarder ailleurs mais cela n’était pas bien important après tout. Pendant quelques instants, elle se sentit observer plus ou moins par pleins de têtes. Elle connaissait vaguement certains garçons et filles de son année mais pas plus que cela. La jeune Evans n’avait jamais vraiment parlée a ses camarades et puis c’était mieux ainsi sa était d’avoir des problèmes par la suite. Azéline suivit alors un petit groups de personnes pour venir dans la grande salle. Bizarrement sa sentait pas meilleur que d’habitude mais malgré cela Azéline avait son ventre qui criait famine donc elle avait atrocement faim. Le ventre venant gargouiller, elle le compressa légèrement pour exténuer le son du gargouillement et alla s’asseoir a sa place habituelle. Une place tout au bout de la table ou se trouvait tous les Serpentards qui étaient assez bien placés. Azéline regarda les elfes qui déposaient les plats et en bouscula un. Ce dernier tomba a genoux et Azéline le regarda avec un petit sourire sadique mais lui tendit sa serviette. L’elfe de maison agrippa la serviette et Azéline tira dessus brusquement. Venant relever l’elfe. Pf que c’était trop aimable. L’elfe lui faisait des signes de tête comme pour la remercier de son geste fort aimable. Elle reposa sa serviette et soupira. Elle regarda toutes les personnes assise autour de la table. Certaines personnes mangeaient se servant des plâtrées monstre et d’autre mangeaient correctement. Elle, Azéline, elle mangeait pas grand chose , encore une fois le repas lui plaisait pas. Qu’est ce qu’elle pouvait être chieuse quand elle s’y mettait. La plus âgée des Evans prit un petit bout de pain dans la corbeille et commença a grignoter la mie qui se situait au milieux comme dans tous les autres morceaux de pain disposés dans la corbeille qui se trouvait maintenant un peut plus loin sur la tablée. Elle regarda son voisin d’en face qui lui fit un clin d’œil. Azéline leva les yeux au ciel et regarda derrière elle. Quand tout a coup elle sentit quelque chose lui tomber dessus. Un liquide. Non mais elle rêvait pas c’était bien de l’eau qui était tomber sur son tee-short et son pantalon.

« ESPECE D’IMBECILE »

Cria la jeune femme. Tous les élèves c’étaient tourner dans sa direction et la regardait avec des yeux d’ahuries. Azéline était verte de colère comme le jeune homme qui était de son année. Même Drago ne semblait pas comprendre se qui se passait. Elle releva la tête et regarde en face d’elle l’élève fautif dans les yeux. Ce grand gamin avait un petit sourire moqueur aux lèvres se qui fit enrager encore plus Azéline. Elle se leva et lui d&colla une gifle a laquelle il se souviendrait toute sa vie. La jeune femme se leva et commença a marcher d’un pas rapide mais se retourna et revint a sa place pas pour s’asseoir mais plutôt pour prendre son bout de pain. Elle repartie décidée et pleine de colère puis sortie de la grande salle commune. Rogue l’appela mais la jeune femme ne tourna pas les talons et continua d’avancer jusqu'à ouvrire et claquer la porte de la grande salle commune. Un gros résonnement se fit entendre dans la pièce. Pendant de longues minutes les élèves restèrent silencieux ne sachant si ils pouvaient parler après ce qui venait de ce passer. Après quelques secondes de silences les élèves des différentes table se remirent a chuchoter. Le Serpentard qui avait eut la maligne idée de renverser volontairement son verre sur Azéline avait une grosse main sur sa joue gauche et restait décidément tout discret. Azéline quand a elle était partie dans les toilettes. Merde pas les toilettes des garçons. Elle fit demi tour et poussa la porte des toilettes des filles puis s’appuya sur le lavabo. Les deux mains posées sur le rebord elle avait les tête baissé et prit une bouchée de son bout de pain qui descendait rapidement. Azéline releva la tête et ouvrit sa robe de sorcière. Quel imbécile ! La jeune femme essora le bout de tissus puis sa cape. Venant se recoiffer vite fait elle resta traîner dans les toilettes. Elle s’endormie sur le lavabo pendant quelques heures. La nuit était déjà bien tombée et il était maintenant 23 heures 48 précisément. La jeune femme se réveilla mais mis tout de même quelques minutes avant de réaliser qu’elle se trouvait dans les toilettes. Mais qu’est ce qu’elle fichait ici ? sur le coup elle ne compris pas mais se rappela qu’elle était venue ici parce que ses habits avaient été mouillés par un imbécile de son année. La jeune se femme descendit du lavabo et soupira. Discrètement elle sortie des toilettes comme si de rien n’était et se dirigea vers le dortoir guettant toujours derrière elle au cas ou Rusard ou autres professeurs faisaient leurs rondes. Elle marcha tranquillement dans la pénombre longeant le mur de pierres légèrement humide et arriva enfin a bon port. Non plutôt devant la grande porte de son dortoir donc celui des Serpentard. Azéline posa sa main sur la poignée et appuya dessus. La lourde porte noire grinça et Azéline pénétra dans le dortoir. Elle était bien décidée a se changer mais son ventre cria famine quelques secondes après.

Bon d’accord elle allait se changer puis retourner au dehors de cette pièce pour aller manger un petit truc dans les cuisines. La jeune femme regarda autour d’elles les autres élèves qui étaient en train de dormir. Décidément Azéline était-elle insomiaque ? Non pas du tout , juste qu’elle n’aimait pas dormire la nuit , elle préférait sortire pour aller faire des choses fascinantes dehors. Après tout la pénombre, la nuit c’était son élément. La sobriété, le noir, la pénombre. Azéline avança jusqu'à son lit et enleva sa cape . Cette dernière avait sécher pendant son petit somme mais ses vêtement était toujours plus ou moins humides ce qui était très désagréable. La jeune femme sortie alors ce qui lui venait sous la main. Un tee-short rouge a bretelles assez large et un jean bleu ciel. Noués aux pieds une paire de chaussure noire. Azéline remit sa cape et entendit de nouveau son ventre gargouiller. Décidément elle avait faim et cela ne se calmerait pas tant qu’elle n’aurait rien de bien consistant dans le ventre. Elle re-sortie de son dortoir la cape sur le dos et la capuche remontée sur sa tête pour évité que l’on puisse la remarquer dans le noir et se dirigea vers les cuisines. Bizarrement, aucunes personnes n’étaient dans les parages. Vraiment bizarre. Elle continuait de marcher en faisait très attention et arriva devant la grande porte de la cuisine. Cette dernière était entre ouverte et Azéline y pénétra discrètement. Personnes a l’horizon, elle allait donc pouvoir être tranquille dans son petit coin sombre de cuisine. Elle s’avança sur la pointe des pieds et avança vers les fourneaux. En premier temps elle regarda dans les tiroirs mais rien de bien appétissant la tentait et puis a par des vieux quignon de pain rien ne s’y trouvait. Azéline continua sa recherche a la nourriture et enchaîna sur le placard blanc au dessus de l’évier. Une souris partie a toute vitesse par le fond du meuble et Azéline ne la retrouva pas. Elle fouillait mais rien ne la tentait dans se meuble non plus. La jeune femme s’appuya contre une lourde table en gray et réfléchissa en regardant le ciel. Juste au dessus d’elle une grande vue panoramique sur le ciel. Pendant quelques minutes elle resta a penser dans le ciel mais détourne plus rapidement que prévue son regard sur une grosse machine qui était … Le frigo pardi. Azéline eut un petit sourire et s’avança vers le frigo et l’ouvrit. De multiples tartes étaient disposées sur les étagères du frigo. Azéline en sortie une avec un petit sourire coquin et plongea son doigt dans le dessus. Une tarte a la crème. Délicieux. Il y en avait au moins 200 pour tous les élèves pour le prochains repas pensait-elle. Azéline regarda les différentes taille et opta pour la plus grosse des tartes. Un elfe rentra et manqua de peut de voir la jeune Serpentarde. Azéline c’était échapper avec la tarte dans les mains et ce trouvait maintenant juste a l’entrée du bâtiment. Elle regardait sa tarte a la crème en la dévorant des yeux. Malgré que cela ne sois pas forcément bon pour son poids elle la dégusterait pour son ventre et puis sans mentir un peu pour elle aussi.

Azéline marchait maintenant dehors et arriva a une intersection. Elle avait déjà été confrontée a ce dilemme la donc sois la Tour d’Astronomie , une endroit calme ou quasiment personnes étaient, sois la forêt interdite mais cela ne serait pas tranquille pour déguster cette fameuse tarte puis pour finir la volière un endroit ou de multiples fientes d’oiseaux traînaient par terre et cette odeur si … beurk ! Azéline en conclua alors que le seul endroit calme pour se reposer et déguster un tel chef d’œuvre serait la grande tour. Elle se dirigea sur un pas rapide vers la bâtiment. Une fois arriver au pied de la tour, la jeune femme commença a monter les marches deux par deux mais cessa au milieu de celle ci car les marches devenaient de plus en plus glissantes a cause de l’humidité. Azéline se posait beaucoup de questions du genre : y’aurait-il quelqu’un en haut ? Pourquoi les marche devenaient glissante d’un seul coup ? Serait-elle tranquille pour manger sa tarte ? Pleins de petites questions sans réponses pour le moment. Venant enfin voir le bout de lumière dépassant de en haut, elle accéléré la pas et arriva enfin au sommet. Un vague sourire s’afficha sur ses lèvres. Elle regarda autour d’elle et … Personnes. Tant mieux pensa-t-elle au fond d’elle au moins elle serait fortement tranquille. Venant poser sa tarte sur un des créneaux de la tour, elle enleva sa cape et la posa par terre. Une légère petite brise soufflait mais rien de bien méchant. La jeune femme se mit alors debout entre deux créneaux et pris sa tarte dans une main. Un petit regard pensif et un doigt venant se plonger dans le dessus du gâteau, elle était a la limite du bord ; Juste un petit bruit pouvait risquer de la faire tomber mais Azéline adorait le danger et ce n’était pas maintenant qu’elle cesserait de l’aimer. Venant mettre son doigt dans sa bouche, elle savoura cette avant goùt se hâtant de manger le reste mais elle n’était que au débit de ses surprise…

[ Voilà Basile :nez :]

Il était tard. Très tard. Mais alors, que faisait donc un garçon tel que Basile à traîner dans les couloirs ? Très bonne question. La réponse n’était pas bien difficile à trouver pour tous ceux qui connaissaient les récentes fréquentations du Serdaigle. Et ces fréquentations, elles étaient liées à une seule et même personne. Mais oui, bien sûr que vous la connaissez, ça commence par un ‘Hay’ et ça finit par un ‘den’. Et oui, encore et toujours, le Gryffondor était encore impliquée dans cette histoire. Mieux encore : il était directement responsable de la présence de son cousin dans les couloirs aussi tard le soir. Mais Basile n’était pas seul :
Un Poufsouffle de sixième année, un dénommé Drew l’accompagnait. Les deux garçons marchaient en silence, le Serdaigle se contentait de fixer le sol, une étrange moue au coin des lèvres tandis que son camarade fumait auprès de lui.

« T’en veux un peu Basile ? » lui demandait il tout en tendant son joint dans un sourire.
« Non merci, garde ta merde pour toi…
-Roh ça va, ma merde comme tu dis, t’étais bien content de la fumer la dernière fois.
-Oui mais comme tu viens de le préciser, c’était la ‘dernière fois’
-T'es vraiment pas drôle, Hayden lui...
-Chut, on va se faire repérer ! »

Et les deux garçons étaient déjà repartis. Basile ne pensait pas vraiment qu'ils avaient un risque de se faire attraper. Avec le temps ils avaient en effet apprit à se dissimuler des autres élèves et d'Ombrage, assez pour mener leurs petites affaires tranquilles. Juste qu'il fallait par tout les moyens possibles clouer le bec à ce crétin de Drew!
Ils avaient àf aire ce soir pourle compte de son cousin. Et en vue d'une prochaine fête, se déroulant comme d'accoutumé dans la tour d'astronomie, ils devaient commencer à lancer les premiers sorts d'assonorisation, et vérifier par la même occasion que la salle n'avait pas subie quelques dernières protections de la part de leur chère inquisitrice.
Tandis que les deux élèves montaient les marches de la tour, Drew poursuivait son éternel caquetage:

« Et sinon, je suppose qu'Hayden t'as dit quand est-ce qu'on était sensé apporter les premiers barils?
-Disons qu'il m'en a touché quelques mots ...
-Et donc?
-Demain, comme d'ab en fait . Mais il a aussi dit que si on avait l'occasion qu'on pouvait commencer ce soir ... et comme les couloirs sont relativement calmes.
-Ça pourrait nous faire gagner du temps en effet... Et la Serpentard, elle fait parti du plan? »

Ils étaient arrivés en haut des escaliers, et se trouvaient face à face avec une jeune fille blonde qui devait avoir un peu près leur âge. Basile haussa un sourcil et indiqua d'une voix légèrement agacée:

« Non pas vraiment. »

Puis sans faire d'avantage attention à la fille, il tourna les talons et signifia à son comparse, à vois basse bien sûr:

« T'as cas aller chercher les barils qui sont dans la salle des trophées, j'm'occupe de virer la demoiselle. Dépêche toi quand même et t'appliques le plan si tu te fais attraper...
-Ouais, mais t'as intérêt à ce qu'elle vire vite fait.
-Laisse moi faire, je préfère même pas que tu t'en occupe. »

Puis tandis que le Poufsouffle descendait les escaliers quatre à quatre, Basile pivota de nouveau en direction de sa camarade avant de lui adresser un grand sourire:

« Bon, on a à parler tous les deux.... »

Azéline avait toujours cette fameuse tarte à la crème dans sa main gauche et se son doigt droit ou plutôt son index droit, elle venait quelques fois plonger le bout pour prendre un petit peu de la matière comestible. Elle regardait devant elle le vide qui lui faisait face. Soupirant un petit instant et replongeant son doigt dans la crème, elle passa sa langue machinalement sur ses lèvres. C’était terriblement calme et Azéline commençait a fortement apprécier cela ; Quand elle vit en bas deux jeune parler. Elle ne les avaient jamais vu et elle fronça les sourcils. Que venaient-ils fiche ici ? Pas un moment de tranquillité. La jeune femme ne bougeait pas de ou elle était , les deux élèves étaient peut être passés juste à côté de la tour mais cela étonnait fortement Azéline qui se demandait bien ce qu’ils viendraient faire ici. Elle se demandait même si ils l’avaient vu planter en haut de la tour d’Astronomie. Bine sur elle espérait que non mais cela allait être difficile de cacher sa présence.

Azéline resta plantée sur le rebord de la tour sans rien dire quand elle entendit les pas des deux jeune hommes derrière elle. Ils semblaient parler mais elle ne comprenait rien. C’était totalement incompréhensible. Elle avait juste entendu « blonde » et rien d’autre. Elle avait un équilibre hors paire et ne tanguait pas de droite a gauche de peur ou de perte d’équilibre. Azéline entendit alors les pas d’une certaine personne ou même peut être plusieurs personnes descendre. Elle soupira soulagée pensant qu’elle se retrouverait tranquille pour déguster son désert tranquillement ici sous le ciel étoilé. Azéline se redressa un peut mieux s’étirant un peu quand une voix lui adressa la paroles. Elle venait de dire [ FRASE ]. Azéline surprise, envoya la tarte en pleine figure de la personne ou plutôt du jeune homme. Elle arqua un sourcil voyant le visage tout blanc de crème du jeune homme. Un petit sourire malin et sadique aux lèvres, elle rabaissa sa main crisper en l’air et le fixa de ses deux billes vertes.

La jeune femme descendit doucement du créneau et s’approcha doucement a pas de félins. Le fixant du regard, elle jeta un bref coup d’œil à sa cape et soupira. Qu’elle idée de la laisser par terre .Bref. Venant dévier légèrement son chemin, elle observait amusée le visage du jeune homme qui ne semblait guère content. Elle s’avança et croisa ses bras devant elle. Un sourire sadique mêlé à de la taquinerie, elle était d’humeur joueuse. Continuant de s’avancer, elle tira légèrement sur son haut et s’arrêta juste devant le jeune homme. Tiens Serdaigle vit-elle à son blason. Elle releva les yeux sur le visage plein de délicieuse tarte et amena doucement une main au niveau de la joue du jeune homme pour caresser du bout de l’index droit la joue et emportant par l’occurrence de la crème. Elle l’amena rapidement à sa bouche et savoura une fois de plus ce petit goût sucré en bouche. Fixant toujours ce dernier dans les yeux, elle lui glissa à l’oreille.

« Sa serait du gâchis de laisser un tel délice ! »

Dit-elle avec un brin de malice. Le doigt toujours dans la bouche, elle le sortie et passa une brève main dans ses cheveux pour venir les arborer en une très jolie coiffure comment dire … sauvage. Oui Sauvage était le mot a cette manière de mettre les cheveux. Un mèche tomba devant les yeux de Azéline qui avait ses deux prunelles vertes claires qui brillaient aux rayons de lunes qui venaient se refléter dedans. S’appuyant contre un remparts tout près de ou se trouvait le jeune homme, elle croisa ses bras et le regarda. Elle ne savait pas si il la voyait mais elle l’espérait bien. Après tout sa serait marrant. Azéline l’observa longuement. Il bougeait pas. Bizarre ! Venant alors soupire bruyamment elle se demandait comment il réagirait une fois qu’il se déciderait a dire ou à faire quelques chose d’intéresser, voir même de marrant. Comment sappellait-il ? Quel âge avait-il ? Le connaît-elle ? Azéline soupira a toutes ses questions et tendit sa main à la joue du jeune homme et reprit une petite « bouchée » de crème et regardant la ciel la savoura de nouveau. Elle resta a fixer le ciel, cependant elle se demandait toujours… Qui était-il ? Un sourire arborait son visage. Un visage sadique et plein de malignité.

[ désolé c’est plus court mais mon pc ma planter 3 fois -_-" je ferais mieux le prochain post désolé =/ ]

Une fois face à la mystérieuse serpentard, Basile s'accorda le temps de l'observer de plus près. Une fois ses yeux accoutumés à l'obscurité, il lui sembla enfin reconnaître la sixième année. Étant de son année, il y avait peu de chance pour qu'il n'en ai entendu parlé. Pourtant, impossible de remettre la main sur son prénom, ni même son nom! Basile ne s'en ému pas d'avantage, bien trop occupé à réfléchir au moyen de se débarrasser de cette 'cafteuse' potentiel. Pour le moment, une méthode diplomate serait de mise, mais les menaces seraient bien vites employés si la jeune fille prenait le chemin de la résistance.

Mais à peine avait il prononcé quelques mots d'apparence anodins, qu'il sentait une montagne de crème gluante s'abattre sur lui. Tout d'abord interloqué et surpris de s'être ainsi fait avoir, le garçon demeura pantois l'espace de quelques secondes. Puis prit place une colère sourde, celle qui semblait prendre place à chaque fois que sa patience foutait le camps.
Puis l'attitude de la sale blonde lui laissait présagé qu'il lui faudrait bien plus que de simples menaces pour la faire fuir!
Alors lorsque cette dernière vint s'amuser à lui retirer un peu de crème qu'il avait sur la joue, il se contenta de se laisser faire, non sans imaginer toutes les tortures possibles qu'il aurait à lui infliger si seulement il avait eu les moyens de le faire...

La phrase purement provocatrice de son interlocuteur finie par le ramener a la raison. Lui lançant tout d'abord un regard dur, il finit par répondre, à brûle-pourpoint:

« Du gâchis? Repense à deux fois avant d'envoyer ta tarte dans la gueule des gens, peut être que la tu ne feras plus de gâchis. »

Puis laissant échapper un petit rire aigre, il sortit sa baguette magique avant de faire disparaître la crème qui commençait à tomber à terre. Lançant un regard brûlant de colère, il rétorqua ensuite sur le même ton que la précédente phrase d'Azéline:

« j't'évite de faire le ménage ... t'es contente hein!? »

Puis sans attendre de réponse, il contourna la jeune fille, jeta un coup d'œil sur sa montre, avant d'observer avec attention l'extérieur de Poudlard. Aucun bruit, et aucune lumière allumée: Ombrage doit dormir à poings fermés!
Il ne manquait plus qu'à virer la fille, histoire de terminer le boulot à temps!
Faisant volte face, le garçon fixa de ses yeux gris la jeune fille. Il décréta d'un ton à la fois sérieux, comme les hommes d'affaire:

« Bon, je veux pas avoir d'ennuis avec toi, alors je te conseille de m'écouter attentivement: J'ai besoin de cette salle pour quelques minutes, ca te dérangerait pas d'aller voir ailleurs juste quelques temps ? Je te promets qu'ensuite je te laisserais manger toutes les tartes a la crème que tu veux, du temps que tu dégage la maintenant tout de suite.... t'as compris ou je la refais? »

Puis, il joua distraitement avec sa baguette, signifiant par la même occasion qu'il n'hésiterait pas à s'en servir si elle se montrait d'humeur récalcitrante.

Azéline regardait le ciel. Un regard vide, des reflets dorés dans ses cheveux blonds crème, elle rêvait. Non non pas la façon de rêver dans un rêve ou un cauchemar, non tout simplement qu’elle se demandait bien qu’est ce que les étoiles pouvaient bien faire de leurs journée si on pouvait dire cela. Après tout c’était vrai, elles étaient dans leurs journées la nuit et puis le jours pour Azéline c’était la nuit pour elles. Et oui c’était comme sa. La jeune femme rabaissa les yeux sur le jeune Serdaigle et l’observa. La crème sur le visage, elle avait un sacré sourire aux lèvres montrant qu’elle avait parfaitement pris se qu’elle avait voulu faire après tout. Azéline imaginait bien le jeune homme comme impulsif, se mettant en colère rapidement mais peut être un brin de franchise et d’honnêteté ? Oui peut être sa restait à prouver, d’ailleurs Azéline chercha que sa prouver les qualités et défauts de ses partenaire de « jeux ».

|| Basile || « Du gâchis? Repense à deux fois avant d'envoyer ta tarte dans la gueule des gens, peut être que la tu ne feras plus de gâchis. »

Tssssk ! Azéline à cette remarque que venait de lui faire le jeune homme. C’était une phrase qui devait se dire illarante ou bien vexante ? Elle, elle l’avais prit pour rire après tout, ce n’était pas une petite phrase qui montrait sa colère qui allait faire renoncer à Azéline ses buts d’ailleurs elle en avait désormais pas mal. Observant le jeune homme elle essayait de comprendre certaine chose mais en vint, pour le moment. Le regardant, elle observa encore une fois peut être deux , ce dernier qui ce nettoya faisant tomber la tarte à la crème par terre. Azéline tira une grimace et croisa ses bras devant elle. Elle sentait venir la remarque à la menmoile-nœud ce qui arriva bien sur. « j't'évite de faire le ménage ... t'es contente hein!? », disait-il. La jeune femme sourit avec malice et regarda le jeune homme. Contente ? peut être pas parce qu’il venait de lui bousiller son désert tout de même. Il aurait put le laisser sur son visage et Azéline s’en saurait chargé avec ses doigts chauds. Et non , pas sa. La jeune femme regarda de nouveau le sien et sourit un poil mauvais.

|| Azéline || « Oui très contente ! »

Dit-elle d’un ton ironique. LA jeune femme regarda le ciel de nouveau et fit deux pas en avant venant se remettre d’avant ce dernier. Elle ne le connaissait, pas lui non plus mais sa tête lui faisait penser à un Serdaigle et de son âge à peut prêt. D’ailleurs Azéline comptait bien savoir qui était le jeune homme. Une bonne bouille, un caractère formé, elle se demandait bien qu’est ce qu’il lui réservait pour après. Ce dernier lui sortit peu de temps après un spitch du genre « Bon, je veux pas avoir d'ennuis avec toi, alors je te conseille de m'écouter attentivement: J'ai besoin de cette salle pour quelques minutes, ca te dérangerait pas d'aller voir ailleurs juste quelques temps ? Je te promets qu'ensuite je te laisserais manger toutes les tartes a la crème que tu veux, du temps que tu dégage la maintenant tout de suite.... t'as compris ou je la refais? ». Haaan mais il croyait au Père Noël le pépère. Elle répliqua aussitôt sérieuse surveillant la baguette.

|| Azéline || « Alors si j’ai bien compris, tu veux que je partes parce que tu as des choses à faire ici ou je suis bien sur et tu m’offre toutes les tartes à la crème que je veux ? Ah attends tu peux la refaire s’il te plait ? »

Lança-t-elle en arquant un sourcil d’un petit air malin. Attention ne fallait pas demander à la Miss Evans si on voulait répéter car pour la simple et bonne raison que la jeune femme répèterais automatiquement que oui il fallait répéter et sa pouvait durer pendant bien longtemps. La jeune femme tourna légèrement autour du jeune homme qui jouait discrètement avec sa baguette. Avait-il peur ? Azéline sourit doucement avec un léger petit air mauvais mais ne laissa aucuns sons sortir de sa voix pour autant. Observant sa main, elle revint rapidement en avant de lui. La lune brillait assez dans le ciel et Azéline avait ses deux billes vertes qui perçaient ses cheveux blonds crèmes qui tombaient quelques fois devant son visage. Un petit sourire, elle détacha ses deux bras de contre elle et regarda la jeune homme dans les yeux. Pendant de longues secondes elle le fixa. Qui était-il ? Azéline se demanda en le regardant, mais rien ne lui revenait en tête. Si sa se trouvait un petit nouveau. Avant d’envisager une attaque de sa part, elle lança doucement.

|| Azéline || Avant que tu ne me saute dessus avec ta baguette. Evans,… Azéline Evans , 6ème année Serpentard . Tu es ?

Demanda-t-elle pour savoir a qui elle avait à faire. Elle n’avait pas pris sa baguette jugeant cela inutile malgré qu’elle savait très bien que si elle rencontrait un obstacle imposant, elle devrait se débrouiller seule. Mais le jeune homme n’était pas un obstacle , au contraire…
> Désolé vraiment Désolé pour le retard <

» Tarte à la fraise et réglement
» Basile S. Crimson, 6e Année.