We Used To Be Friends

Invité

[Private :: Narcisse & Nath']

Amis ? Oui ... Nous l'étions toujours, enfin c'était ce que j'espérais le plus . Il était minuit . Comme je ne pouvais pas dormir, je fis un petit tour au Parc . A cette heure-ci, il n'y devait pas avoir beaucoup de monde . Ouf ... Heureusement ... J'espérais y voir, Narcisse . Narcisse, je commence sérieusement à m'inquiéter pour toi . Tu me caches quelque chose . J'essayai de retrouver Narcisse, seulement pas son odeur ... Aujourd'hui, c'était une journée abominable . Amy Farmer voulait me tuer, cela se voyait dans son regard . Il n'y avait pas qu'elle qui voulait ma mort . Pratiquemment, toutes les filles voulaient le faire . Mon Dieu, dans quoi, je me suis lancée . Voilà! Je savais que cela se passait ainsi . Ce n'était pas le fait que j'étais comdamner à mort, non, c'était le fait que Narcisse ne m'adressait plus la parole . Qu'est-ce qu'il lui était arrivé, pendant mon absence ?

Lorsque je suis arrivée dans la Salle Commune des Serpentards, Milicent me regardait avec un regard de dégoût . Le pire, c'était MacFadden, il me regardait avec beaucoup de haine . Je les entendais penser . Ils pensaient que j'étais une traîtresse . Soi-disant qu'elle s'était antichée du Don Juan. Non, mais je rêves, amoureuse Nathaniel Regal ? Ca ne va pas dans votre tête . De toute façon, si j'étais vraiment amoureuse de lui, ce serait tout bonnement impossible . Nous étions trop ... différents ... Quelle journée épuisante ! Au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner, je n'étais pas là, car je devais rendre visite à Dumbledore, dans son bureau, c'était à propos de mes parents . Apparemment, ils s'inquiétait, Dumbledore également . Raphael leur avait raconté mon malaise aux Trois Balais . Il ne fallait pas s'inquiéter pour si peu . J'allais bien . J'étais en parfaite forme . Ils ne devaient pas s'inquiéter . J'étais en forme, certes, mais j'étais triste . C'était comme si on m'avait arracher mon coeur de ma poitrine . Je sortis du Bureau de Dumbledore, complétement déprimée . Comment allais-je m'en sortir, cette fois-ci ? Devrais-je arrêter de fréquenter Nathaniel ou devrais-je continuer ? Car cette histoire allait vraiment finir mal . Quelle journée chargée en émotions ! Je ne m'étais habituée à de tels sentiments humains . Mon Narcisse, pourquoi ? Je ne t'ai jamais abandonné . C'était toi, le premier qui m'avait abandonné ... Tu ne te rendais même pas compte, comment je souffrais également ...

Ce qui s'était passé à Pré-au-Lard, surtout aux Trois Balais avec Nathaniel était le sujet de conversation dans tous Poudlard . Je ne pouvais pas aller en cours, sans qu'une des greluches de Don Juan m'injure . De toute manière, ce n'était qu'une humaine, donc elle m'était insignifiante . La seule personne qui comptait le plus pour moi, c'était toi, Narcisse . J'ai appris, il y a peu de temps par une Serdaigle, que tu prenais de la drogue . Déjà que tu fumais beaucoup, il fallait que tu ajoutes de la drogue . Tous cela n'étaient pas bon pour toi, Narcisse . Pourquoi faisais-tu cela ? Pour m'attirer l'attention ? Bah ... Tu as gagné , je me rends . Maintenant, sors de ta cachette . Tu ne peux pas savoir comment je suis en colère .

Le Parc était vraiment magnifique, le soir, surtout lorsque la Lune brillait de tout son éclat . Rien qu'une belle Lune, pour faire un promenade . Aujour'hui, j'ai dû soigneusement éviter Nathaniel, car je n'avais pas envie de le voir ... Je ne lui en voulais pas . C'était à moi que j'en voulais . Tout était ma faute . Narcisse, pardonne-moi ,c'était ma faute . Par ma faute, tu te drogues . Ne t'inquiéte plus, je suis là, maintenant, je suis là ...

Je me promenais que soudain que je vis un corps allongé dans l'herbe . Cette silhouette, je la reconnus . C'était Narcisse . Je courus vers lui, le plus vite possible . Je m'arrêtais . Il était en train de dormir . Je me penchai vers lui.

Alice - Narcisse ... Réveilles-toi

Il ne se réveillait pas ... Je le secouai . Il ne se réveillait toujours pas . Je regardai un objet à côté de lui . Il m'avait pris de la drogue, j'en étais sûre . Je le secouais de plus en plus fort, mais rien ne fit . Bon sang ! Narcisse, réveilles-toi !

Alice - Narcisse ... Non, je n'ai pas envie que tu t'en ailles ... Pas maintenant ... J'ai encore besoin de toi ... Tu es mon meilleur ami . S'il te plaît, ne pars pas ...

Je serrai le corps inanimé, contre moi . Je le serrai très fort contre ma poitrine . Que ferais-je sans toi ? Ne t'en vas pas, s'il te plaît . Une larme coula et tomba sur le visage froid de Narcisse . Je t'aime, Narcisse, je t'aime . En cet instant, j'éprouvais que de l'Amour fraternel et de l'Amitié, pour cet humain dont la vie m'était chère .

Il n'arrivait pas à dormir, il était désespérait, il était triste, et surtout il était en manque, un manque plus ou moins fort et puis de toute façon, il ne dormait plus, il passait son temps dehors, il n'allait plsu en cour, et quand il y allait, il dormait ou alors il ne suivait pas, ses résultat scolaire avait chuté, et le pire c'était lorsqu'il tournait son regard vers ELLE, lorsqu'il la regardait, elle était loin de lui, elle n'était pas à côté de lui...Pourquoi ? il ne savait pas, mais il avait des doutes, car chaque fois qu'il la regardait, il la voyait tourner son regard vers ce gryffondor, c'était vraiment étrange pourquoi elle le regardait ? Et puis pourquoi passait elle du temps avec lui ? Pourquoi elle ne venait plus vers lui ? Il ne le savait pas, il se sentait seul et abandonnait, les baiser que lui donner Milicent ne lui faisait plus rien, il n'avait plus ce même amour qu'au premier jour...Toute ses pensée tournoyée dans sa tête...il était allongée sur son lit, il ne savait pas quoi faire, il n'arrivait pas à dormir comme d'habitude...il se leva, et chercha dans sa valise, il y avait un objet long avec un bout brillant, un sourire se dessinat, c'était ce qu'il lui fallait, puis il prid une petite fiole d'un mélange étrange, posa son manteau sur ses épaules et prid la direction du parc...

Il marchat longuement avant d'arrivé prés de cet arbre, l'arbre où ils s'étaient retrouvait en début d'année, il avait même prid le soin de graver son prénom, se prénom si doux, si tendre, il souriat à cette pensée, mais se fut plus un sourire triste,, il arrivat prés de l'arbre en question s'adossa, contre celui-ci, hauta son manteau, et regarda un instant la lune, elle était ronde, belle, brillante, elle lui ressemblait, elle était magnifique, elle était merveilleuse, elle était tous se que l'on pouvait espérer...

Il porta son regard sur la petite fiole, et planta la pointe brillante de l'objet long dedans, et ramena le liquide à l'intéireur de l'objet, l'objet qui mettera fin à tous ses malheurs, car il n'yavaitp as qu'ELLE, il y avait aussi LUi, et sa elle n'étaitpas au courant, il ne lui avait jamais dit, et il ne faisait pas sa pour attiré son attention, leur attention, il faisait sa parce qu'il en avait marre, et qu'il voulait que son suicide se face doucement, il ne voulait pas mourir tous de suite, avant il voulait faire se qu'il ne pourrait jamais faire, il voulait consommer des choses interdite, et mourir à cause d'elle, sa vie, se réduisait doucement comme la peau de chagrin se réduit chaque fois que tu fais un voeux...et peut-être que cettep eau aurait était la bienvenue, mais sa mort aurait était trop lente, alors qu'avec cette substance, il mourrait doucement et c'étaitse qu'il lui fallait, même si lors de son rêve étrange dans les bras du gryffondor Marwin, il n'avait pas voulut mourir, mais voila depuis qu'il la vue partir avecl ui et non venir le voir, il a sut qu'elle n'avait plus besoin de lui, et maintenant il préférait la laisser avec cet être...

Une fois se petit liquide magique dans l'objet, il le porta à son bras, et planta la petit aiguille toute mignone dans sa chaire, et lançat le luiquide dans ses veines, dans son bras, il laissa tomber son bras sur l'herbe et appuyat sa tête contre l'écorce rugueuse de l'arbre et regarda devant lui, il commençait a voir floue, puis il vit noir, et soudain, il s'écroula sur le sol, il sentai son corp devenir froid, il se raidisait doucement, il se sentait partir , il se sentait mourir....Puis soudain alors qu'il partai il entedit une voix, elle était féminine, c'état la sienne, ellel ui demandait de se réveiller, mais non, il ne faisait rien, il ne voulait pas se réveiller, il la sentait qui le prenait dans ses bras, et une de ses larmes ctomba sur le visage glacé, du corp dont la vie partai petit à petit, il l'netendit pronnonçait desm ots d'amour...foutaise, c'était juste pour qu'il se réveille, il ne voulait pas se réveiller, soudain, son bras ou la seringue avait était planter, tomba sur le sol, il était sans vie, il n'était pas encore mort, mais presque...

Soudain il vit une lumière blanche, un grand tunnel, il y avait des photos del ui sur les murs du tunel, des photos de sa vie, comme si on l'avait espionner, il revoyait sa vie qui défiler devant ses yeux, et soudain un souvenir lfrappant arriva, c'était sa rencontre avec elle...

# Flash Back #

Il était à la table des serpentards, il venait d'être réparti, il ne parlait à personne, il était seul, lorsque soudain une autre élève venait d'être répartie, elle s'était assise à côté de lui, elle était jolie, il avait décidai de lui parlait...

Lui : Salut, je m'appel Narcisse et toi ?

Elle : Alice, enchantée

Lui : Moi de même

Elle : ....

Lui: tu crois que sa vas durer longtemps ?

Elle: je sais pas

Puis le banquet commença, et ils se mirent à manger, lui voyant qu'elle ne mangerp as, lui dmeanda inquiet :

Lui: Tu ne manges pas ? Tu sais c'est important de se nourir .

Elle: Je n'ai pas faim

Lui: Oui même si tu n'as pas faim, il faut manger, sinon tu risque de tomber dans les pommes

Elle: c'est gentil de t'inquiéter pour moi, mais ne t'en fait pas

Lui:...

Puis le banquer ce termina et ils partirent ensemble à leur salle commune, une nouvelle amitiée commençait, ils riérent longtemps, ensemble, pendat une bonne partie de la nuit...

# fin du flash back #

Revoyant cela, il pleura, et bizarrement, une larme coula de ses yeux clos, pour venir se nicher dans le coin de ses lévres...Puis une ombre vint face à lui, dans se tunnel, elle vint lui parler, c'était le gardien du paradis, c'était Saint Pierre, il était vieux, et celui-ci lui dit alors d'une voix d'église :

Saint Pierre : ce n'est pas ton heure mon garçon, tu as beaucoup de chose à voir avant de mourir

Narcisse : Ils m'ont abandonné...

Saint Pierre : tu te trompes, regarde, elle est là

Narcisse : Oui mais c'est jsute parce que je vais mal, avant elle n'étaitpas là

Saint Pierre : tu devrais être heureux qu'elle soit là, car elle aurait put te laisser à nouveau

Narcisse :....

Puis soudain, il se senti partir, et ses yeux s'ouvrirent doucement, il la vit, mais ne disa rien, il était trop faible, son corp était pâle, ses yeux était rouge, creux et cerné, ses lèvres étaient violette, il n'avait pas la force de pronnonçait un mot.

EDIT Yuna :: We Used To Be Friend Veronica Maars *o* Oui, oui je sors et je vous laisses rper tranquillement u_u

Les Gryffondors étaient connus pour leur goût de la fête. Et quand le samedi soir pointait le bout de son nez, une soirée était immanquablement organisée. D’ordinaire Nathaniel était toujours partant pour passer la nuit à s’éclater…sauf que lorsque la moitié des personnes présentent passent le temps à vous scruter avidement en bavant dans son verre, ça devient très vite agaçant. La fiesta battait de son plein, chacun buvait, mangeait, dansait, discutait bien que les échanges vocaux soient fortement réduits par le brouhaha assourdissant qui régnait dans la salle commune. Le blondinet avala son verre d’un trait et le reposa d’un coup sec sur une table quelconque. Il n’était pas très frais, tout l’alcool qu’il avait absorbé lui embrumait le cerveau, il avait l’impression d’étouffer dans toute cette agitation. Il jeta un coup d’œil circulaire à la salle. Tout le monde paraissait occupé, aussi était fusse-t-il, personne ne semblait lui porter un attention toute particulière. Il décida qu’il était temps pour lui de partir, un peu d’air frais lui ferait le plus grand bien. Le portrait de la Grosse Dame lui tendait les bras, issue de secours pour échapper à ce monde de dingues. Mais c’était sans compter sur Amy Farmer dont la plus grande occupation était de se mêler de ce qui ne la regardait pas. En deux bonds, elle fut pendue à son bras, la bouche en cœur et l’air interrogateur.

Où est-ce que tu te sauves Nath ?

Pitié, ne pouvait elle pas faire comme les autres et le regarder partir sans rien tenter ? Non, ce n’était pas possible car pour elle, le Rouge et Or était comme une drogue, elle ne pouvait pas s’en passer.

J’ai envie d’aller prendre l’air.
Je peux venir ?
Non, j’aimerais y aller seul.
Pfff…Ca va, j’ai compris. T’as rendez-vous avec cette Serpillière, c’est ça ? Je me demande bien comment elle a fait pour t’embobiner à ce point cette harpie.
Arrête ça tout de suite Farmer. Je ne sors pas avec Alice alors arrêtes de t’en prendre à elle, elle ne t’a rien fait.
Elle te tourne autour !
Qu’est ce que ça peut te faire ?
Je n’aime pas ça…Tu n’as rien à faire avec une Serpentard !
Je ne suis pas ta propriété que je sache.
Mais…
Non, tais-toi. Je ne veux pas le savoir !

Nathaniel tourna les talons et sortit dans le couloir. La rousse lui hurla quelque chose du genre « Tu verras ! » mais il n’y prêta pas attention. D’ordinaire il parvenait à se maîtriser, ne pas s’énerver. Mais ajoutez l’alcool, la fatigue, le bruit et la voix perçante de Farmer et vous verrez par vous même le résultat. Le septième étage était désert. Il se rendit soudain compte qu’il n’avait pas pris sa cape. Tant pis, il n’avait pas envie de tourner chez les Gryffy et recevoir une nouvelle fois les sermons stupides d’une rouquine à ultra-sons. Il descendit quatre à quatre les marches des escaliers en priant pour ne pas croiser Rusard ou Miss Teigne. Il était arrivé deux étages plus bas lorsque le pas saccadé d’une personne ayant très probablement un problème de dos brisa le silence des couloirs. Pas de doute possible, c’était le concierge. S’il se faisait prendre, il aurait droit à une sanction digne de ce nom… Sur sa droite, il aperçut la statue de Boris le Hagard. Mais bien sûr ! La salle de bain des préfets ! Voilà où il pourrait se cacher et éviter les foudres du vieux cracmol mal luné. Ni une ni deux, il s’élança à gauche de la sculpture tout en comptant quatre portes et tentant de faire le moins de bruit possible.

Fraîcheur des Pins.

A peine le mot de passe murmuré, la poignée tourna et la porte s’entrouvrit. Le Rouge et Or entra. Il était temps, Rusard venait de tourner l’angle du couloir et baladait le faisceau de sa lampe dans tous les coins en marmonnant des menaces. Nathaniel attendit quelques minutes qui lui semblèrent une éternité avant de juger que la voie était libre. Il dévala une autre série d’escaliers en passant par un passage secret qui le faisait descendre de deux étages. Après une légère pause près de la salle des trophées il emprunta les escaliers menant au rez-de-chaussée. Il manqua de peu de se faire repérer par un trio de cinquièmes années qui descendaient aux cuisines et dut une nouvelle fois s’amuser à jouer les contorsionnistes dans le placard à balais. La porte de sortie n’était qu’à quelques dizaines de mètres. Il poussa la porte du placard qui émit un léger grincement. Nath grimaça, ce n’était vraiment pas le moment. Puis après avoir vérifié une dernière fois que personne ne l’avait entendu, il s’élança vers la sortie. L’air, bien que quasiment glacial, du parc lui fit du bien. Il avait les idées plus claires même après avoir bu quelques verres de whisky pur-feu.

N’empêche, pas mal de question se bousculaient dans sa tête. Il s’était passé beaucoup de choses à Pré-au-Lard, samedi dernier. Peut-être plus qu’il ne l’aurait voulu. Entre autre le fait qu’il se sente obligé de dire la vérité à son sujet à Alice le perturbait au plus haut point. Il n’avait fait que mentir jusque-là à propos de tout. De lui, des autres, de sa famille… Probablement une façon de se protéger. Alors ce n’était pas si simple de briser ce mur qu’il avait lui-même bâti. Elle lui demandait beaucoup…peut-être trop…peut-être n’était-il pas capable de faire autrement que mentir ? C’était devenu lui. Le mensonge, ce rôle, ces apparences, c’était lui. Il l’avait voulu. Il appréciait beaucoup Alice, il avait souhaité changer d’abord parce qu’il lui était redevable puis parce qu’elle avait réussi à voir plus loin que les faux-semblants qui l’entouraient. Mais maintenant, il n’était plus si sur de son choix. Elle détestait le mensonge alors que lui y était plongé jusqu’au cou. Elle était vampire et lui n’était qu’un simple humain. Elle était à Serpentard et lui à Gyffondor. Ce Feuer le détestait, il n’y avait qu’à voir les regards assassins qu’il lui décrochait en cours de Potions, il en était de même pour Farmer à l’égard d’Alice. Il en venait à penser qu’un quelconque lien amical entre eux était voué à l’échec…il ne pourrait y avoir que de la haine ou de la déception. Il était trop différents, opposés.

Narcisse…

Des échos de voix brisèrent le silence du Parc.

…pas envie…t’en ailles……maintenant……besoin de toi……meilleur ami…te plaît…pars pas…

Il avait du mal à saisir le sens de ces bribes de phrases. Quelqu’un partait ? Ses yeux, à présent accoutumés à l’obscurité, parvenait à distinguer vaguement une silhouette assise au pied du chêne du Parc. Que pouvait-elle bien faire ici ? Oui, bon…Et lui, que faisait-il ici ? Poussé par son éternelle curiosité, il s’approcha. Il y pouvait discerner une autre personne dans les bras de la première. Mais que fabriquaient-ils ? Les nuages d’écartèrent de devant l’astre lunaire dont la lumière, paraissant soudainement vive après les ténèbres, vint éclairer les trois sorciers. Nathaniel se figea, surpris. Qu’est-ce que Alice White pouvait bien fabriquer dans un endroit pareil en pleine nuit ? Le corps sans vie apparente entre ses bras tordit les trait du blondinet dans une expression où se mêlaient stupeur, horreur et dégoût. Elle n’avait tout de même pas fait…ça ? Pas elle ! Son sang ne fit qu’un tour.

Bordel Alice ! Qu’est-ce que tu fais ?

Un mélange de panique et d’effroi lui nouait le ventre mais le poussait également à agir. Il prit la demoiselle par l’épaule et l’écarta brusquement de la victime. Elle n’avait pas osé ? Elle avait juré qu’elle se contrôlait ! Le gars devant elle était pâle comme la mort. Ses lèvres étaient violacés, ses yeux cernées, pourtant ses paupières étaient grandes ouvertes et ses pupilles vides de toute émotion semblaient fixer un point invisible dans le ciel. Merlin merci, il était encore vivant.

Qu’est-ce qui s’est passé ?

Nathaniel avait employé un ton plus dur qu’il ne l’aurait voulu. Mais qu’était-il sensé croire lorsqu’il retrouvait un gus à moitié mort dans les bras d’une vampire ?

Invité

Narcisse ... Ouvre les yeux, par pitié . Pardon, pardon, pardon, pardon, pardon ... Je n'aurais jamais dû te laisser seul . Reviens à toi, s'il te plaît . Je pleurais . Mon Dieu ! Ne me quitte pas, Narcisse, pas maintenant, j'ai encore besoin de toi . Malgrès mes pleurs, Narcisse ouvrit enfin les yeux . J'étais contente . Je le serrai dans mes bras, encore une fois . Son corps était faible . Ses yeux étaient rouges et ses lèvres étaient violets . Qu'est-ce qui lui avait pris ? Pourquoi avait-il pris ces saloperies ? Je pouvais lire dans ses pensées, de la haine de l'affection qu'il épouvrait à mon égard . Pourquoi me hais-tu autant ? Hein ? Qu'est-ce que je t'ai fais ? Tu avais commencé par fumer . Je n'étais pas trop d'accord, au début, mais final, je m'y étais habituée . Maintenant, la drogue ! Je voulais lui fouttre une giffle, mais je n'osais car je savais que c'était ma faute, si il était comme ça . Pardon, Narcisse ... Je ne voulais pas te laisser seul ... Je suis vraiment désolée . Parle, dis-moi quelque chose, je t'en prie ... Il ne pouvait pas parler . Je le repris dans mes bras . Cette fois-ci, je le serrais plus fort . Il était encore plus pâle que moi . Je sentis une présence derrière moi . Cette odeur ... Nathaniel ... Qu'est-ce qu'il faisait ici ?

Nathaniel - Bordel Alice ! Qu’est-ce que tu fais ?

Il me prit par les épaules et me poussa brusquement de Narcisse . Pourquoi faisait-il cela ? Je ne pouvais toujours pas lire dans ses pensées . Qu'est-ce que je faisais ? Je ne faisais rien du tout . J'étais seulement en train de prendre dans mes bras, mon meilleur ami, Narcisse . Je fronçai sur les sourcils . A-t-il cru un moment que j'avais ... ? Non ... Jamais, je n'aurais jamais pu mordre Narcisse . JAMAIS ! Même s'il me le demandais . Je regardai Nathaniel . Il avait peur . Je pouvais le sentir . Il éprouvait également du dégoût . Alors comme ça, je suis ... répugnante . Quelle imbécile, j'étais ! Comment aurais-je pu croire que Nathaniel Regal n'était pas comme les autres ? Si ... Il était comme les autres . Il ne pouvait pas me comprendre . Personne ne pouvait me comprendre . J'avais été aveuglée, par ces belles paroles et comme une idiote, j'étais tombée dans son piège . Pardonne-moi, Narcisse ... J'aurais dû t'écouter . J'évitai de regarder le Rouge et Or

Nathaniel - Qu’est-ce qui s’est passé ?

Alice - Rien ... Je ne lui ai rien fais . A partir de maintenant, occupes-toi, de tes affaires, Regal . Crois-tu vraiment que j'aurais pu faire du mal à mon propre meilleur ami ?

Je repris Narcisse, dans mes bras . Je recommençai à pleurer .

Alice - Narcisse, je suis désolée . A partir, de maintenant, je ne te laisserais plus jamais seul . Je te le promets . Souviens-toi, de notre rencontre . Tu t'étais inquiété, pour moi, parce que je ne mangeais rien du tout et tu étais le premier à m'avoir adressé la parole . Un humain, m'adressait la parole ? Je n'aurais jamais crû cela possible . Pour moi, tu n'es pas n'importe quel humain . Tu es ... mon meilleur ami . A la Vie et la Mort ! Je t'interdis, de mourir, tu as compris ?

Je regardai Nathaniel . J'avais encore fais uen erreur . Je ne pouvais pas le détester, car il n'était qu'un humain . Je savais qu'il ne comprendrerait rien du tout .

Alice - J'avais crû que tu étais différent, mais apparemment, je m'étais encore trompée ...

Narcisse était là, les yeux ouverts, le regard inexpressif, il fixait-il un point invisible ? Non, il la regardait, il la regardait elle, celle qui était assise à côté de lui, celle qui le tenait dans ses bras, il l'aimait. Pouvait-elle le sentir ? Se serait merveilleux, mais apparemment ce n'était pas le cas. des larmes couleurs sur les joues de son amie et tobmérent sur les siennes, Alice, Pourquoi pleures-tu ? Puis soudain, une voix masculine se fit entendre, il la reconnu, c'était lui, ce type, ce garçon qui avait était à l'origine de la sépartation d'Alice et Narcisse, que faisait-il ici ? Il l'entendait, et il entendit se qu'il osat dire à Alice, il l'accusait de l'avoir mordu ! Espéce de sale c*n comment peux tu pensait cela d'elle ! Il voulait l'hurlait se jeter sur lui, mai il ne pouvait pas, il était incapable de dire quoi que se soit, et de bougeait, dans l'instant présent. Puis il senti Alice, le prendre contre elle, il entendit son coeur battre, oui elle avait un coeur, même si elle était se qu'elle était, mais son coeur n'était pas aussi qu'un organe qui bat, c'était aussi sa bonté, sa douceur, elle était tous cela et bien plus encore...

Le corps d'Alice était chaud comparer à celui de Narcisse, et cet effet étrange, réchauffat, Narcisse, pas complétement, mais l'amour qu'Alice lui portait, cet amour fraternel, et les paroles qu'elle prononçait à son égard, le réchauffèrent de l'intérieur, vous savez c'est se genre de parole qui lorsque vous lesentendaient, vous font du bien, le genre de parole que l'on ne vous dit pas souvent et que lorsqu'on le fait vous donne du baume au coeur, et bien tous ces effets furent soudainement présent chez lui,et il trouva alors la force de pronnonçait quelque chose, certes sa voix était encore extrêment faible, mais il ferait son possible pour qu'Alice puisse l'entendre.

Alice...Ce...n'est...pas...ta...faute...c'est....la...sienne...

De tous son corps, seule ses lévres avaient bougé, poyr pouvoir former les mots...car en le regardant à nouveau, on pouvait voir que son visage n'avait pas changer, ses yeux bleuté était encore ouvert, inexpressif, à cet instant la phrase, "les yeux sont le miroir de l'âme" ne voulait plus rien dire, car narcisse, voulait montrer à Alice, qu'il l'aimait, et tous sa avec ses yeux, mais sa ne semblait pas marcher. Une chose dans son visage avait changé, oui la couleur rouge qui était autour de ses yeux, avait éclairci, elleé tait légérement rosée et ses lévres violettes, reprenait doucement une couleur normal, et tous sa grâce à elle, grâce aux paroles douce et réchauffante d' Alice, il voulait lui dire, et trouva un moyen, que seul Alice pour lui dire, qu'elle seule pouvait avoir. Ce fut la pensée:

*Alice....Je...t'aime*

Sa y est, il l'avait fait, il lui aviat dit, espérant qu'elle entende sa pensée, parmit ses sanglots...
Soudain, alors que son bras, était tenu par Alice, celui-ci retomba au sol, asser lourdement, mon dieu, Narcisse était en train de fermer les yeux, il s'endormait, non il ne fallait pas ! Narcisse réveille toi ! lui criait^sa propre voix dans sa tête, mais il n'y arrivait pas ! il était trop faible pour pouvoir les ouvrirent à nouveaux...

Il se serait donné des baffes. Mais qu’est-ce qui lui avait pris ? Il avait paniqué…il avait paniqué et tout avait foiré par sa faute…comme la dernière fois. Non mais qu’est-ce qu’il pouvait être con des fois ! Il le savait ! Il le savait pourtant qu’elle n’oserait jamais faire une chose pareille ! Il lui avait dit lui même !

Rien… Je ne lui ai rien fais. A partir de maintenant, occupe-toi de tes affaires, Regal. Crois-tu vraiment que j'aurais pu faire du mal à mon propre meilleur ami ?

Ses paroles lui firent l’effet d’une douche froide et d’un coup de poing…simultanément. Elle ne l’avait jamais appelé par son nom de famille. Enfin pas depuis qu’ils se connaissaient un peu mieux. Merde ! Merde-merde-merde ! Il aurait voulu se traiter de tous les noms. Qu’est-ce qu’il avait dans la tête pour devenir aussi imbécile ? Alice se mit à pleurer. Il détestait ça. Mais à présent il ne pouvait plus rien faire. Tout redevenait comme avant. La personne qu’il avait crue son amie le détestait probablement à l’heure qu’il était. Et tout était encore sa faute.

Narcisse, je suis désolée. A partir, de maintenant, je ne te laisserais plus jamais seul. Je te le promets. Souviens-toi, de notre rencontre. Tu t'étais inquiété, pour moi, parce que je ne mangeais rien du tout et tu étais le premier à m'avoir adressé la parole. Un humain, m'adressait la parole ? Je n'aurais jamais crû cela possible. Pour moi, tu n'es pas n'importe quel humain. Tu es… mon meilleur ami. A la Vie et la Mort ! Je t'interdis, de mourir, tu as compris ?

Elle leva de nouveau les yeux vers lui. Il évita son regard. De tout façon, ça ne servirait à rien. Tout était fichu à présent.

J'avais crû que tu étais différent, mais apparemment, je m'étais encore trompée…
Alice...Ce...n'est...pas...ta...faute...c'est...la...sienne...
Désolé…Feuer a raison cette fois. Tu m’avais demandé de dire la vérité mais je n’ai fait que mentir d’un bout à l’autre. Mais pour une fois, je vais quand même faire l’effort de parler sincèrement. Qu’aurais-tu imaginé à ma place en trouvant un gars à moitié mort dans les bras d’un vampire ? Je savais que tu ne serais jamais capable de tuer qui que ce soit, je te l’avais dit moi-même. Mais franchement, qu’étais-je sensé faire en te voyant ainsi ? Te passer le bonsoir et faire comme si de rien était ?

Quitte à se faire détester, autant le faire jusqu’au bout…De toute façon, ça ne pourrait pas être pire… Mensonge ! Il ne voulait pas qu’elle le haïsse, il aurait voulu que rien ne changer…mais ce n’était pas possible. Mais vous savez…lorsque vous ne réussissez pas un truc, vous ne vous êtes jamais dit « quitte à rater, autant rater jusqu’au bout. » ? Vous n’avez jamais pensé que vu que c’était impossible, c’était inutile de faire un quelconque effort pour améliorer la chose ? Ben c’était l’état d’esprit de Nathaniel à cet instant. Il savait pertinemment que quoi qu’il fasse, c’était foutu…Alors c’était simple. Il n’allait rien faire.

Non, bon d’accord. Il n’allait peut-être pas RIEN faire. Mais il ne ferait pas beaucoup d’efforts.
Il s’approcha de Narcisse et s’agenouilla devant lui. Ce dernier semblait être parti pour le pays des rêves pour un sacré moment, un vrai poids mort. Puis il glissa un bras sous ses épaules, installa le Vert et Argent sur son dos et se releva en chancelant un peu sous le poids supplémentaire.

Il faut l’emmener à l’infirmerie. Je ne l’aime pas beaucoup, lui et toi me détestez probablement. Mais je trouve pas que c’est une raison suffisante pour le laisser crever ici. J’ai pas spécialement envie d’avoir un mort sur la conscience.

Son langage était beaucoup plus cru que d’ordinaire. De toute façon, il n’allait pas prendre des gants avec eux, c’était parfaitement inutile au vu des circonstances.

Invité

Nathaniel - Désolé…Feuer a raison cette fois. Tu m’avais demandé de dire la vérité mais je n’ai fait que mentir d’un bout à l’autre. Mais pour une fois, je vais quand même faire l’effort de parler sincèrement. Qu’aurais-tu imaginé à ma place en trouvant un gars à moitié mort dans les bras d’un vampire ? Je savais que tu ne serais jamais capable de tuer qui que ce soit, je te l’avais dit moi-même. Mais franchement, qu’étais-je sensé faire en te voyant ainsi ? Te passer le bonsoir et faire comme si de rien était ?

Je le détestais, mais mon coeur disait le contraire . Je ne le détestais pas . Je ne pouvais pas, car ce que j'éprouvais pour lui était différent qu'avec Narcisse, c'était un Amour fraternel ... J'essayai d'arrêter mes larmes, mais nada . Je n'avais jamais autant pleurer . C'était cela la souffrance ? La peur de la perte d'un proche ? Cela faisait vraiment mal, en tout cas . Je regardai Nathaniel . Ses paroles m'avaient vraiment blessée . Je ne savais pas quoi dire . J'étais encore une fois perdue . Je n'étais pas habitué à ce genre de sentiment . Tout était nouveau pour moi, cette année . Etais-je en train de changer, également ? Devrais-je me comporter comme une Serpentard ou une amie avec Nathaniel ? Je ne savais plus du tout .

*Alice....Je...t'aime*

Narcisse m'aime ? Ces mots ... " Je t'aime ", n'était-ce pas un moyen d'exprimer son amour à celui qu'on est amoureux ? Ces mots, on me l'avait jamais dis . J'étais surprise . Je ne savais pas quoi dire, car Narcisse sortait normalement avec Milicent, donc c'était à elle qu'il devrait dire cela, moi, je ne suis que sa meilleure amie . C'était tout . Et moi ? Qu'est-ce que je ressentais pour lui ? De l'Amour ou de l'Amitié ? Aucune idée ... Je le considérais comme mon frère . Je l'aimais mais pas de la même façon . Les sentiments humains ... J'aurai dû, t'écouter, Papa ... Tu avais raison ! Je perdais le contrôle de tout, mes pensées, mes sentiments . Narcisse ou Nathaniel ? Je devais faire un choix . Je n'avais pas envie de choisir, car je les aimais tous les deux . En ce qui concerne Nathaniel, j'avais des doutes sur mes sentiments . Nathaniel s’approcha de Narcisse et s’agenouilla devant lui. Puis il glissa un bras sous ses épaules, installa Narcisse sur son dos et se releva en chancelant un peu

Nathaniel - Il faut l’emmener à l’infirmerie. Je ne l’aime pas beaucoup, lui et toi me détestez probablement. Mais je trouve pas que c’est une raison suffisante pour le laisser crever ici. J’ai pas spécialement envie d’avoir un mort sur la conscience.

Je me levai brusquement . Pourquoi faisait-il cela ? Hein ? Je m''approchai de lui . Le détester ? Comment aurais-je pu le détester ? Je n'arrivais pas à le détester, c'était au-dessus de mes forces . Normalement, j'aurai dû être très en colère, mais là, rien ... J'étais ... Je n'arrivais même pas à me l'expliquer, moi-même . Je posai une main sur joue .

Alice - Te détester ? Comment aurais-je pu te détester ? Désolée ... Je n'aurais jamais dû agir comme cela . Je savais que tu n'étais pas dans ton état normal. Repose-le, s'il te plaît . Je sais comment le réveiller, une bonne fois pour toutes .

Je regardai Narcisse . Il avait l'air endormi, plus qu'autre chose, mais je redoutais du pire . Je ne voulais pas qu'il meurt . Je m'approchai de son doux visage endormi, puis déposa un doux baiser sur ses lèvres . Espèrons que ça marche, car je ne voyais pas d'autres solutions, à part d'aller à l'Infirmerie .

Il avait de nouveau fermé ses yeux, mais il ne le fallait pas, car si il le faisait, il pourrait partir pour de bon, mais étrangement, il entendait encore les voix autour de lui, il n'était donc pas mort, il s'était seulement endormit, sous cette faiblesse, sous cette fatigue atroce, qui l'avait envahit, et pendant qu'il était endormit, il revoyat des images devant ses yeux, comme si il rêvait, c'était trés étrange, il se voyait avec Alice, il se voyait avec elle, en train de danser, ils étaient tous els deux, elle était habillée dans une jolie robe noire, et lui , il était un costard, ils étaient tous les deus, trés beau. Mais soudain, son rêve pris, fin, en effe,t il se senti soudainement élever dans les airs, par quelqu'un, ce n'était pas Alice, ça ne sentait pas son parfum; ce n'étaitpas elle, c'était surment l'autre, se type, son odeur, il l'avait déjà senti sur Alice, oui c'était sûrement celle de se bouffon de gryffondor, dont elle s'était entichée...

Puis soudain, il fut reposé au sol, sous la douce voix de sa mailleure amie, Alice White, cette voix qui l'aimait tant, tous comme sa propriétaire, puis il fut remposait au sol, il était à présent par terre, ses bras balottants, son corps glacée, était à présent sur l'herbe humide. Soudain, il fut pris d'un léger tremblement, c'était une brise du vent glacée de la nuit, qui s'était engouffré dans ses vêtements, puis soudain, il senti, l'odeur d'Alice au dessu del ui, que se passait-il ? Il n'en avait aucune idée, que faisait-elle ? allait-elle faire del ui, l'un des siens ? Se serait merveilleux, comme ça, il serait avec elle, pour l'éternité, il ne serait plus malade, il ne serait plus se qu'il est devenu, il ne serait plus ce qu'il est à cet instant, c'est-à-dire un moins que rien, enfin il la toujours était, la preuve, Alice à préféré un bouffondor à lui, c'est bien la preuve qu'il n'ai pas grand chose, même si elle pleure pour lui, elle l'aime moins que ce Nathaniel.

L'odeur d'Alice, se faisait dee plus en plus présente au dessus du jeune serpentard, mais que faisait-elle, soudain, il senti quelque chose d'hulide, de doux, d'étrange sur ses lévres, mais qu'est-ce que c'était ? Puis soudain, il réalisa, c'était ses lèvres, c'était les lèvres de Miss White ! Pourquoi faisait-elle cela ? L'avait elle entendu ? Oui c'était sûrement cela, puis il la senti ce relevé, son odeur toujours présente, envahissa, les narines du jeune homme, pour le réchauffé de l'intérieuer, son corps repris vie, mais il était toujours aussi faible, il rouvrit doucement les yeux, mais resta au sol, il avait cru rêver, et de sa vois faible, il demanda, en se tournant vers ALice:

Est-ce...que...j'ai...rêvé...ou...tu m'as....embrassé...Alice.

Lui demanda-til, en la regardant avec, un sourire, et une lueur lumineuse dans les yeux, cette fois-ci, ses yeux qui était à présent sans vie, étaient annimé, remplit d'unetrés grande émotion, une émotion, qui faisait souffrir, mais qui était belle, c'était une lueur d'amour, il l'aimait, et ce baiser l'avait fait revivre, comme les princesses dans les comtes de fées, sauf que cette fois-ci, c'était un "prince " qu'il avait fallut sauver, et ce n'était pas le prince charmant qui était venu le réveiller, mais la princesse charmante.

hj: pas terrible désoler -_-" :hj

C’était un comportement digne d’un sinistre imbécile, il le savait. Mais il ne pouvait pas s’empêcher de réagir ainsi. Elle lui avait fait mal, elle n’imaginait même pas à quel point. C’était sa faute à lui, c’était ses paroles à elle. Et même s’il n’avouerait probablement jamais qu’elle l’avait blessé, il voulait lui rendre la pareille. Et il savait exactement comment s’y prendre. Car s’il maîtrisait à la perfection le langage fleuri qui plaisait tant aux demoiselle, il savait également employer des paroles beaucoup plus crues.

Alice approcha sa main de la joue de Nathaniel. Il aurait voulu s’écarter, il ne désirait ni ne méritait ce genre d’attentions, mais le poids de l’autre Serpentard sur ses épaules menaçait de le faire tomber à chaque mouvement un peu brusque. Les doigts d’Alice étaient froids, comme toujours. Il sentit quelque chose se serrer dans sa poitrine. Ca lui faisait mal mais ses traits restèrent impassibles.

Te détester ? Comment aurais-je pu te détester ? Désolée… Je n'aurais jamais dû agir comme cela. Je savais que tu n'étais pas dans ton état normal. Repose-le, s'il te plaît. Je sais comment le réveiller, une bonne fois pour toutes.
Facile ! Comporte-toi comme une vrai Serpentard ! Tu es une vampire de surcroît, et moi je ne suis qu’un simple et stupide humain. Ca devrait être encore plus facile pour toi de mépriser un être supposé inférieur.

Ces mots le blessaient autant qu’elle. Peut-être même plus. Mais son orgueil mal placé l’empêchait d’admettre la vérité. Il reposa Feuer sans la moindre délicatesse dans l’herbe humide. Il ne parvenait même pas à éprouver un quelconque sentiment de haine envers lui. Il se sentait tout simplement vide. Lorsqu’il la vit se pencher sur lui, cette impression devint une certitude.

Est-ce...que...j'ai...rêvé...ou...tu m'as....embrassé...Alice.

Dans le silence du Parc, les mots paraissaient avoir été hurlés à ses oreilles. Ce fut encore pire après. Il avait le sentiment qu’on lui avait arraché une partie de lui même.

Il le savait, il avait commis beaucoup d’erreurs en sa présence. Mais la plus grosse qu’il avait faite, ça avait été de s’attacher à elle plus que sa raison ne le lui aurait permis. Il avait voulu se leurrer, croire que quelque chose serait possible, qu’elle comprendrait. Mais non, elle n’avait rien compris. Elle ne pouvait pas. Il étaient trop différents et tenter de joindre les deux bords du gouffre qui les séparait était voué à l’échec. Elle n’avait pas réussi à voir au bout, qui il était. Elle s’était arrêtée à la première porte trouvée verrouillée sans chercher à trouver la clé. Alors tant pis, ça ne servait à rien de continuer. Même si c’était dur à admettre, c’était probablement fini pour de bon.

Invité

Nathaniel - Facile ! Comporte-toi comme une vrai Serpentard ! Tu es une vampire de surcroît, et moi je ne suis qu’un simple et stupide humain. Ca devrait être encore plus facile pour toi de mépriser un être supposé inférieur.

Pour moi, tu n'étais pas un simple et stupide humain . Non, non, non ... Je ne voulais plus entendre ces mots . J'avais mal, vraiment mal . C'était comme si on m'avait arraché encore une fois, le coeur de ma poitrine . Je n'aurai jamais crû que je m'attacherai à lui ... Jamais, car je croyais qu'on pouvait devenir que des amis, mais peut-être j'en demandais plus de sa part ... Ce que je ressentais pour Nathaniel était tellement fort, car j'arrivais à peine à respirer . Ses mots, ses paroles, m'avaient vraiment blessé . Je ne devais pas pleurer, non . C'était hors de question ... J'avais assez pleurer comme cela .

Narcisse - Est-ce...que...j'ai...rêvé...ou...tu m'as....embrassé...Alice.

Alice - Tu n'as pas rêvé ... Narcisse... Je t'ai embrassé parce que c'était le seul moyen, pour te ramener à la vie . Je t'apprécie, Narcisse . Je t'aime, mais pas de la même façon que toi . Ce que je ressens pour toi, c'est de l'Amour fraternel . Je t'avais toujours considéré comme mon frère . Tu avais choisi Milicent . J'étais jalouse, mais pas autant que je l'espérais . Jusqu'au jour, où j'ai rencontré, Nathaniel . Au départ, il me fascinait, mais ensuite, je me suis attachée à lui . Je n'arrêtais pas de penser qu'à lui, jour et nuit . C'était pour cela que je m'étais absentée pendant une semaine . Pour pouvoir l'approcher sans risque, je devais me nourrir correctement ... Narcisse, tu seras toujours mon meilleur ami, mais pas plus . Je suis désolée . Tout était clair, maintenant . Je ne pourrais jamais choisir entre vous deux . Je préférais mourir que de choisir entre vosu deux, car c'est au-dessus de mes forces . Je ne peux pas

Dans quoi, m'étais-je embarquée ? Nathaniel me déteste . Rien qu'à l'idée de penser à lui, me faisait mal, très mal . Etais-je amoureuse de lui ? Oui, je l'étais bien plus que je ne le pensais . J'étais debout . Mes genoux tremblaient . Qu'allais-je faire, maintenant ? Devais-je le lui dire ? Je regardai calmement le Rouge et Or . Etait-il en train de souffrir ? Je n'aurai jamais dû m'attacher à lui, comme cela . C'était la plus grosse erreur que j'avais commis . Je m'approchai de Nathaniel . Je m'arrêtai brutalement . Oh non, ça recommence . Des pensées se bousculèrent brutalement dans ma tête . J'avais mal ... Je regardai le sol . Mon regard était flou . Je ne voyais plus rien . Je retombai brutalement sur mes genoux . Mon regard était éteint . Je tremblais de tous mes membres .

Il était là...allongé dans l'herbe, les yeux remplit de cette lueure d'amour pour Alice, se baiser l'avait réchauffer, il avait un petit sourire aux lèvres, pendnat un instant son regard se porta sur l'étudiant de gryffondor, celui-ci semblait abbatu, triste, par le geste d'Alice, cela fit dans un sens plaisir au jeune serpentard, car de un maintenant il savait ce qu'il avait ressenti, lorsqu'il les voyait ensemble et de deux, parce que Narcisse était juste un serpentard, et de trois, parce que sa le ressemblait parfaitement de rire du malheur de ses ennemis...

Alors qu'il regardait le blondinet de gryffondor, il entendit Alice prendre la parole, il l'acouta attentivement portant ses sur elle, elle était si belle dans se rayon de lune, on aurait dit un petit ange, il entendit chacune de ses paroles, il buva chacun de ses mots, comem si il n'avait pas bu depuis des lustres, et soudain se fût un choc pour ANrcisse, elle ne l'aimait pas, elle aimait NAthaniel, elle n'avait pas besoin de lui dire, il l'avait senti, c'était sa meilleure amie, il est normal de sentir se genre de chose, et la chose qu'il lui fit unchoc c'était que celle croyent, que lui, Narcisse Feuer était amoureux d'elle ! Tous le monde semblait le croire à cause de son comportement, mais la seule raison d'un tel comportement, c'était de voir qu'Alice l'abandonnait, et le laissait tous seul, il avait déjà était abandonnait par son père, qui le reni sans cesse, alors le fait de voir cette scéne, l'avait profondément atteind, mais maintenant qu' Alice est de retour auprés de lui, et qu'il voir qu'elle ne l'a pas abandonnait, lui redonne du baume au coeur et à nouveau envie de sourire, il lui dit alors d'un ton calme et doux, en posant sa main sur la joue d'Alice et en la carressant doucement avec son pouce.

Mais Alice...moi aussi je t'aime du même amour que tu m'aimes, je croyais que tu avais comprids, je te l'ai dit tout à l'heure...mais ce n'est pas grave Alice, je suis là maintenant...

Il lui souriat doucement, et déposa un baiser sur le front de la jeune femme, comme un frére le fairait pour sa petite soeur, comme pour la rassurer, lui dire que tous vas bien. le jeune homme se redressa visiblement, rétabli, enfin déjà un peu mieux que tout à l'heure, oui, ses joues étaient redevenue roses, ses lévres avaient reprids une teint a peu prés normal, ainsi que ses yeux, mais il ne pouvait pas encore marchait, ses jambes étaient encore trop faible. .. puis soudain, il vit Alice se levat, s'approchait du gryffondor, et tombait soudainement au sol, Narcisse effrayait se projeta vers son amie, et lui tenat la prise par les épaules, il la sentait tremblait, il se mit en face d'elle, et vit son regard qui était éteint, non alice !!!

Alice !! Réveille toi !! réponds Alice !!!

Fit il en la regardant dans les yeux, car même si ceux-i était éteint peut-être qu'elle le verrait, de toute façon, elle ne pouvait pas mourir, elle était éternelle, et si elle mourrait, la jeune serpentard tuerait celui qui à provoquait sa mort, il tenait trop à elle, comme elle tient à lui, pour la voir dans cetétat, il la secou doucement, pour ne pas lui faire mal, et lui redit alors à nouveau:

Alice, s'il te plait réveille toi...

Et....il la serra dans ses bras

Les traits d’Alice étaient empreints de douleur. Pas de doute possible, il avait atteint son but. Pourtant, il n’en éprouvait aucune joie, ni même un quelconque réconfort à l’idée qu’il n’était pas le seul à souffrir. C’était même pire qu’avant. La douleur ne cessait de s’amplifier sans qu’il sache quoi faire pour l’arrêter. Elle devait le détester, ce n’était pas possible autrement.

Tu n'as pas rêvé… Narcisse… Je t'ai embrassé parce que c'était le seul moyen, pour te ramener à la vie. Je t'apprécie, Narcisse. Je t'aime, mais pas de la même façon que toi. Ce que je ressens pour toi, c'est de l'Amour fraternel. Je t'avais toujours considéré comme mon frère. Tu avais choisi Milicent. J'étais jalouse, mais pas autant que je l'espérais. Jusqu'au jour, où j'ai rencontré, Nathaniel. Au départ, il me fascinait, mais ensuite, je me suis attachée à lui. Je n'arrêtais pas de penser qu'à lui, jour et nuit. C'était pour cela que je m'étais absentée pendant une semaine. Pour pouvoir l'approcher sans risque, je devais me nourrir correctement… Narcisse, tu seras toujours mon meilleur ami, mais pas plus. Je suis désolée. Tout était clair, maintenant. Je ne pourrais jamais choisir entre vous deux. Je préférais mourir que de choisir entre vous deux, car c'est au-dessus de mes forces. Je ne peux pas.
Mais Alice...moi aussi je t'aime du même amour que tu m'aimes, je croyais que tu avais compris, je te l'ai dit tout à l'heure…mais ce n'est pas grave Alice, je suis là maintenant…

Il aurait voulu qu’elle se taise, il ne voulait pas entendre ça parce qu’il n’y croyait plus, ou tout du moins il s’efforçait en vain de ne pas y croire. Ce n’était pas vrai. Ca ne pouvait plus être vrai, pas après ce qu’il avait dit. Garde ce masque impassible lui coûtait un grand effort mais il ne se permettrait pas un moment de faiblesse. Il avait du faire face à pas mal de choses en gardant le sourire toutefois, à cet instant, il devait lutter contre lui-même à chaque seconde pour ne pas se laisser aller. Il ne se ferait pas avoir une deuxième fois. N’était-on pas sensé apprendre de ses erreurs ? Il la voyait s’avancer, les pas incertains, tremblante. Un part de son esprit aurait souhaité qu’il s’avance à son tour, qu’il l’aide. Cependant ses pieds restaient encrés dans le sol, immobiles. Pas une deuxième fois…Pas une deuxième fois…Il répétait ça comme une litanie. Elle s’arrêta à mi-chemin. Il la vit chanceler puis tomber à genoux devant lui. Feuer réagit au quart de tour, il s’était remis à une vitesse étonnante de son voyage pour le pays des songes d’il y a quelques minutes. Nathaniel, quant à lui, restait planté là sans rien faire. Que pouvait-il faire de toute façon. Pas une deuxième fois…Pas une deuxième fois…

Alice !! Réveille-toi !! Répond Alice !!!

Le Vert et Argent la secoua doucement sans résultat notoire.

Alice, s'il te plait, réveille-toi...
Merde !

Son poing partit à la rencontre du tronc du chêne. Complètement inutile…ça avait cependant le mérite de défouler. Sa main était à présent écorchée mais il s’en souciait peu.

Par Merlin, vous vous êtes passé le mot pour tomber dans les pommes ou quoi ?! Quand c’est pas toi, c’est elle qu’il faut emmener à l’infirmerie. Et je suppose que toi, Feuer, t’as pas un « truc » pour la réanimer !

Elle semblait comme éteinte, son regard était vide, son visage neutre, dénudé de toute expression. Elle continuait à être secouée par des tremblement inexplicables. Bon Dieu, il n’était pas secouriste ! Et tout bien réfléchi, aller à l’infirmerie au beau milieu de la nuit n’était pas une grande idée. Surtout avec l’autre crapaud rose dans les parages.

Invité

Narcisse - Alice !! Réveille-toi !! Répond Alice !!!

Je ne pouvais pas ... J'étais bloquée . Je ne pouvais plus bouger, car j'avais perdu le contrôle de mon pouvoir et j'aurai dû écouté les avertissements de ... Je ne préférais pas penser à lui . J'arrêtai de trembler, mais je n'arrivais pas à me réveiller. Mon regard était vide et regardait la Lune . Je voulais me réveiller ...

Narcisse - Alice, s'il te plait, réveille-toi...

Narcisse ... Non, je ne pouvais pas m'en aller, pas maintenant . Je devais me réveiller . Narcisse me secouait doucement . Calme-toi, Narcisse ... Je n'avais rien de grave . Ce n'était qu'un test, c'était tout . Mes yeux redevinrent ambres . Mourir ... Je ne pouvais pas mourir, pas maintenant, alors que j'avais prévu pleins de choses . Je posai lentement ma main sur la joue chaude de Narcisse . Il avait repris des couleurs . Dieu soit loué ! Je lui souris .

Nathaniel - Par Merlin, vous vous êtes passé le mot pour tomber dans les pommes ou quoi ?! Quand c’est pas toi, c’est elle qu’il faut emmener à l’infirmerie. Et je suppose que toi, Feuer, t’as pas un « truc » pour la réanimer !

Alice - Narcisse ... Je vais bien, t'inquiéte pas ... C'était juste un test . Je te l'expliquerai, mais pas maintenant . J'ai besoin de marcher un peu pour récupérer . Aide-moi, à me lever ... S'il te plaît ...

Narcisse m'aida à me lever . Mes mains tremblaient légérement, mais rien de méchant . Je m'avançai vers Nathaniel . Tu voulais que je te déteste . Tu t'en sortiras pas comme ça, Regal ... Ca tu pouvais en être sûre . Me conduire comme une vrai Serpentard ? Je pouvais être impitoyable, si je le voulais . Je regardai fixement le poing de Nathaniel . Du sang ... Non ... Pas cela . Alice, calme-toi . Ne regarde pas ! Je posai mon regard sur Nathaniel . Mon regard était remplie de haine et de souffrances . Pourquoi fallait-il qu'on arrive à là ? Hein ? Je voulais pas le détester, mais là, il m'avait forcé ...

Alice - Regal ... Je ne veux plus jamais te revoir, plus jamais . Ne m'approche pas, ne me touche pas, ne me parle pas ... Sinon, je pourrais faire quelque chose qu'on je ne me pardonnerai jamais ... Je te connais pas, tu ne me connais pas ... Compris ? On s'est bien amusé, mais au fond de moi, je savais que tu n'étais qu'un jouet pour moi, rien de plus . Oui, tu n'es qu'un simple et stupide . Franchement ... Comment a-tu cru que je pouvais avoir des sentiments pour toi ? C'est vraiment pathétique ...

Je me retournai . Je ne voulais plus le regarder . Ses paroles ... ces mots ... je ne les pensais pas mais c'était mieux pour nous deux ... On était bien trop différent ... Je ne voulais plus souffrir, mais pourquoi, j'avais mal ? Je n'arrivais presque plus à respirer . Une larme coula pour se loger au creux de main . Tu ne feras plus jamais souffrir, Nathaniel Regal ... Je m'avançai vers Narcisse, puis le prit dans mes bras . Je lui souris comme si de rien n'était .

Alice - Je suis contente de te voir, vivant Narcisse . Je ne sais pas ce que je ferai sans toi .

Les larmes commencèrent à couler toutes seules . Je ne voulais pas pleurer, mais c'était plsu fort que moi . Je pris Narcisse dans mes bras . Je souffrais, mais je ne voulais pas le dire ...

Alors que le jeune vert et argen tenait les épaules de son amie entre ses mains, le secouant doucement pour essayer de la réveiller, del ui faire ravoir ses jolies yeux de couleur ambre, il entendit, le gryffondor dire des choses horrible, il ne savait pas se que c'était de souffrir, et ça, Narcisse le voyait bien, dans les mots que ce bouffon disait, il voulait lui dire de se la fermé et de retourner jouait à la poupée ,avec ses courtisnes, mais il se retenu, il se retenu pour elle, pour Alice, car il sentait bien que le gryffondor était bien plus qu'un ami pour elle.

Puis à son plus grand bonheur, elle se remit à parler, il lui fit un sourire, et l'aida à se relever, comme elle lui avait demander,et la tena doucement par la taille, se mettant à côté d'elle, à sa droite, et écouta se qu'elle dit, elle semblait visiblementtrés en colére contre le gryffondor, mais Narcisse sentait une chose que seul un ou une meilleur(e) ami(e) pouvaitsentir, c'était un sentiment d'affection, un sentiment provenant du coeur, un sentiment d'amour, et c'était se qu'Alice ressentait, pour le gryffondor, il le savait mais apparement, elle ne voulait plus le voir, elle lui avait parler d'un test, quel test ? Elle luie xpliquerait ? trés bien, il attendrait.

Le jeune étudiant de serpentard, sentait bien, que cette dernière aller mal, car elle le serrat plusieur fois dans se bras, sa le rassuré, de voir cela, il la prise également entre ses bras, la serrant aussi fort qu'elle pouvait contre lui, il lui carressa doucement les cheveux, et lui déposa un baiser sur sa joue froide, puis il la serra à nouveua et jeta un regard remplit d'une certaine méprise au gryffondor, un regard qui voulait dire un truc du genre "elle t'a dit de partir alors qu'est-ce que tu fais encore là ?" Puis il se détacha de son amie, et la regarda dans les yeux, et lui dit alors avec un sourire, remettant l'une des méches de cheveux de son amie derrière son oreille:

Je ne sais pas non plus...peut-être que tu serais plus heureuse...je ne sais pas....et dit moi c'est quoi ce test ?

Il lui soura et lui carressa la joue. Puis fit glisser sa main sur son bras de façon douce, et enlaçat ses doigts dans les siens, rien ne pourratp lus les séparer à présent, ils étaient lier

hj: désoler c'est cour :hj

Narcisse… Je vais bien, t'inquiète pas… C'était juste un test. Je te l'expliquerai, mais pas maintenant. J'ai besoin de marcher un peu pour récupérer. Aide-moi, à me lever… S'il te plaît…

Un test ? De quoi parlait-elle ? Ca lui rappelait un peu son malaise aux Trois Balais. Feuer l’aida à se remettre sur pieds. Elle avança précautionneusement vers Nathaniel. Ses tremblements s’étaient atténués. Leurs yeux se croisèrent. Ceux d’Alice étaient remplis de haine. Pas de doute possible, elle le détestait bel et bien.

Regal… Je ne veux plus jamais te revoir, plus jamais. Ne m'approche pas, ne me touche pas, ne me parle pas… Sinon, je pourrais faire quelque chose qu'on je ne me pardonnerai jamais… Je te connais pas, tu ne me connais pas… Compris ? On s'est bien amusé, mais au fond de moi, je savais que tu n'étais qu'un jouet pour moi, rien de plus. Oui, tu n'es qu'un simple et stupide. Franchement… Comment a-tu cru que je pouvais avoir des sentiments pour toi ? C'est vraiment pathétique…

Dis-lui ! Dis-lui la vérité nom de Dieu ! Dis-lui que ce n’est pas vrai, que c’est bien plus qu’une amie pour toi ! Nathaniel se contenta s’esquisser un sourire ironique. Elle s’était déjà retournée, elle fuyait encore. Lui aussi fuyait…mais ce n’était pas pareil. Du moins pas selon son avis.

Tu changes bien vite d’avis je trouve. Ce n’est pas toi qui disait il y a quelques minutes que tu étais incapable de choisir entre Feuer et moi ?

Il ricana. Elle avait voulu l’affonter, très bien. Mais elle se rendrait vite compte qu’il était de plus fort à ce jeu là.

Ca ne me posera aucun problème de t’ignorer…Mais toi, seras-tu capable de tenir ta promesse ? Que croyais-tu être pour moi ? Tu l’as dit toi-même lorsque nous étions à Pré-au-Lard. Je suis un Don Juan. Et comme tout coureur qui se respecte, je ne m’attache à personne. Tu ne sais pas mentir Alice, en revanche moi si. Alors trouve-moi pathétique ou stupide si ça te chante, ça ne me fait ni chaud ni froid.

Magnifique tissu de mensonges. Mais en un sens, il pouvait être fier de lui. Il avait rarement été aussi convaincant. Malaury lui aura au moins appris quelque chose de bénéfique et d’utile. Il était à présent beaucoup trop tard pour avouer quoi que ce soit. Il n’aurait probablement jamais l’occasion de cesser de mentir mais au fond, ce n’était pas si grave. Il était habitué. Et puis le temps n’était-il pas sensé effacer les maux. D’ici quelques jours, cette histoire appartiendra à son passé, il aura oublié et sera passé à autre chose. Toute cette affaire ferait au moins une heureuse. Amy Farmer sera probablement aux anges lorsqu’elle apprendra leur « rupture ». Narcisse lui jeta un regard méprisant. Il n’y prêta même pas attention. Qu’est-ce que ça pouvait faire de toute façon ? Ce ne serait pas lui qui irait faire le premier pas, question de fierté. Foutue fierté ! Il tourna les talons et prit la direction des lourdes portes de chêne d’un pas qui se voulait léger.